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only shadow and dust × alexander

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Mar 11 Juin - 22:29
⊹ We mortals are but shadows and dust. Shadows and dust!


only shadow and dust × alexander DTL6dNE Après avoir chevauché pendant des jours à la lisière de la Forêt Noire, puis de la Celduin, ce fut avec soulagement qu'elle laissa les monts d'Emyn Duir derrière elle, prouvant qu'elle n'allait pas tarder à rejoindre le Long Lac. Ce n'était qu'une question d'heure, six heures à peu près, voir plus puisqu'il lui faudrait sans aucun doute traverser la rivière de la Forêt pour rejoindre Esgaroth. Et il lui faudrait également trouver quelqu'un pour s'occuper de Dae car la ville des hommes n'était accessible qu'en bâteau. Une chose dont Lûthiel se serait bien passé. Se séparer de son étalon était pour elle aussi dur que de se séparer de son arc, sauf lorsqu'elle avait la certitude qu'il était en sécurité, mais là, ce ne serait pas le cas.
Le soleil ne s'était pas encore levé mais déjà, l'horizon pâlissait, le ciel se teintait de rose et d'orange. La lune s'effaçait lentement. Bientôt, le jour apparaîtrait, comme il le faisait chaque jour, et bien trop rapidement.
Lûthiel pressa les flancs de Dae qui parti au galop. Un de ses rares sourires illumina son visage tandis qu'elle savourait le vent qui fouettait son visage. Elle adorait chevaucher, se sentir libre. C'était pour cela qu'elle restait généralement peu de temps au même endroit. De rares fois elle s'était aventurée hors du Rhovanion, car c'était ici qu'elle sentait le plus la présence des Elfes, entre autres, car elle sentait aussi que le mal approchait, surtout dans certains lieux de la Forêt Noire qu'elle évitait soigneusement.
Après quelques heures de chevauchées, qui passèrent rapidement, Lûthiel arriva au croisement du Long Lac, étendu miroitante et stable qui reflétait le soleil et de la rivière de la Forêt. Elle ne perdit pas de temps et se mit à la recherche d'une ferme pour Dae, car elle ne pouvait guère le laisser vagabonder ici en attendant son retour, pas plus que de l'attacher à un arbre. Mais si il y avait une ferme, ou même un petit village de pêcheur, cela ferait l'affaire. Et effectivement, après avoir parcouru quelques lieues, elle trouva un fermier qui accepta de garder Dae un jour ou deux, le temps qu'elle se rende à Esgaroth. Il ne lui demanda aucun paiement, presque ébahi qu'une Elfe lui demande un service. Lûthiel se promit dans un coin de sa tête, de se souvenir de ce fermier là, et un jour, elle lui paierait ce service, à lui ou ses descendants. Revenant sur ses pas, elle n'eut pas de mal à trouver un pêcheur cette fois-ci qui accepta de la faire passer de l'autre côté, puisque son bâteau était vide.
L'après-midi touchait à sa fin lorsque Lûthiel apperçut les premières habitations d'Esgaroth. Elle ne savait absolument pas ce qu'elle allait y faire, mais les villes des hommes l'avait toujours intriguée, ils étaient si différents des Elfes, plus primaires, plus laids aussi. Marchant rapidement, et sans être essouflée, l'Elfe rabatit sur sa tête son capuchon afin que l'on ne voit pas ses oreilles, et son visage qui trahissait sa race. Les Elfes ne devaient pas être nombreux à se rendre dans cette bourgade, et elle n'avait pas envie d'être interogée.
Avec une légère appréhension, Lûthiel remarqua toutes ces maisons en bois, construites sur des pilotis, tout comme les rues. Esgaroth semblait à première vue, ne pas être très recommadable, vu les individus qu'elle croisait, ou alors, vraiment, elle et les Elfes avaient raisons et les hommes étaient encore plus disgracieux qu'elle ne le pensait.
La rue qu'elle traversait était encombrée de monde, tous se pressaient les un contre les autre, cherchant un moyen d'aller plus vite ce que Lûthiel trouva détestable. Les Elfes ne se touchaient pas. Et ils ne touchaient surtout pas les humains. Elle inspira profondément en se disant qu'elle tournerait dès que possible. Elle accéléra le pas, se frayant aisément un passage grâce à sa vitesse et son agilité, puis tourna d'un coup, sans regarder devant elle.
Aussi fut-elle étonnée lorsqu'elle se heurta à un homme. Elle vacilla légèrement. Elle ne l'avait pas vu venir lui. Rapidement elle redressa son capuchon, et sans un seul regard, lança dans la langue commune, avec un accent léger:

