Ici c'est comme ailleurs, les gens ne sont ni pire ni meilleur ! ▬ Alatàriël

ALATARIËL

❝ feat amanda seyfried ❞

Bonjour, je me nomme Alatàriël et je suis née à Belriel, dans la demeure de mon père en l'an 1752 du Second Age . Je viens du peuple des Elfes et je suis Princesse héritière de Belriel. Mes spécialités sont la musique, il parait que ma voix et envoûtante, l'arc que je manie convenablement mais aussi la guérison que j'apprends depuis toute petite même si personne n'est réellement au courant de cela. .

inventaire

→ arc ; Plus grand que la moyenne mais très léger, Alatàriël le manie habilement sans fausse note. Elle n'a pas encore la réactivité demandée en combat mais elle sait s'en servir donc méfiance. Le carquois est toujours plein de flèche.
→ dague ; Offerte par son père quand elle a eu 2500 ans, Alatàriel chérit cet objet comme la prunelle de ses yeux. La dague est incrustée de diamant et de rubis. Faite en or, Ala' la cache toujours dans un fourreau en fer pour que personne ne sache ce qu'il y a réellement dedans.
→ anneau doré ; Lien qu'elle a avec Calériand, cet anneau lui rappelle tout l'amour qu'elle porte à son fiancé même s'il est toujours loin d'elle. Toujours éclatant comme de l'eau de roche, cet anneau reste cependant très simple.
→ jument - Iris ; Iris est la jument de la jeune elfe. Ressemblant plus à un cheval de trait personne ne pensait qu'il pourrait courir vite. Cependant il a prouvé sa valeur en sauvant la vie de la princesse. Ala' aime beaucoup sa jument, elle la suit partout même dans sa fuite.

RACONTE-NOUS TOUT

Alatàriël... Alatàriël.... Alatàriël, ma fille, pourrais-je avoir au moins ton attention plus de trente secondes. Je me retournais enfin vers mon père. Il avait un léger sourire aux lèvres. Même s'il me reprochait souvent d'avoir la tête dans les nuages, il m'aimait beaucoup et ne pouvait m'en vouloir bien longtemps. Oui père ? Il s'approcha de moi et me prit les mains. Ta mère et moi avions une annonce à te faire... Tandis qu'il parlait je me sentais plonger en lui. Je ressentais toute la joie qu'il avait. Je ne comprenais pas encore pourquoi il était dans un tel état et pourquoi j'arrivais à ressentir ce que lui ressentait. J'avais toujours entendu les complaintes des autres mais jamais ceux de mon peuple, ou du moins pas avant aujourd'hui. Tu vas avoir un petit frère ou une petite sœur. Je sortais immédiatement de ma rêverie pour le regarder droit dans les yeux. Il pouvait lire sur mon visage toute la surprise mais aussi la joie que pouvait me procurer cette nouvelle. Je suis très heureuse pour vous deux père. Il me sourit et se leva pour me laisser seule. Il se ravisa et se retourna vers moi. Ma très chère Alatàriël, il faudrait que tu sois un peu plus à l'écoute des autres et... Chut ! Je sommais mon père de s'arrêter. Il fronça les sourcils mais s'exécuta. Nous avons de la visite. Je me levais tout sourire et je prenais le bras de mon père. Il me regarda étrangement. Monseigneur, le roi de Amriel et son fils le prince Calériand. J'allais m'asseoir à ma place et je reprenais ma rêverie. Le soir même après que nos invités soient allés s'installer dans leur appartement mon père s'approcha de moi et me prit par les épaules. Et si nous allions nous promener. J'inclinais la tête en signe d'approbation. Une fois proche du lac et tandis que je regardais la lune qui se reflétait sur l'étendu d'eau mon père me demanda comment j'avais su pour le roi. Vous dites souvent que je ne fais pas attention aux autres, que je suis trop dans les nuages... Mais père si vous saviez le nombre de personne qui ont besoin d'aide ou du moins qui ont besoin de se sentir mieux. Hier encore, le capitaine avait mal à sa dent. Il n'a rien dit durant le conseil mais il avait mal... Et je savais que vous étiez heureux avec mère même si je n'en connaissais pas la véritable raison. Là encore je sens que vous êtes fier mais je n'en connais pas la raison. Parce que ma fille possède le pouvoir d'empathie. Cela me rend très fier de toi Alatàriël... Mais fait un peu plus attention quand on te parle d'accord. Je me retournais vers lui pour m'incliner. Nous n’avions jamais réellement besoin de parler avec mon père. On se comprenait tout simplement.

