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Nydoeclya ❧ Princess Of Dol Amroth

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Dim 20 Jan - 3:50

Nydoeclya
❝ Quoi qu'elle fasse, quoi qu'elle dise, obéissez. Si vous vous amusez à jouer les insolents avec elle, elle n'hésitera pas à vous briser la nuque et à vous casser le dos avant que vous n'ayez pu réagir et il en sera fini de vous. ❞

NOM ; - PRÉNOM(S) ; Nydoeclya RACE; Humaine ÂGE ; 36 ans Date & Lieu de Naissance ; 2905 du T.A à Dol Amroth PROFESSION/RANG ; Princesse & Guerrière de Dol Amroth
AVATAR ; Katie McGrath CRÉDITS ; Avatar: Meissa - Gifs: Tumblr - Sign: Wild Heart
PERSONNAGE ; Inventé GROUPE ; Humains POUVOIR/SPÉCIALITÉ ; Très bonne cavalière, excelle au maniement de l'épée et des armes blanches ainsi qu'au combat au corps à corps. A parfois des faiblesse pour l'usage de la hache, pratique pour défoncer les orcs.
RACONTE-NOUS TOUT


C
ontrairement à ce que vous pouvez croire, cette histoire ne commencera pas par « il était une fois une princesse » et ne se terminera en aucun cas par « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ». S’il y a parmi vous des amateurs de trahisons, de rivalités, de dragons et de quêtes improbables au dénouement tragique, je vous conseille vivement de lire ce qui suit, car vous devriez y trouver de quoi vous faire plaisir…

Chapitre 1.


D
es cris de femme déchirèrent le silence de la nuit. Pour ceux qui se trouvaient dans la pièce d’où ils provenaient, ça n’avait visiblement rien d’inquiétant, mais pour l’homme qui patientait dans le couloir depuis quelques heures maintenant, c’était effroyable. Tournant sans relâche en rond comme un lion dans sa cage, il s’était arrêté net en les entendant et à présent, il fixait la porte qui le séparait de l’événement sans ciller. Pourquoi diable cela prenait-il autant de temps ? De nouveaux cris retentirent tandis que dehors l’orage prenait maintenant des allures de tempêtes. Ce n’était pas bon signe il le savait, il le sentait au plus profond de lui et personne ne semblait vouloir venir l’informer du contraire. « Ne t’en fais pas mon frère, tout va bien se passer. » Lança soudainement une voix derrière lui. Une main se posa sur son épaule et bientôt, celui qui venait de prononcer ces paroles apparu dans son champ de vision, un sourire qui se voulait rassurant sur les lèvres. Il était incroyable de voir à quel point Carún pouvait garder son sang froid même dans les situations les plus périlleuses. Comment faisait-il ? Il l’ignorait. Ce qu’il savait cependant, c’est que s’il n’en avait pas été capable durant leur enfance, il ne serait probablement plus là à l’heure qu’il est, s’inquiétant pour sa femme et son futur enfant. Un mince sourire se dessina sur les lèvres du Prince de Dol Amroth qui se contenta pour toute réponse d’acquiescer d’un léger mouvement de tête tandis que les cris de son épouse gagnèrent en intensité.

Une heure s’écoula, puis une autre et encore une autre. Le silence avait maintenant reprit ses droits dans la maison, mais pourtant personne n’était encore sortit de la chambre ce qui inquiéta Vaddýn, bien plus que lorsque les hurlements de son aimée étaient venus lui écorcher les oreilles et lui fendre le cœur. C’était beaucoup trop calme. Cette fois, son frère aurait beau lui dire ce qu’il voulait pour tenter de l’apaiser, il n’y aurait rien à faire tant qu’il n’aurait pas vérifié de ses propres yeux que tout allait pour le mieux. Imaginant alors toutes les situations possibles responsables d’une telle attente, il égraina nerveusement une énième fois son chapelet de prière qui semblait plus usé que jamais. « Monseigneur…» Souffla finalement une jeune femme. Sortit de ses sombres pensées, l’homme releva vivement la tête et évalua d’un coup d’œil celle qui lui faisait à présent face. Vue la mine qu’elle avait, il était évident que non seulement quelque chose n’allait pas, mais qu’en plus, on l’avait très certainement désignée d’office pour venir annoncer l’état des choses à son souverain. Il retint sa respiration, n’attendant plus que le verdict et espérant au plus profond de son être que tout ça n’était qu’en réalité une folle idée de son esprit fatigué. « Monseigneur…» Reprit-elle d’une voix peu assurée. « Je suis sincèrement navrée…» Elle n’eut pas le temps de terminer.D’un geste, le Prince l’écarta de devant la porte et entra dans la chambre à la grande surprise de ceux qui se trouvaient encore à l’intérieur. La plupart des chandelles qui éclairaient la pièce étaient entièrement consumées et le feu dans l’âtre s’éteignait lentement mais sûrement, ce qui rendait l’endroit plutôt sinistre. Allongée sur le lit, la femme du Prince semblait dormir paisiblement, néanmoins les importantes tâches de sang qui maculaient les draps, ainsi que la pâleur extrême de son visage indiquaient tout autre chose, ce qui le fit violemment frémir. Il ouvrit la bouche pour appeler son épouse afin de s’assurer lui-même de son état, cependant aucun son n’en sortit, l’évidence le frappant de plein fouet et le laissant complètement tétanisé. « Et l’enfant ? » Demanda son frère qui se tenait à ses côtés. Dans un silence presque solennel, la sage-femme se saisit d’un paquet de couverture qu’elle tendit par la suite à Vaddýn. « C’est une fille, Monseigneur.»

