étais arrivée à Minas Tirtith. Je venais d'effectuer un long voyage quelque peu périlleux. J'avais rencontrer des créatures quelques peu non amicaux et j'avais dû pour cela, user de mes dons pour pouvoir m'en sortir. En pleine nuit, je fus attaquée par des trolls, qui ont ainsi failli dévorer ma Pomme vivante ! Bien qu'ils étaient deux, j'ai réussi à les retarder, jusqu'à ce que le soleil arrive. Là, je vis avec stupéfaction qu'ils devinrent des statuts. J'étais très étonnée sur le coup, n'ayant d'ailleurs jamais rencontré ce genre de créatures répugnantes, je su ainsi leur faiblesse. Guérissant les quelques blessures superficielles de ma jument, je me suis installée sur son dos afin de pouvoir partir de là et peut être aller dans un endroit beaucoup plus sûr. Et c'est ainsi que j'arrivais dans la cité. On me repéra facilement, étant déjà arrivée par là, on me salua. Malgré quelques plaies obtenues que j'avais soignés, je faisais tout pour que personne ne remarque mes maux. Je ne voulais pas qu'on sache que j'étais une petite magicienne toute fragile. Déjà qu'il arrive qu'on se moque de ma petite taille ... peu importe. Je finis par m'arrêter près d'une taverne, je donnais ainsi Pomme à l'écurie pour qu'elle soit panser, soignée et nourrie. Je m'installais à une table où l'on m'apporta de quoi me restaurer. peu après, je bus un peu d'eau, m’essuyais les mains et remarqua quelqu'un au loin. Je me lève et me positionne dès lors à ses côtés et le regarda avec un sourire
« Bonjour Aodhán »
Dis je en lui adressant un large sourire. Je regardais l'homme qui me faisait face, il était beaucoup plus grand que moi. Ayant des traits aussi plus prononcés, mon regard se hasarda un instant sur son visage et sa carrure. Personnellement, je le trouvais mignon et il m'arrivais de sourire tout en me sentant piquer un fard, puisqu'en plus de cela, je le trouvais très charmant. Oubliant ainsi mes plaies peu pansées, je ressentis une chaleur dans mon être, j'étais très heureuse de retrouver une tête connue telle qu'Aod', nous nous entendons très bien ensemble, même s'il lui arrive d'adorer m'embêter. Je regardais à travers la fenêtre, j'allais certainement rester ici quelques temps, le temps de me remettre sur pied
code by Mandy
Invité
Invité
Invité
Invité
Sam 23 Fév - 13:44
De passage, comme toujours
M
inas Tirth. Capitale et la principale ville du royaume du Gondor , nommée aussi la Citée Blanche à cause de ses murailles d'un gris pâle qui rosissaient légèrement avec l'Aurore. Revenir dans cette ville ne faisait pas vraiment partie de ses projet ,mais contres temps à répétitions l'avait poussé vers le Sud alors qu'il était à la frontière entre le Gondor et le Rohan, sur les rives de l'Anórien . La ville la plus proche étant Sa ville, il n'avait donc pas eu le choix que d'y revenir, après deux années à l'éviter soigneusement.
Ce fut en fin de matinée qu'Aodhán entra par la Grande Porte qui faisait face à l'Est et au Mordor. Il n'avait nullement envie de traverser toute la Cité jusqu'à la Citadelle pour y voir son frère et encore moins son Père. Malheureusement dans cette ville, il ne pouvait rester anonyme très longtemps. Neveu de l'Intendant, fils de l'Ancien Capitaine des Gardes de la Citadelle et frère de l'Ambassadeur du Gondor, son visage était connu de la plupart des habitants de la Ville et la rumeur de sa venue se propagea rapidement. Il faut dire aussi que sur lui, Aod portait l'emblème de la Garde ainsi que celui de sa famille, donc niveau discrétion il avait fait mieux. Pour une fois, le manque d'anonymat ne le gêna guère, il savait que sa venue allait faire enrager son Père et que son Frère chercherait surement à la voir. L'idée de revoir Diarmaid, même qu'un court instant l'emplie de joie ,mais aussi de crainte. Depuis peu, son frère avait découvert qu'il était membre des Hommes de l'Ombre et ce dernier l'avait plus que mal pris
Laissant Gondor dans l'Ecurie de son Auberge préférée, il demanda à ce qu'il soit référé au plus vite ,car il ne s'éterniserait pas en ces lieux et donna quelques pièces au garçon d'écurie pour qu'il garde le silence sur sa venue ici. Dans l'Auberge, personne ne prêta attention à lui et il put s'installer a une table dans un coin, près d'une fenêtre donnant sur l'écurie. Il commanda du lard fumé ainsi d'un pichet de vin et du pain. Alors qu'il terminait ce frugal repas, une ombre passa devant lui et s'arrêta à ses côtés.
