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An unexpected meeting [ft. Ciryandil]

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Ven 21 Juin - 3:18
C’était un matin calme dans la grande forêt noire. Cela devait faire déjà une heure qu’un groupe d’elfe patrouillait dans la grande Forêt Noire. Silencieux, ils avançaient parmi les arbres, les fougères et les buissons. Ils se cachaient parmi les arbres, ne désirant se faire voir. C’était ainsi qu’ils patrouillaient. De cette façon, s’ils avaient à s’attaquer à un groupe d’orques indésirable, ou encore à de araignées qui s’en prenait à un malheureux voyageur, ils pouvaient attaquer de surprise, créant ainsi la confusion parmi leurs ennemis. À la tête du groupe, venait la capitaine, Tauriel. Une elfe à la chevelure rousse parmi les blonds, une guerrière impitoyable. Elle n’allait jamais hésiter à tuer ses ennemis. Peut-être était-ce pour cela que Thranduil l’avait choisie comme capitaine au lieu d’un autre, car il y en avait plusieurs autres bons guerriers parmi les elfes. Son père lui avait toujours dit qu’elle était une belle elfe. Une belle elfe dangereuse au combat. Mais, n’est-ce pas le rôle d’un père d’encourager son enfant? Son père était un homme bon. Il respectait beaucoup les femmes. D’ailleurs, Tauriel pouvait encore se rappeler quelques phrases qu’il disait parfois, tel que celle-ci;  D’ailleurs, ne dit-on pas qu’une femme qui éclabousse un homme, c’est un peu comme la rosée d’une matinée de printemps, c’est la promesse d’une belle journée et la perspective d’une soirée enflammée ?

Et il y en avait d’autres! Une de ses phrases fétiches devait être la suivante; La vérité c’est comme une couverture trop petite. Tu peux tirer dessus de tous les côtés, tu auras toujours les pieds froids. Malheureusement, ce bon elfe était mort au combat. Une mort toutefois honorable, car il était mort pour défendre son roi. L’elfe avait toujours aimé son père, qui avait toujours été prêt pour lui donner des conseils et l’aider. Un drôle d’anecdote lui revint en tête, ce qui fit sourire légèrement l’elfe. Un beau jour, son père avait croisé un pauvre homme qui semblait ne pas avoir mangé depuis plusieurs jours. Il était en si piteux état, que son père n’avait pu éviter d’en faire une plaisanterie pour essayer de le faire sourire un peu. Il lui avait dit:  Bon écoute Quasimodo, t’es trop moche pour qu’on te parle alors retourne dans ton clocher manger des crottes de pigeon. Bon… C’était peut-être un peu de mauvais goût, et un peu méchant, mais la tête qu’avait faite le pauvre homme lorsque le père de Tauriel l’avait laissé entrer chez lui en riant avait valu la peine. Lui qui pensait que l’elfe n’allait pas le laisser entrer chez lui!

Tauriel chassa les tristes pensées de son père de son esprit. Elle devait surveiller la forêt. Telle était sa tâche. Elle ne devait donc jamais relâcher sa surveillance trop longtemps. Avec les araignées qui rôdent et les groupes d’orques qui passent de temps en temps, il fallait rester aux aguets. Mais, pour le moment, tout était calme et normal. Une légère brise faisait bruisser les feuilles dans les branches des hauts arbres, et Tauriel pouvait parfois entendre le bruit de petits animaux qui déguerpissaient dans les fougères et les buissons au passage des elfes. Quelques fois, le groupe pouvait apercevoir une famille de cerfs qui se régalaient des feuilles bien vertes. Sinon, il n’y avait rien d’anormal. La capitaine jeta un coup d’œil aux plus hautes branches. Là, elle y distingua des araignées qui observaient les animaux en dessous d’elles, prêtent à bondir sur l’un d’eux pour ensuite l’enrouler dans leurs longs fils gluants afin de le manger plus tard. Comme il ne semblait pas y avoir de problèmes du côté des araignées, la patrouille d’elfe retourna vers le chemin. Cela peut paraitre ennuyant de marcher à longueur de journée, surveillant la forêt et attendant que la patrouille pour la nuit prenne la relève, mais, en fait, ce ne l’était pas vraiment. Pour tout dire, il y avait toujours, à un moment de la journée, quelque chose qui se produisait, mettant ainsi un peu d’action dans les tours de garde. Il était rare qu’il y ait des journées sans que rien ne se passe dans la grande Forêt Noire.
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Dim 23 Juin - 14:58
an unexpected meeting.
« The shadow lies upon his tomb 
In Moria, in Khazad-dum. 
But still the sunken stars appear 
In dark and windless Mirrormere; 
There lies his crown in water deep, 
Till Durin wakes again from sleep.»