Alexyïs fait attention, tu vas te faire mal. Mon frère était né deux milles ans après moi. Il était déjà très grand et possédait lui aussi des cheveux blonds et des yeux bleus comme les miens. Il voulait manier l'arc mais je savais que ce n'était pas son arme de prédilection. Je me saisissais de l'arc, je le bandais et je tirais sur la cible. Plein centre. Tu es plus douée que je ne l'aurai cru très chère sœur. Je souriais et je m'inclinais devant lui. J'ai plus d'un tour dans mon sac mon frère. J'allais le laisser seul quand il me prit le bras. Me tournant vers lui je voyais que son air était grave. Comment tu fais pour être tel qu'ils veulent que tu sois ? Je ne comprenais pas où il voulait en venir. Tout le monde au palais voulait que je change. Tout le monde voulait que je sois plus responsable comme lui. Je m'asseyais à côté de lui et je réfléchissais. Tu te trompes Alexyïs. Ils veulent tous que je te ressemble et même Calériad voudrait que je sois un peu moins dans les nuages. Tu fais la fierté de la famille. Père ne nous dit pas souvent qu'il est fier de nous et encore moins depuis la disparition de Mère. Mais je sais qu'il est fier de toi crois moi. Je lui souriais et je lui tendais la main pour que nous puissions nous promener. Je ne sortais que très rarement du château de mon père à croire qu'il avait peur que je me fasse tuer ou je ne sais pas quoi d'autre. Alors dès que je le pouvais j'allais me promener avec Alexyïs. Mon frère était une personne très importante à mes yeux et j'essayais de m'occuper de lui du mieux que je le pouvais. Père étant à la guerre, il ne pouvait plus que compter sur moi et malgré mes frêles épaules j'acceptais cette mission avec allégresse. J'avais mon bras posé sur le sien quand il déclara. Ma place est à la guerre aux côtés de Père. Je soupirais. Tu seras bien assez tôt à la guerre. Regarde Calériand y est lui et je ne sais même pas s'il est encore en vie. J'avais le regard au loin. A vrai dire je n'avais pas pensé à l'éventualité que Calériand pouvait mourir sur le champ de bataille. Je savais que pour les hommes c'était un grand honneur mais ils se fichaient bien mal de nous les femmes qui les attendaient dans bien souvent des cas vainement. Je suis désolée Ala' je ne voulais pas te rendre triste. Je balayais des mains ses excuses. Voudrais-tu assister aux réunions du conseil ? En l'absence de Père ce n'est plus pareil. Il acquiesça et m'accompagna lors de toutes les réunions. Quand les hommes rentrèrent de la guerre je pouvais lire dans leurs yeux de la peine. Nous avions perdu beaucoup d'homme au combat et un roi mutilé. Je n'avais pas pleuré devant les soldats. J'étais simplement allée me réfugier dans ma chambre. Alatàriël ? IL était de retour chez nous. IL était là. IL m'avait laissé seul pendant des années. Tout va bien. Je me levais et je m'approchais de lui pour m'incliner devant lui. Il s'en remettra. Il est roi, il ne peut pas abandonner son peuple. Calériand me laissa seul dans ma chambre. Je me baignais dans l'illusion. Mon père était touché mortellement et il ne vivrait certainement pas longtemps encore. Être reine... Je ne le voulais pas ou du moins pas pour le moment.