« Je suis navrée. Je ne vous ai absolument pas senti venir. » Lûthiel pinça ensuite les lèvres, attendant une réponse qui lui permettrait de s'en aller. Elle s'était excusée. Face à un mortel. Cela ne la dérangeait pas de remercier un humain, mais s'excuser. Si. C'était légèrement humiliant pour elle. Mais heureusement, elle allait bientôt oublier ce petit événement de rien du tout. Déjà, elle trouvait des tas d'excuses pour se justifier, a hâte à vouloir quitter la foule, le fait que sa vision soit à moitié masquée par son capuchon etc..
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Jeu 13 Juin - 5:54
Cela faisait déjà une semaine que je m’étais arrêté à Esgaroth. J’avais de nombreux clients dans ces lieux peu accueillants. Cette population humaine était parmi les plus peureuse qu’il soit, en tout cas en comparaison des autres régions que je connaissais. Depuis de nombreuses années je sillonnais la Terre du Milieu à la recherche d’une nouvelle clientèle mais aussi pour fournir l’ancienne. Malgré cet endroit qui ne me plaisait guère puisque ennuyeux et peu sympathique en terme d’atmosphère et d’environnement, j’étais satisfait de mon arrêt un peu plus long que prévu. J’avais pu allonger ma liste de potentiels acheteurs ce qui était un véritable plus pour moi. Etant donné les relations tendues entre le Rohan et le Gondor, deux régions humaines cruciales pour mon marché, mes revenues avaient diminué et de beaucoup ! Peu de clients étaient prêts à courir le risque d’effectuer des commandes d’armes illégales en ces temps de surveillance renforcée.
 
Tandis que la nuit s’apprêtait à remplacer le jour, je m’étais rendu d’un pas décidé et enjoué à l’auberge populaire de la ville. Non seulement on pouvait y faire de nombreuses rencontres (bien qu’il faut l’avouer la population était peu diversifiée en comparaison d’autres contrés de la Terre du Milieu dans lesquelles les mélanges entre races étaient un peu plus frappantes) mais en plus, le personnel commençait à bien me connaître. J’étais « le buveur » du coin. J’avais du remporté de nombreuses petites « compétitions » pour dénicher ce titre de vainqueur ! Sur le chemin pour l’auberge, je croisais une tête familière : il s’agissait d’une humaine, Sandra, avec qui j’avais beaucoup sympathisé il y a de cela environ un an lors de ma dernière visite à Esgaroth. J’avais fini par comprendre qu’elle avait un faible pour moi bien que mes sentiments pour elle étaient nuls. Bref, toujours est-il que nous avancions tout deux en direction de l’auberge tout en discutant de tout et de rien lorsque soudainement je percuta une personne, du moins c’est ce que je croyais  jusqu’à ce que la dite personne s’excuse encore et encore pour son action maladroite. Ma première réaction fût le rire, l’éclat de rire. Je ne me moquais pas d’elle (et j’espérais par ailleurs qu’elle ne prenait pas ces éclats de rire de manière personnelle).
Je fus de suite curieux de voir le visage de la fille plus distinctement. Ces traits de visage, son long cou, ses yeux, sa beauté mais aussi sa façon de parler ne cachaient rien à une personne qui avait autant voyagé que moi. C’était un elfe. Un sourire au coin des lèvres je trouvais sa gêne très amusante. Elle semblait complètement perdue autour de toute cette race humaine. Pour avoir côtoyer les elfes, je pouvais tout à fait comprendre son embarras. Toujours aussi amusé par ses excuses qui n’en finissaient pas, j’en oublié Sandra qui était à ma droite. Jouant le jeu, je fis mines qu’elle m’avait fait extrêmement mal à l’épaule. Je serrer mon épaule gauche de ma main droite comme si je ne pouvais plus penser à autre chose que la douleur qui se répandait dans mon bras. Grimaces après grimaces, je me baissais légèrement et me retrouvais très proche de l’elfe. Je m’amusais un peu avec elle, je connaissais bien les elfes et l’importance qu’ils pouvaient accordés aux distances. Sandra bien évidemment était tout à fait paniquée.
 