Fredonnant un air appris en compagnie d'excellents nains à la table d'un ami du Pays de Dun, Ciryandil chevauchait au pas dans la sombre forêt Noire. Le Rhovanion n'était pas la région qu'il préférait de la Terre du Milieu. Les côtes ensoleillées du Gondor, du Cardolan ou de l'Arthedain avaient bien plus ses faveurs que la Route des Nains, à travers Taur-Nu-Fuin. Pas qu'il n'apprécie pas la compagnie des Elfes, oh ce n'était pas du tout ça. Mais le couvert des hauts arbres millénaires n'était pas pour conserver cette sérénité qui le caractérisait si bien. Il savait qu'il n'avait rien à craindre des créatures aux oreilles pointues, ne leur voulant lui-même aucun mal. Mais cela ne l'empêchait pas de préférer largement galoper sur de vastes étendues ensoleillées, plutôt que de calmer sa monture sur un chemin forestier seulement éclairé par les quelques rayons du soleil perçants l'épais feuillage. 

Étonnamment, le Rôdeur se surprit à apprécier le calme qui régnait. Il savait que cette forêt regorgeait d'araignées malveillantes et d'Orques de passage. Mais pour le moment, il n'était entouré que des chants des oiseaux et du bruissement du vent dans les feuilles. Rien d'alarmant. Soudain, son cheval piaffa. Ciryandil baissa la tête vers le sol, cherchant ce qui pouvait le gêner. Il éclata de rire en remarquant un papillon sur une pierre bordant le chemin. Descendant de sa selle, il sauta sur le sol et chassa l'insecte indésirable d'un mouvement de la main. Caressant le chanfrein de Valàndil, il s'amusa de sa frayeur. Je ne te savais pas si craintif, vaillant compagnon, dit-il en souriant avec malice. Son destrier le poussa légèrement avec la tête, comme pour l'envoyer paître. Très bien, très bien, je me tais ! s'exclama Ciryandil. Ce que tu peux être susceptible ! ajouta-t-il en attrapant sa gourde dans l'un des sacs de selle. Il s'assit sur la pierre précédemment occupée par le papillon et posa un regard amusé sur son cheval. Valàndil semblait vexé, tournant la tête vers les arbres bordant l'autre côté du chemin. Ciryandil leva les yeux au ciel et but une gorgée. La bière hobbite lui manquait. Il attendait avec impatience la prochaine rencontre avec Idril. Les deux amis pourraient recommencer leur concours de boisson ; concours qu'il avait lamentablement perdu la dernière fois, oubliant que les Elfes avaient une incroyable résistance à l'alcool.

Rangeant sa gourde, le Dùnedain ébouriffa le toupet de son fidèle destrier et attrapa les rênes. Allez, ne fais pas ta tête d'orque, lança-t-il à son cheval. Tout en riant, Ciryandil reprit la route, cette fois à pied. Il avait beaucoup chevauché et il était temps, tant pour lui que pour Valàndil, qu'il fasse une partie du chemin à pieds. De plus, les arbres tombaient trop bas : il risquait d'être dérangé par les feuillages. Alors que les deux compagnons traversaient un petit ruisseau, Ciryandil s'arrêta. Il n'avait pas les capacités oculaire et auditive d'un Elfe, mais il savait lorsqu'il n'était pas seul. Plus d'une décennie de solitude avait aiguisé ses sens et accentué sa confiance en son instinct. Et son instinct lui hurlait qu'il n'était plus seul. Sa main attrapa son arc. Il encocha une flèche tandis que son regard fouillait les feuillages autour de lui. Ses doigts glissèrent le long de la plume de sa flèche. Des Elfes ? Des araignées ? Des Orques ? Il les attendait de pied ferme.  