Je t'en prie Calériand. Laisse moi venir avec toi ! Laisse moi t'accompagner ! Tu ne comprends rien... J'ai envie de battre, de vivre ou de mourir à tes côtés. Il réfuta ma proposition en maintenant que j'étais trop précieuse à ses yeux pour qu'il risque ma vie ainsi. Je ne pouvais pas lui désobéir alors je l'avais accompagné jusqu'à la lisière de notre forêt puis je lui avais dit adieu. Mon calvaire durait depuis des années et mon frère encore une fois avait préféré rester à mes côtés pour me soutenir. Nous étions tous les deux très proches. Il avait découvert depuis peu de temps qu'il pouvait entrer dans les esprits des autres pour converser avec eux. Cela nous permettait de parler librement sans que personne ne surprenne nos conversation – cela nous aider beaucoup lors des séances du conseil. Mon père avait finalement réussi à se remettre de ses blessures mais il était très vite fatigué et il nous donnait de plus en plus de responsabilités. Mon frère avait en charge le recrutement des armées et moi je devais écouter les complaintes du peuple et mettre en place de nouvelles lois. C'était un travail très intéressant mais mon côté rêveur prenait bien souvent le dessus. Ce jour là j'étais dans les jardins du palais quand un garde vient à moi. Madame. J'ai un message de messire Calériand pour vous. Je me levais tout à coup de mon trône pour arracher presque la lettre des mains du soldat. Mon fiancé disait sur la lettre que tout allait bien pour moi et qu'il rentrerait bientôt. Mais ça voulait dire quoi ? Bientôt était bien trop loin pour moi. Je devais le voir maintenant. Je prenais alors une grave décision. Je partirais dans la nuit aussi loin que je le pouvais pour qu'on ne me retrouve pas trop vite. Je voulais retrouver Calériand. J'avais grandement besoin d'être à ses côtés. Je faisais un sac, prenais mon arc, ma dague, une longue cape couleur verte et j'allais rejoindre ma jument pour partir. Tu vas nous abandonner ? Je m'arrêtais et je me retournais vers mon frère. J'ai besoin d'être à ses côtés Alexyïs. Comprends moi. Il me sourit et déposa un baiser sur mon front. Surtout fait attention à toi. Le royaume t'attendra, Majesté. Je lui souriais et je me mis en route. Je traversais la forêt petit à petit et j'étais assez étonnée de ne voir personne la parcourir pour me retrouver. Père aurait-il compris mon choix ? Je m'arrêtais pour la nuit quand je vis dans le ciel des lumières ou plus précisément des flammes qui semblaient venir de la citadelle. Je comprenais alors ce qu'il s'était passé. Je m'endormais de fatigue après avoir beaucoup pleurer. Il est mort par ma faute Alexyïs. Je n'aurais jamais du partir. Mon frère posa ses mains sur les miennes et me dit simplement :Il était fatiguée et triste. Ce n'est pas ta faute Ala'... Retrouve le Ala'. Je t'attends. Je me réveillais en sursaut. Mon frère. Il était là lui encore. Père était mort mais il me restait encore mon frère et Calériand. Je me remettais tout de suite en route. Je devais retrouver mon fiancé. Je le devais.

QUI SUIS-JE VRAIMENT ?

❝ ...le grand méchant loup. ❞

félicitation, tu es validé(e)

Tout d'abord, on a trouvé ta fiche : "Bon, Calériand n'a pas voulu valider, je m'en charge xd
Comme dis par mp, ta fiche est super, je n'ai rien à redire ;) Il faudra qu'on se fasse un rp toutes les deux vu qu'Ala' se trouve en forêt noire
"

Maintenant que tu es validé(e), tu peux d'ores et déjà créer ta FICHE DE PERSONNAGE et créer ton sujet pour tes RPs ! N'oublie pas aussi d’aller RECENSER ton avatar, on ne sait jamais si un membre du staff n'a pas fait son boulot
Tu peux dés maintenant participer au rp et si tu ne sais pas par où commencer, un TOPIC de demande a été créer par nos soins.

Les ANNEXES sont assez longues mais n'hésites pas à aller la lire si tu as la moindre question avant de demander à un membre du staff. On sait qu'il y a tout plein de sujet explicatifs mais c'est pour mieux organiser le forum et tu verras tout est assez simple ici \o/

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J'ai failli oublier, pour faire plus ample connaissance, je t'invite à t'amuser avec nous FLOOD.