Chapitre 2.


A
ssise devant sa coiffeuse, la petite fille grimaça une nouvelle fois. Si elle aimait qu’on s’occupe un peu d’elle, elle avait en revanche du mal à supporter qu’on maltraite sa longue tignasse brune de cette manière. Oh bien sûr, une fois que tout serait terminé le résultat serait vraiment très joli, mais en attendant, qu’est-ce que ça pouvait tirer… « Il faut souffrir pour être belle » Lança la nourrice de l’enfant qui avait bien comprit ce qui se passait sous ses mains expertes qui s’afféraient à faire des tresses d’une grande complexité. « Ca va durer encore longtemps ? » Questionna la gamine qui essayait de s’occuper tant bien que mal avec les quelques accessoires qui trainaient sur le meuble. « Ca prendrait moins de temps si tu cessais de gigoter dans tous les sens…» Répondit son interlocutrice en regardant non sans amusement la jeune demoiselle par le biais du miroir. « C’est que j’aimerais bien pouvoir aller faire un tour avant le banquet histoire de me dégourdir un peu les jambes… » L’ancienne resta silencieuse, elle savait pertinemment qu’essayer de dissuader la petite de sortir reviendrait à s’adresser à un mur. Plusieurs minutes s’écoulèrent ainsi au grand dam de Nydoeclya. Elle n’aimait pas quand tout était calme, elle ce qu’elle adorait par-dessus tout c’était quand il y avait de l’action, de l’aventure ! Tiens, d’ailleurs en parlant d’aventure… « Sarín, raconte-moi encore l’Histoire s’il te plait. » Lança-t-elle en affichant un grand sourire sur son visage aux traits fins. « Encore ? Tu devrais la connaitre par cœur à force… » Rétorqua la concernée qui avait cessé de compter le nombre de fois où la fillette lui faisait cette requête. « Peut-être, mais j’aime bien quand c’est toi qui la raconte, c’est mieux ! Allez, s’il te plait ! Au moins pendant ce temps je ne m’agiterais plus et tu pourras terminer tranquillement la coiffure ! » Un long soupir se fit entendre, c’est qu’elle était loin d’être bête la petite, toujours d’excellents arguments sous le coude…