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Mer 26 Juin - 16:57

    Alors que les elfes s’en retournaient au chemin, un air, qui n’était certainement pas Elfe, vint troubler le calme de la grande forêt. Tauriel arrêta la patrouille d’un geste de main, puis écouta plus attentivement l’air fredonné. L’air ne semblait pas non plus l’un des hommes. Il ne pouvait s’agir que celui des nains. Mais, que viendrait faire un nain dans la grande forêt noire? Il venait tout droit chez l’ennemi. Tauriel savait bien que la Compagnie de Thorin Oakenshield avait de fortes chances de venir passer par la forêt, mais cela l’étonnait qu’un nain, surtout seul, puisse venir se promener ici. On pouvait aussi entendre le claquement de sabots sur le chemin. Il s’agissait donc d’un cavalier. Soudain, le bruit de sabots et l’air fredonné cessèrent d’être entendu, et la voix s’éleva. Le cavalier semblait se moquer de sa monture. La capitaine s’approcha doucement pour mieux voir le cavalier. Quelle ne fut pas sa surprise de découvrir que le cavalier n’était pas un nain, mais bel et bien un homme. L’elfe retourna près de la patrouille. En partant, elle l’avait vu se lever du rocher où il était assis, pour reprendre sa route. Elle avait donc décidée d’aller l’arrêter un peu plus loin. Elle prit trois elfes avec elle, alors que le reste de la patrouille allait continuer le tour de garde. Tauriel et les trois elfes iraient rejoindre le groupe après s’être occupés du cas de l’homme.

    Rapidement, les quatre elfes se rendirent plus loin sur le sentier, puis attendirent l’homme et son cheval. Dissimulée derrière un arbre et un regroupement de fougères, Tauriel prit son arc et encocha une flèche, prête à bondir devant l’homme afin de le surprendre. Elle attendit qu’il soit à la bonne hauteur pour bondir devant lui, mais, alors qu’elle s’en allait pour le surprendre, l’homme s’arrêta sur le chemin. L’elfe le vit prendre son arc et encocher une flèche. L’homme les avaient-ils repérés? Il promena son regard dans les feuillages, regardant même dans la direction où se tenaient les quatre elfes. Tauriel, sentant que les elfes qui l’accompagnaient allaient bientôt sortir de leur cachette pour encercler l’homme, leur fit signe d’attendre encore un peu. L’homme ne semblait pas les avoir vus. Peut-être avait-il juste senti une présence? Comme il ne fit rien, la capitaine décida de bondir devant l’homme, pointant immédiatement son arc devant son visage pour ne pas lui laisser la chance de tirer une flèche sur elle. Les trois autres elfes sortirent de leur cachette et vinrent entourer l’homme et son cheval.

    Tauriel observa l’homme. Sa chevelure était bouclée, de couleur châtain. Il possédait de grands yeux verts. Ses traits étaient fins. Elle jeta également un rapide regard au cheval de l’homme : c’était un beau spécimen de couleur blanche. Elle reposa son regard dur sur l’homme et prit la parole.
    « Qui êtes-vous, homme? De quelle nature est votre traversée de cette forêt? »

    Elle ne baissa pas son arc, attendant une réponse. L’homme pouvait venir dans la Forêt Noire aussi bien avec de mauvaises intentions, qu’avec des intentions pacifiques. Peut-être traversait-il seulement la forêt pour se rendre à un autre royaume. Dans ce cas, il aurait pu contourner toute la forêt, bien que ce fusse beaucoup plus long. Mais, peut-être devait-il se rendre d’urgence à quelque part. Dans ce cas, il était normal qu’il veuille se risquer à passer dans la forêt. Cependant, l’homme pouvait également être un éclaireur pour une quelconque tribu. Ou peut-être n’était-ce qu’un guerrier recherchant des sensations fortes, venant ainsi combattre quelques araignées. Seulement, s’il venait déranger les araignées pour cette simple raison, cela lui vaudrait peut-être un petit séjour dans les cachots du roi. On ne venait pas déranger les araignées pour le plaisir : cela pouvait être très dangereux.
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Jeu 4 Juil - 19:55
an unexpected meeting.
Ciryandil regardait autour de lui, tendu et concentré. Il n'était pas seul, il le savait très bien. Pourtant, il s'étonnait que personne n'ait apparu derrière les branchages. Il baissa légèrement son arc et eut à peine le temps de prendre une bouffée d'air, qu'il se retrouva encerclé par des elfes pointant leurs flèches vers son visage et vers Valàndil. Le Dùnedain baissa son arc sans faire de mouvements brusques. Les Elfes avaient beau être une espèce plutôt pacifique, il savait parfaitement qu'ils protégeaient leurs frontières mieux que quiconque. Quelque peu désorienté et vexé de s'être ainsi fait prendre de surprise, le Rôdeur ne dit pas mot, regardant les visages des elfes qui l'entouraient. Soudain, celle qui paraissait les diriger et dont la longue chevelure rousse ressortait avec grâce parmi les têtes blondes prit la parole. Pardonnez mon intrusion en Taur-Nu-Fuin, nobles soldats du royaume sylvestre. Je me rends dans un petit village sur les rives de la Rivière Vive, en aval d'Esgaroth et contourner la Forêt Noire rallongeait mon voyage de nombreuses semaines. D'où ma présence en ces lieux. Ne vous méprenez pas, je n'ai que de pacifiques intentions. Et si j'ai offusqué votre roi en pénétrant ici, veuillez lui porter mes plus sincères excuses, tel n'était pas mon souhait.

