Née au royaume elfique de Foncombe. D’une mère humaine nommée : Justine connu sous le nom de la brave : mortelle mais combattante n’ayant point peur de la mort ni de l’interdit, d’un père elfique nommé Fëanturi Felagund maitre des esprits de Valinor : un homme sage, ouvert d’esprit et guerrier. Ses parents tombèrent amoureux un doux soir de mai. Idril est née d’un amour sincère et immortel. Descendante d’une mère humaine et d’un père elfique. Elle passât sa plus grande enfance auprès des elfes, restant dans leur royaume librement tout en respectant les lois des elfes. Idril fut très proche de son père : il était un exemple pour elle, elle a donc appris à manier l’arc et l’épée dès son plus jeune âge. Son père était intransigeant il la poussait toujours à bout jusqu’à ce qu’elle atteigne le meilleur d’elle-même, tout en étant sage d’esprit il lui a permis de voir au-delà des apparence et ou delà des limites que nous croyons infranchissable. Sa mère était plus douce, le cœur sur la main sa fille était sa vie et sa seule raison de vivre. Pour elle, elle a rangé les armes et ne sait plus battu, elle lui a donné une éducation digne d’une princesse, elle devait faire preuve de respect face aux anciens, faire preuve de bravoure face aux hommes, savoir où se situait, ou était sa place de femme c’est-à-dire auprès d’un homme. Il était toujours sujet de mariage et d’engagement, Idril était réticente, elle ne désirait pas s’engager éternellement avec un homme que l’on lui choisira. Elle était toujours en confrontation avec celle-ci, elle ne s’entendait jamais. Un jour Idril s’enfuyait dans les bois, et son esprit erra autour de cette foret elle perçut d’étrange son, elle voulait fuir sa destinée, prendre sa propre route et choisir son propre destin. Marchant sur le dos d’un cheval blanc, elle était en plein songe, elle avait décidé de fuir ce que sa mère voulait qu’elle devienne. Personne ne l’empêchera d’être libre. Elle retourna au royaume et au jour de son jeune âge plein d’insouciance et de courage elle fit face à sa mère, aucune crainte dans les yeux. « Mère vous ne serez pas celle qui choisira mon destin. Je veux prendre mon propre chemin. Je ne veux point me marier. Je suis jeune mère et j’ai une existence infinie qui n’attend que moi. Vous devez me laissez partir. Ne pas me retenir mais m’encourager. Vous devez comprendre Mère. Vous étiez jeune et insouciante il y a un temps jadice. Père n’est pas contre ma volonté. Il a lu dans mon esprit ce que je désire le plus : la liberté : celle de chevaucher dans le temps, libre comme l’air, faire face au monde j’ai besoin de venir à lui. Nous nous reverrons un jour Mère. Je ne vous quitte pas à jamais. Si l’avenir est avec nous, nous nous reverrons peut être. » - Sa mère ne chercha pas à la dissuader elle la connaissait trop bien. Il y a quelques années, elle avait fait le choix d’être un elfe avant tout, elle lui avait dit qu’elle tenait à son humanité mais qu’elle était plus proche de l’immortalité des elfes. C’était son choix, elle l’avait assuré que l’humaine qu’elle était serai toujours là, à chaque pas, à chaque instant. Qu’elle n’oubliera jamais ses origines. Sa mère qui lui a donné la vie. Son père qui lui a permis d’être dans ce monde, grâce à leur amour véritabe.
Elle se souvient de ce jour, de cette nuit où elle était près de la fontaine d’eau douce et clairvoyante. Elle s’était assise sur la murette, dos à elle mais face au monde, face à ce chemin qui la mènerait vers le monde. Vers la vie. Son père s’était joint à elle, elle avait sentit son esprit mais ses pas furent aussi légers que la brise du vent d’été. Il prit congé à ses côtés, d’une fière allure, elle put percevoir dans les yeux de son père : la fierté, l’inquiétude mais aussi cet amour qui jusqu’à présent n’éclatait pas aussi librement que ce soir. Idril fut tellement touchée, qu’elle ne put s’empêcher de verser quelques larmes face à son Père. Elle était inondé d’amour mais à la fois de compassion et d’une légère crainte de l’inconnu mais sa bravoure était ce qu’il dominait le plus. « Père. Vous me manquerez. Je vous remercie pour tout. De me permettre d’être libre de mon destin. Mon cœur appartiendra toujours à mon royaume tout comme à vous. Sans vous je ne serai jamais devenu cette femme que je suis. Promettez moi Père de protéger Mère, je sens sa vie s’éteindre peu à peu, nous savons vous et moi qu’elle nous quittera. Je promets que je reviendrai auprès de vous. Vous serez toujours dans mon esprit mais surtout dans mon cœur. » - elle posa sa main sur la main de son Père. Il lui répondit calmement et d’une douceur sans nom « Idril. Ma fille. Mon sang. Quoique tu fasses nous respecterons tes choix. Promet moi d’être prudente et de ne pas faire trop d’imprudence ce qu’il risque de ne pas être le cas, mais reste sur tes gardes, tu dois toujours être libre de tes actes, avoir confiance en ta clairvoyance. Notre amour pour toi et notre protection te suivront tout au bout du monde. Part et soit libre. Soit aventureuse, tu es forte, tu seras te battre et te défendre, tu seras percevoir ce qui est juste ou non. N’oublie jamais ton rang, ni ton appartenance afin de ne pas sombrer dans la folie. Je t’aime Idril : Fille de Justine la brave et d’un Valinor. » - l’amour les submergèrent, ils s’enlacèrent, son cœur s’y sentit plus léger. Son père lui tendis une chaine en argent où était suspendu une feuille elfique au milieu s’y situé une serrure et la clé appartenait à son père. Elle était désormais elfique et son père lui avait confié le signe qui lui appartiendra à jamais.
Idril parti explorer le monde, elle avait fait ses au revoir à ses parents et à son peuple, elle avait lancé un regard en arrière et sur son cheval, d’une allure fière et assurée, elle passât le chemin et sorti du Royaume de Foncombe. Elle était libre et ses aventures pouvaient commencer, elle sentait son courage lui empoignait le cœur, elle se sentait invisible et sur rassurée, elle avait l’impression d‘être là où elle devait être entouré de la nature. Vibrée face à autant de liberté. Elle savait qu’elle croiserait d’innombrables personnes : dangereuse tout comme bienfaisante. De nombreuses races et elle n’avait qu’une hâte commencer cette aventure.