« -Non, mais ça va pas ? Vous n'êtes qu'une brute ! » Cracha-t-elle au visage de l’elfe.
 
Pour moi, la situation était juste très amusante. Je posais ma main cette fois sur l’épaule de l’elfe. Sandra était rouge de jalousie. Elle finit par lancer, en me frottant le dos en signe de réconfort et de soutien.
 
« -Je vais chercher quelqu’un mon ange. »

Ah oui ! On avait tendance à m’appeler ainsi, bien que ce ne soit absolument pas le cas ! J’eus un sourire moqueur, assez discret pour qu’elles ne le remarquent pas. Sandra s’enfuit en courant dans la foule. Je ne pouvais plus me retenir et éclata de rire. L’elfe semblait d’autant plus perdu qu’elle ne l’était déjà.
 
« -Ne vous en faites pas Mademoiselle ! Tout va bien ! »
 
Je fis une pause pour me redresser et faire face à l’elfe tout en prenant soin d’enlever ma main de son épaule.
 
« -Je vous prie de m’excuser. Mais une elfe, à Esgaroth ! Vous ne devez pas du tout vous sentir dans votre élément ! Je vous avouerais que je n’ai pas résisté à vous taquiner quelque peu… »
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Jeu 13 Juin - 14:07
Au côté de l'homme se trouvait une femme. Lûthiel ne la remarqua que lorsque celle-ci commença à s'exciter et à perdre son calme. Si elle avait été une humaine, elle aurait sans doute très mal pris cette réaction, mais c'était une Elfe, et elle ne se départit pas de son calme, se contentant de regarder fixement la femme. Les hommes, ils étaient tellement portés sur leurs émotions, sentiments qu'ils ne se contrôlaient pas toujours, ils étaient tellement... animaux parfois. 
Lûthiel se raidit lorsque l'homme posa la main sur son épaule, il le faisait exprès? Sans aucun doute. Néanmoins, cela était loin d'être une situation plaisante pour elle. La femme lança une phrase à son compagnon que Lûthiel ne prit même pas la peine d'écouter avant de s'élancer dans la foule. Cela ne la soulagea pourtant pas car il restait l'homme, elle s'était excusée, pourquoi n'était-il pas parti? Méfiante, elle l'observa. Il avait une tête... étrangement rassurante. Pas comme la plupart des hommes de cette ville, qui même s'ils vivaient sur une étendue d'eau, ne prenaient même pas soin d'eux. D'ailleurs, c'était encore une chose navrante chez les hommes. Lûthiel pouvait aisément faire la liste de leurs défauts, mais pour leurs qualités c'était une chose plus difficile, plus délicate. 

