Quête part I : La bataille de Dol Guldur [TERMINE]

Les Nazgul sont de redoutables adversaires et certains d'entre vous en font les frais. Tandis que Galadriel s'en sort sans problème et qu'Olórin tombe nez à nez avec un coffre remplit d'argent, la Reine de la Forêt Noire se blesse à l'épaule, l'obligeant à se mettre à l'abri. Elle retrouve le mage Saruman blessé gravement. Heureusement, Silye Lorendil détient une potion des Hauts-Elfes (ici) qu'elle donne à l'Istari.

Les Nazguls partit, la forteresse semble vide de toute présence, allez-vous quitter ce lieu ou rester pour rechercher un indice ?

Note : Merci de noter une réponse claire, vous n'êtes pas obligé de prendre tous le même chemin.




☀ Un maximum de 500 mots est demandé, pensez au PNJ derrière ;)
☀ Vous avez 5 jours pour répondre, ensuite c'est au prochain ou PNJ de prendre le relais ♥
☀ Les résultats de la quête seront annoncé à la prochaine intrigue.
☀ Un PNJ régulera la quête après les réponses du groupe.
☀ Le PNJ jouera uniquement les rôles clés manquant si cela est nécessaire.
☀ Pour plus de crédibilité, vous êtes venus accompagnés de vos soldats que vous pourrez faire interagir en PNJ.

Les Nazguls. Ces ombres autrefois humaines, désormais simplement des créatures maléfiques, soumises à celui que nous pensions disparu depuis quelques siècles déjà. Etre ici emplit mon cœur de colère alors que je vois ce qu’il est advenu de cet endroit sombre et totalement hors de contrôle. Autour de moi, les cocons à peine éclos d’araignées me donnent la nausée. Et, face à moi, ces êtres de cauchemar. Ma main se serre sur mon arc, mais ce n’est pas cette arme que j’utilise, non. C’est la magie, puissante, ronflante, de l’anneau de pouvoir que je porte au majeur de la main droite pour renvoyer ces êtres loin de moi, loin de mes hommes.

Eux s’occupent des restes des orcs qui continuent à affluer, alors que je suis ainsi séparée du reste de mon équipée, n’ayant aucune idée de l’endroit où peuvent se trouver la reine de la forêt noire et les mages, n’ayant que Legolas non loin de moi, qui s’en sort bien avec son arc d’après ce que mon coup d’œil bref peut apercevoir. Une onde de choc renvoie le Nazgul le plus proche au loin, alors que mon regard se fait redoutable.

Vous n’avez rien à faire ici, ombres. Retournez dans vos caveaux.

Après quelques minutes de combat, qui me laissent titubante, tant je n’ai pas l’habitude d’utiliser cette magie qui gronde pourtant en moi en permanence, je pose la main sur l’épaule d’un de mes gardes, qui me tend une gourde d’eau pour m’aider à me remettre. Je hoche la tête pour le remercier avant de me redresser, repassant mon arc dans la bonne main.

Ramassez les flèches que vous pourrez trouver en bon état. Nous n’en avons pas fini avec cet endroit. Le mal gronde ici, et nous ne partirons pas avant de l’avoir éradiqué.

Même si je me sens un peu plus faible qu’en arrivant, l’eau m’a fait du bien. Et, jamais je ne laisserais le monde souffrir encore de ce qui gronde en Dol Guldur. Car, j’ai l’impression que nous n’en avons pas terminé avec les surprises. Je m’avance alors vers l’elfe blond qui a combattu à nos côtés, et c’est avec un sourire maternel que je lui propose :

Legolas, avez-vous besoin d’une escorte pour retrouver votre mère ? Vous êtes blessé… Je ne voudrais pas vous abîmer d’avantage.

Comment s’est-il retrouvé aussi loin des siens, à garder les arrières de la Dame de Lorien ? Il ne le sait pas réellement. Au fond, pour l’heure, il n’a de cesse que de faire tournoyer son épée pour parer, frapper et esquiver. Il a, depuis longtemps, laissé tomber son arc par manque de flèches, et en cette seconde, s’il avait le temps de penser, il remercierait son père pour l’entrainement tout à fait complet qu’il a reçu. Et, il aurait aussi une petite pensée pour Valaina qui a soigné au mieux sa blessure à la jambe du prince. Si la douleur est encore là, au moins le bandage bien serré empêche les points de suture de sauter.

L’elfe ne peut être aussi agile que ce qu’il est habituellement, et c’est avec une once de soulagement qu’il voit enfin la fin du combat arriver. Au final, il n’aura pris qu’une écorchure sur la joue, là où il aurait pu voir les flèches et les lames ennemies être bien moins tendres avec lui. Essoufflé, il laissa son regard se porter autour de lui pendant que la Dame de Lorien prenait les choses en main pour faire ramasser à ses hommes des flèches, avant de finalement s’adresser à lui.