« Tout commença il y a fort longtemps dans la ville de Dale, une ville florissante et merveilleuse qui se trouvait non loin du plus grand Royaume Nain, Erebor. Gouverné par Thror, le Royaume sous la Montagne était un endroit où l’or coulait à flot. Les nains qui y travaillaient y créaient des métaux d’une beauté incomparable et d’une perfection étonnante. Ne cessant jamais de creuser plus profondément dans la roche, ils trouvèrent un jour le cœur de la montagne, l’Arkenstone. Y voyant là un signe de son pouvoir sur la montagne, le Roi décida alors que tous les peuples devraient lui promettre allégeance, mais tandis que les richesses s’accumulaient dans les salles d’Erebor, un nouveau mal s’éveilla. Attiré par l’or et les bijoux, un ver particulièrement avide du nom de Smaug, s’envola et vint vers le Sud. La première annonce que nous en eûmes fut un bruit semblable à un celui d’un ouragan venant du Nord et le craquement des pins de la Montagne sous l’assaut du vent. Quelques uns des nains, dont par chance je faisais partie, virent alors au loin le dragon se poser sur notre montagne dans une trombe de feu, puis descendre la pente et quand il atteignit enfin les bois, tout se mit à flamber. A cet instant précis, toutes les cloches de Dale sonnèrent et les guerriers prirent les armes. Les nains se précipitèrent par la grande porte, mais le dragon était là à les attendre, et malheureusement aucun d’eux n’en réchappa. De la rivière s’éleva une grande vapeur et Dale fut alors plongée dans le brouillard au milieu duquel Smaug fondit sur eux et détruisit la plupart des guerriers. Après quoi, il s’en retourna sous la grande porte et fit place nette dans tous les passages, les tunnels, les allées, les caves, les salles et les appartements. Ne restant plus un seul nain vivant sous la Montagne, le dragon s’empara alors de nos biens. Il n’y eut jamais d’aide de la part des elfes qui pourtant étaient venus autrefois, et c’est ainsi donc que nous partîmes en exil dans la Terre du Milieu jusqu’à finalement nous installer dans les Montagnes Bleues. Jamais personne n’oublia le trésor volé pas même le petit-fils de notre Roi, Thorin, qui se jura de reprendre un jour ce qui lui appartenait et faire subir à Smaug, l’effet de nos malédictions… » Sarín termina son récit en même temps que la coiffure qu’elle exécutait depuis maintenant une bonne heure. Satisfaite du résultat final, la naine afficha un petit sourire, il était agréable de voir qu’elle n’avait pas perdu la main depuis tout ce temps. « Voilà mademoiselle, c’est terminé, tu peux aller jouer, mais tâche de ne pas te salir et de rentrer avant le début du repas. » Lança-t-elle en descendant du petit tabouret qu’elle avait prit pour avoir une vue imprenable sur le crâne de la demoiselle. La petite ne se fit pas prier une seconde de plus. Elle sauta au bas de sa chaise, remercia rapidement sa nourrice et courut à l’extérieur de la pièce pour aller s’amuser un bref instant dehors, défiant alors le grand dragon Smaug du haut de son mètre cinquante et libérant par la même occasion Erebor de son emprise maléfique sous les acclamations de son peuple.

Chapitre 3.


D
ans l’obscurité de sa chambre, assise à même le sol, Nydoeclya serrait vivement la dernière lettre de son père. Décédé quelques jours auparavant dans des conditions assez mystérieuses, l’adolescente n’avait trouvé ce courrier qu’il y a quelques heures et n’avait eu de cesse de le relire, jusqu’à en connaitre par cœur son contenu. « Ma fille chérie, aujourd’hui tu vas avoir seize ans, félicitations. J’aimerais t’offrir ce journal à qui tu pourras confier tes pensées les plus chères, les plus beaux souvenirs de ta vie merveilleuse. Il est de coutume dans notre famille de transmettre une part de sagesse à l’enfant qui atteint l’âge qui est le tien aujourd’hui. Je respecterais cette tradition avec toi, comme mon père le fit pour moi. Nydoeclya, le courage ne se traduit pas par l’absence de peur, mais plutôt par la conscience qu’il existe quelque chose de plus important que cette peur. Le courageux ne vit peut-être pas longtemps, mais le prudent lui, ne vit jamais. A dater d’aujourd’hui, tu vas naviguer entre deux océans. Celui qui te révèleras telle que tu es et celui qui te révèleras telle que tu pourrais être, le tout pour toi est de te donner le moyen d’aller jusqu’au bout de ce voyage. Je tiens aussi à ce que tu saches une chose, j’ai aimé passionnément ta mère, il ne passe pas une journée sans que je pense à elle. Joyeux anniversaire ma fille, avec tout mon amour, ton père. » Ces mots, il les avait écrit il y avait de cela un mois jour pour jour. Pourquoi n’en avait-elle pas eu connaissance à ce moment là ? Elle l’ignorait parfaitement, mais ce qu’elle savait en revanche, c’était que lui mort, il lui incombait à présent la lourde tâche de lui succéder. Un violent frisson la parcouru. Elle n’était pas prête pour cela, elle avait encore un tas de chose à apprendre avant de monter sur le trône, tout comme elle avait encore de nombreuses aventures à vivre… A la faible lueur d’une bougie qu’elle alluma finalement, la brune relit une énième fois les mots couchés avec soin par son père sur une feuille de papier blanc tâchée par les quelques larmes qu’elle avait versées la première fois. Sa lecture terminée, elle embrassa la lettre et la serra vivement contre son cœur meurtri. Elle aurait aimé avoir du temps afin de réfléchir à tout cela, cependant elle savait pertinemment qu’elle n’en avait pas. Là dehors, tout le monde attendait qu’elle se décide. Oh bien sûr, elle n’était pas obligée de le faire, son oncle le lui avait clairement dit, mais n’avait-elle pas un devoir envers tout ces gens ?