«  Ne vous en faites pas Mademoiselle ! Tout va bien ! » lança finalement l'homme qui se tenait face à elle. Mademoiselle? Lûthiel faillit le corriger. Elle n'était pas une demoiselle, du moins, pas à l'éxtérieur de la Lorien. Ici, elle n'était qu'une simple aventurière, peut-être même une guerrière, mais une demoiselle? Elle fut vexée. Mais son visage restait impassible, tout comme son attitude en général. Seule une lueur offensée brillait dans ses yeux.
Lûthiel se retint de pousser un soupir de soulagement et un brusque écart lorsqu'il retira la main de son épaule. « Je vous prie de m’excuser. Mais une elfe, à Esgaroth ! Vous ne devez pas du tout vous sentir dans votre élément ! Je vous avouerais que je n’ai pas résisté à vous taquiner quelque peu… » Lûthiel se tenait déjà trop droite pour pouvoir se raidir encore, aussi ne put-elle que fixer l'homme encore une fois. Elle était surprise, mais elle n'en montra rien. Au contraire, ses sourcils se froncèrent. Il était observateur, peut-être même intelligent. En fait, il l'était sûrement, parce qu'il avait deviné sa nature malgré ses oreilles cachées, ainsi que la majorité de son corps. Sans doute avait-il déjà eu affaire à des Elfes par le passé.  
Quand à ce qui était de la taquiner, elle avait beau ne pas être une meurtrière, il ignorait que lui et sa compagne avait bien failli être à deux doigts de finir une flèche entre les deux yeux. La taquiner, l'humilier plutôt. Mais il n'était pas dans sa nature de ressasser ces choses-là, aussi préféra t-elle ignorer la dernière partie de sa phrase. 

« Et alors? Esgaroth est bien située à proximité d'un Royaume Elfique. » répliqua t-elle d'une voix neutre, alors qu'elle mourrait d'envie d'être hautaine avec lui. Quand à ne pas être dans son élément, effectivement, elle ne l'était pas du tout, sinon j'avais elle ne l'aurai bousculé. Mais elle préféra tout de même ne pas confirmer. Cela ne le regardait pas après tout. «  Qui ton amie est-elle aller chercher? » demanda Lûthiel en laissa ses doigts effleurer les plumes de ses flèches. Elle ne demandait pas cela par curiosité. Elle n'aimait simplement pas les surprises. Et honnêtement, elle n'avait pas la moindre envie de se défendre. Elle en serait capable, bien sûr, elle était beaucoup plus rapide et vive que les hommes, en une minute, elle pouvait vider son carquois entier. Les problèmes. Elle poussa un léger soupir. Elle les attirait comme des mouches. 
L'homme restait toujours planté devant elle. Trop proche. Mais Lûthiel était déterminée à ne pas bouger d'un seul pas, elle n'était pas faible après tout. Et dès qu'il aurait répondu à sa question, elle s'en irait, et il n'aurait pas intérêt à lui boucher le passage, parce que elle aussi, était capable de le taquiner, de s'amuser. Et ce ne serait pas drôle pour lui.

Elle abaissa son capuchon, après tout, cela ne lui servait plus à rien de se cacher, puisqu'il avait découvert qu'elle était une Elfe. «  Enfin peu importe de toute façon. Je suis sûre que je n'aurai aucun mal à faire face au problème. » Et, elle sourit. C'était un sourire qui montrait à quel point elle était sûre d'elle. Et c'était à vrai dire le cas. Elle avait presque mille ans, dont au moins neuf cents passées à voyager, à participer à des batailles -surtout de loin-. En y réfléchissant, peu lui importait que cet humain se soit moqué d'elle, car, d'ici quelques temps, il serait sorti de sa mémoire.  
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Dim 23 Juin - 20:32