Une seconde durant, l’elfe se tourna pour rechercher sa mère, avant de sentir ses entrailles se nouer. A-t-elle été kidnappée une nouvelle fois ? Non, ce n’est pas possible. Le sort ne peut pas être aussi terrible avec elle deux fois de suite. L’elfe finit donc par se retourner vers Galadriel et hoche la tête de droite à gauche :

- Je préfère rester avec vous, ma Dame. Nous séparer serait un mauvais calcul, et je ne peux vous priver de quelques hommes. Peut être que d’autres Ombres vont venir, et même avec cette blessure, presque guérie, je peux vous être utile.

Dès lors que j’eus finis mon petit discourt informatif au sujet des neufs, quatre d'entre eux apparurent. Ces spectres armé venu tout droit des ténèbres et leurs apparitions soudaine causa quelques troubles dans les rangs elfiques. Pas le temps de réfléchir à une stratégie de combat, je voyais déjà Galadriel s'éloignant du groupe avec Légolas, se préparant à l'attaque. Quatre contre quatre, peut être que j'étais de trop... Du moins, quatre venait d’apparaître mais le nécromancien lui restait dans l'ombre. J'entrepris donc de partir à sa recherche en m'éclipsant de là, je pris un couloir puis un autre, descendis un escalier, tout en me préparant à une éventuelle attaque d'orques ou d'autre bêtes servante du « nécromancien ».

Je tournais pour un autre couloir et au fond de celui-ci brillait un coffre, ouvert, brillait de nombreuse pièce d'argent qui paraissait étinceler plus que n'importe quel or. Je devais aller les prendre, elle était à moi, je les avais trouvé. Je m'approchais lentement du coffre, mes yeux, mes pensée, tout en moi semblait être attiré par ce trésor. J'arrivais devant lui, ma main tremblait et s’approchait de plus en plus des pièces d'argent. Non ! Je ne devais pas ! Ensorcelé ! Je réussis à contrôler ma propre voix avant que ma peau effleure les pièces :

«  Buurz Dush Matuurz » littéralement : Obscure magie mortelle en Noir Parler.

Là, le coffre se ferma d'un coup et le piège magique s'estompa. J'entendis un bruit derrière moi ? Un râle faible, je me tournai alors et au fond du couloir se tenait un des quatres Nazgul. Il ne bougeait pas, me scrutait et si son esprit n'avait pas trop disparu il se préparait sûrement à son attaque. Moi je voulais éviter le combat et donc je canalisais ma magie au travers de mon bâton, pour qu'elle soit à son maximum, prête à l'assaut. Soudain il fonça directement et alors qu'il ne sit attendait, je brandis mon bâton en sa direction et une lumière pure et blanche aveugla le couloir lui même, comme un mur avançant vers lui, elle le repoussa en un flash contre un mur ou son apparence spectrale grésilla quelque temps avant de disparaître.

Le jeu avait trop duré, je rassemblais une nouvelle fois ma magie, pas pour une attaque cette fois-ci mais simplement pour parler, ma voix, forte, allié à ma magie fut projeté dans toute la forteresse. Raisonnant et d'un ton puissant et autoritaire, cherchant par la même occasion à localiser le mal et à le faire sortir de son trou :

« Vous ne pouvez plus nous arrêter ! Nous arrivons ! Il ne sert à rien de retarder l'inévitable... Nécromancien ! Sortez de votre cachette ! Tout vos pouvoirs, toute vos barrières et tout vos pièges seront tentative vaine ! Ce jeu a bien assez duré ! Montre-vous !!! »

En disant cela, je m'étais déplacé vers ce qui devait être une petite place.

L'union fais la force... Cela dis, j'étais seul et je ne savais pas l'état des autres groupe et surtout s'ils s'étaient réunis... L'ombre ennemi avait-il assez de force pour faire jeu égal contre nous tous réunis ? S'il l'avais, contre nous séparé, ne ferait-il pas une seule bouché de nous ?

Une forteresse vide mais vous décidez d'y rester pour découvrir ce qu'elle cache réellement. Scindé en deux groupe, vous parcourez la forteresse sans trouver le moindre indice. L'ennemi est-il parti ? Il semblerait que oui mais était-il présent ? Alors que vous êtes enfin réuni, un orc à terre vous rit au nez, son maitre ne sait jamais trouvé sur ses lieux, une embuscade était prévue mais pourquoi faire ? La créature meurt avant de pouvoir vous en dire plus...

Dans ses mains, un curieux objet rempli de sang s'y trouve :

Spoiler:

Cet objet fonctionne par deux, il est possible de voir ce que voit son détenteur même à des kilomètres. C'est le mage qui prend l’initiative de toucher l'objet et fait par de la mauvaise nouvelle à ses camarades : Le Mordor, terre désertique, est habité par des milliers d'orcs et créatures inconnus... Une guerre se prépare-t-elle ?



☀ Fin de quête pour les joueurs !
☀ Les résultats de la quête seront disponible lors de la prochain intrigue