« Bonjour Aodhán »
Cette petite voie il la connaissait très bien , c'était celle d'un Mage qu'il avait rencontré durant un de ses voyages. Se prénommant Azalyra, elle était beaucoup plus petite que lui, sans doute elle ne lui arrivait pas plus haut que le torse, mage malicieuse avec un sourire quasi permanent. « Tiens donc ?! Ma petite Azalyra !» Depuis leur rencontre, Aod s'était attaché à elle comme un frère s'attache à sa petite soeur. N'ayant jamais eu des plus jeunes frères et n'ayant pas de soeur, il reportait sur celle ce sentiment fraternel qu'il avait partagé avec son frère dans le temps. Remarquant qu'elle n'était pas au meilleur de sa forme vue les quelques légères plaies çà et là, il tira une chaise de la table à côté pour lui faire une place à la sienne. « Aurais-tu cherché les embrouilles ? Ou peut être la jument te causerait-elle quelques problèmes ?» La dernière fois qu'ils s'étaient vues, Aod traînait avec lui une jument de trait qu'il avait récupéré comme cheval de bat, sauf qu'avec son étalon Gondor, le duo ne faisait pas forcement bon ménage. Alors quand il vit Azalyra, il lui en fit cadeau. Dans ses souvenirs la jument était une vraie pâte ,mais peut-être avait elle fait chuter Azalyra ? Il n'en savait rien ,mais si elle avait eu des problèmes, de n'importe quels ordres, il voulait tout savoir.
Invité
Invité
Invité
Invité
Sam 23 Mar - 11:44
Azalyra & Aodhán
A
ssise à la taverne, j'étais en train de me restaurer et en même temps, en train de panser mes plaies. Je n'avais nul besoin d'un guérisseur, étant mage de l'air, j'avais acquis de la magie de soin, ce qui pouvait me permettre de fermer quelques plaies avant de mettre des bandages sur d'autres. Je soupire, la douleur physique, je ne la connais pas, je ne pensais pas que ça pouvait ainsi faire mal, mais bon, je dois faire avec. Malgré tout, en serrant des dents, en pensant à autre chose, j'arrive à moins ressentir cette douleur. Buvant mon breuvage, j'aperçois au loin un ami, rencontré il y a quelques mois, qui m'avait aussi donné un jument de traie pour mes déplacements. Je me lève et le salue. Il fait de même avant de me lancer une petite pique de moquerie, qui me fait sourir
« J'ai rencontré des orques chevauchant des wargs. J'ai pu les distancer ... assez pour me réfugier ici »
Dis je simplement et doucement. Ayant utilisé ma magie élémentaire de l'air, j'ai pu rapidement les semer avec mes bourrasques. J'y ai réussi avec beaucoup de courages et de convictions, la peur trônait mon coeur, mais je devais faire face et rester en vie. Je me suis toujours sentie plus fragile ou faible que les autres mages qui étaient là avant moi tels que mon père, Paladon, Radagast, Saroumane ou encore Gandalf. Peut être je me sous estime, les grand Mayar m'ont envoyé ici en sachant que je pouvais convenir au rôle de soutien pour ces mages, mais parfois je me demande s'ils ont fait le bon choix, pas que je doute d'eux, mais je doute de moi-même. Je regardais l'humain en face de moi, il était plus grand et avait certainement plus de carrure que la frêle magicienne que je suis
« Pomme va très bien. Elle se repose à l'écurie. Elle a été très courageuse, je crois que je peux dire que je lui dois la vie »
Je regarde Aodhan, lui souriant sans trop rajouter quoi que se soit là-dessus. Dans un sens, je lui devais aussi la vie