Ciryandil espéra que ses explications éclairciraient les raisons de sa présence dans cette forêt hostile, tant aux Elfes qu'aux Hommes. Il savait très bien que de dangereuses araignées y vivaient, attaquant les voyageurs au détour d'un sentier. Et fredonner un air de nains n'avait pas dû renforcer la confiance des garde-frontière. Après tout, les deux espèces ne s'appréciaient guère. Ciryandil avait pu observer l'animosité et l'aversion qu'ils se portaient au détour d'une conversation, le soir-même où il avait appris la comptine qui avait dû éveiller l'attention des soldats. Tandis qu'ils semblaient délibérer, le Dùnedain observa leur chef. Lui qui avait séjourné plusieurs fois à Fondcombe et avait donc pu en apprendre plus sur les mœurs elfiques s'étonnait qu'une femme ait un tel poste de commandement. Surtout dans un organe guerrier. Pas machiste pour un sou, il avait vu et admiré certaines hiérarchie dominées par des femmes. Il n'avait juste jamais pensé qu'il en était ainsi chez les Elfes.   

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Jeu 25 Juil - 15:24

    Tauriel attendait la réponse de l’homme qui, sur le coup, semblait désorienté de voir soudainement des elfes autour de lui. Elle remarqua également un petit air vexé probablement à cause qu’il s’était fait prendre aussi facilement. Après avoir observé les elfes, l’homme prit la parole. Il ne semblait pas avoir de mauvaises intentions et s’excusa même pour son intrusion. Il alla également à donner ses excuses les plus sincères à leur roi, Thranduil. L’homme avait déclaré vouloir se rendre dans un petit village en aval d’Esgaroth. Il était vrai que contourner toute la forêt lui aurait pris de nombreuses semaines au lieu que, en traversant la forêt noire, cela ne lui prenne que quelques jours. L’elfe rousse, malgré les explications de l’homme, garda toutefois son arc pointé sur lui pendant encore quelques minutes. Silencieuse, elle questionnait ses compagnons du regard. Devaient-ils faire confiance en cet homme? Ses belles paroles pouvaient bien être traitresses. Finalement, d’un mouvement d’approbation presque imperceptible, les elfes lui firent comprendre qu’on pouvait baisser les arcs. Tauriel reporta son regard sur l’homme et baissa lentement son arc. Elle garda quand même sa flèche encochée, par sureté. Ainsi, si l’homme venait à faire un acte suspect, elle était prête à pointer de nouveau son arc sur lui. Malgré sa méfiance, l’elfe ne devait pas abandonner les politesses.

    « Bienvenue dans la grande forêt de Mirkwood, royaume du roi Thranduil. »

    La rousse jeta un rapide coup d’œil vers la cime des arbres. La nuit allait bientôt tomber, et voyager la nuit dans la forêt n’était pas très prudent. Les araignées géantes en profitaient pour attaquer, car la noirceur de la nuit les camouflait. L’elfe hésitait à offrir hospitalité au voyageur sans en demander l’avis du roi. Elle savait que si elle le faisait, elle allait probablement devoir en subir quelques conséquences… Mais, peut-être pouvait-elle offrir l’hospitalité à l’homme et en parler plus tard à Thranduil? C’est ce qu’elle décida de faire.

    « La nuit tombe et il est dangereux de traverser la forêt lorsqu’il fait noir. Si vous le souhaitez, je peux vous trouver une chambre, à moins que vous ne vouliez dormir avec votre cheval. »
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