Je ne m’étais pas autant amusé depuis longtemps. Cette elfe était tout à fait inconfortable dans cette situation. Non seulement, elle n’était pas dans son environnement mais en plus de cela, j’en profitais pour la rendre d’autant plus mal à l’aise. Quel plaisir ! J’étais dur et j’en avais conscience. Un sourire en coin, j’écoutais avec beaucoup d’attention chacune de ces réponses. Bien qu’elle semblait vouloir se faire passer pour « sûre d’elle », ces petites remarques et sa gestuelle la trahissaient. A sa dernière remarque je ne pus cacher une petite grimace. Cette femme était si prévisible. C’était un point central de ma relation avec les autres : un simple regard me permets de lire dans l’âme d’autrui. Il est évident que je ne m’intéressais qu’à peu de personne à l’exception de moi-même, encore plus lorsqu’il s’agissait de femmes. Bien que je sois un véritable gentleman, j’avais peu de considération pour les femmes. Elles m’avaient fait souffrir étant adolescent, ma mère m’avait abandonnée lorsque je n’avais que quelques mois, pour ainsi dire je me méfiais du sexe opposé et cela en toutes circonstances. Malgré cela, cette femme m’inspirait une certaine confiance.
Le sourire qu’elle afficha alors reflétait une femme si différente que celle qui m’avait été présentée jusqu’ici. J’eus un petit rire. Devant un tel gabarit, je voyais mal cette femme toute fluette se battre contre des hommes musclés et baraqués. J’imaginais la situation dans ma tête, le sourire restait sur mon visage. Je la fixais, cherchant à rencontrer son regard. Elle semblait l’éviter le plus possible. Je devais la mettre mal à l’aise, ce que je pouvais aisément comprendre. Soudain, j’entendis au loin une voix familière. Il s’agissait de Sarah qui revenait avec… deux médecins ! Décidément, elle était beaucoup trop amoureuse de moi. Il me fallait agir. Deux scénarios s’offraient à moi : rester et attendre que les « secours » arrivent, ou bien l’autre solution était de partir en courant avec la belle demoiselle. Pourquoi m’ennuyer et attendre l’assistance ? Un fin sourire du coin des lèvres, je finis par enfin croiser le regard de la belle créature qui se tenait face à moi. Comme un gamin qui cherchait à taquiner son amie, je lui volais l’une de ses flèches et partit en courant, en trombe, dans la foule. Il était hors de question qu’elle réussisse à me rattraper. Une personne extérieure m’aurait certainement donné dix ans de moins que mon âge actuel. Il faut dire que ce jeu de chat/chien m’amusait au plus haut point. Me retournant, tandis que je me heurtais à toutes les personnes que je croisais, je regardais Sarah et les deux médecins qui regardaient à droite à gauche. Nous les avions donc semés. Oh non ! La chieuse venait de croiser mon regard. Nous étions repérés. Je courais d’autant plus vite espérant que la belle me suivait.
Dans ma course, j’essayais de visualiser les cachettes autour de nous. Ma recherche fût fructueuse, je repérais une auberge au loin et me précipitai dès lors dans cette direction. L’Elfe me suivait et par ailleurs se rapprochait dangereusement de moi. J’arrivais enfin à destination, j’ouvris la porte de l’auberge, et me glissa le plus vite possible derrière un des comptoirs. Le serveur ne me remarqua pas. L’elfe, elle, s’arrêta à l’entrée de l’auberge. Oh, oui, c’était sûrement un peu trop à encaisser pour une demoiselle aussi distinguer, la beuverie, l’odeur mélangée de la sueur et de l’alcool, des hommes en manque de jolies jeunes filles. Bref, je revins sur mes pas, prit sa main, jeta sa capuche afin de cacher son visage et l’entraîna derrière le comptoir. Nous attendîmes une petite minute, je jetais un œil au dessus du comptoir afin de vérifier si mon équipe d’assistance nous avait suivie. Nous en étions débarrassés. Attendez ! Pas si vite ! L’elfe se leva du comptoir, pensant certainement tout comme moi que la course poursuite avait pris fin, mais je me permis de prendre son vêtement pour la forcer à se baisser de nouveau. Dans ma précipitation, je n’avais pas remarqué que j’avais, en fait, positionné ma main au niveau de ses fesses. Cela faisait beaucoup à endurer pour une elfe ! Espérant qu’elle n’y avait pas prêté attention, ce qui était impossible… Je vérifiais de nouveau l’entrée de l’auberge. Sarah et les deux médecins entamaient leur sortie. Nous étions enfin tranquilles. Un sourire amusé sur le visage, un peu essoufflé, je dit à ma nouvelle compagne :
« -Eh bien ce fût une course amusante ! Tenez voici votre flèche ! » Je fis une pause et reprit « Vous aimez le tir à l’arc ? » la dévisageant du regard j’ajoutais « -il est vrai que vous m’intriguez. Que fait une elfe, avec son arc, seule, sans un gentilhomme pour l’accompagner, dans un village humain et non le plus distingué et le plus accueillant de la région… »
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