Lorsque l’aube du jour suivant vint à pointer, l’adolescente se rendit dans la Salle du Trône d’un pas peu assuré tandis que le reste de la maison dormait encore d’un sommeil paisible. Elle avait passé toute la nuit à retourner la situation dans tous les sens sans jamais trouver la réponse idéale à ses questions, alors en cet instant décisif, elle espérait vivement que cet endroit symbolique et solennel l’y aiderait une bonne fois pour toute. « Avez-vous pris votre décision ? » Questionna soudainement le voix d’un homme derrière elle. Surprise de ne pas être la seule éveillée, la brune se tourna et vit qu’il s’agissait de son vieux précepteur, l’homme qui se chargeait de son éducation depuis qu’elle était en âge de parler et d’écrire. « Vous savez, rien ne vous oblige à le faire, rien ne vous oblige, si vous ne le désirez pas à devenir Princesse » Reprit le maître en voyant le visage vide d’expression de son élève. « Je le sais… » Soupira-t-elle fortement avant de regarder un à un les divers portraits qui décoraient la pièce en espérant presque qu’ils lui disent quoi faire précisément. Puis, ses yeux fatigués se portèrent sur celui qui représentait son père, un homme grand, fort, vêtu de ses plus beaux vêtements, son épée à la ceinture et la couronne des Princes de Dol Amroth posée sur sa chevelure brune dont elle avait hérité. Elle se souvint alors des mots qu’il avait écrit. « Je ne pense pas que le courage soit l’absence de peur, mais plutôt la conviction que la peur n’est pas le plus important… » Récita-t-elle pour elle-même, comprenant enfin où il voulait en venir. Nydoeclya reporta son attention sur son interlocuteur. « Sur ces murs 917 ans de mon histoire sont réunis et je serais là haut aux côtés de mon père. J’aimerais qu’on me permette de laisser mon empreinte de souveraine. » Il sourit, s’inclinant légèrement devant elle. « Ce sont des paroles digne d’une authentique Princesse ». Oui effectivement, mais peut-être qu’à bien y réfléchir elle avait pris la mauvaise décision ? Serait-elle vraiment à la hauteur des attentes de ceux qui l’entouraient ? Un léger sourire se dessina sur ses lèvres afin de garder la face néanmoins, lorsque la cérémonie de son couronnement vint, il disparu bien vite pour laisser place à une terrible angoisse et à de l’hésitation aussi. « Ma nièce, en ce jour tu rejoins les immortels... » Déclara son oncle lorsqu’il lui posa la couronne sur la tête. Son rythme cardiaque s’accéléra tandis que son regard scruta rapidement la totalité de l'immense pièce, vue de l’extérieur, elle ne devait pas avoir bonne mine… « Jurez-vous solennellement de gouverner le peuple de Dol Amroth selon les lois éditées par vos ancêtres, les règles statuées par eux et selon notre droit coutumier ? Veillerez-vous dans toute la mesure de vos moyens à ce que tout jugement soit rendu dans le respect de la loi et de la justice ? » L’interrogea l’homme qui lui faisait à présent face. « Je le jure solennellement » Répondit-elle presque instinctivement. Il s’inclina alors à son tour devant elle puis regagna les hommes de haut rangs qui se trouvaient sur sa droite. Nydoeclya prit place sur le trône de la Cité, comme l’avait fait son père avant elle et la ville entière, présente pour l’événement, se prosterna devant sa nouvelle souveraine.

Chapitre 4.


S
eule dans la Salle du Trône, Nydoeclya observait avec attention l’un des portraits qui se trouvait à gauche de son siège princier. Ce dernier, assortit d’un lourd cadre doré à la feuille représentait son père debout derrière une chaise sur laquelle était assis son frère. Vue la jeunesse qui émanait de leurs visages, ce tableau avait été probablement été réalisé avant que sa mère n’entre dans la famille, c’est-à-dire à l’époque où ils régnaient encore ensemble au nom des liens fraternels et des principes de loyauté. A cette dernière pensée, la brune émit un léger rictus. A présent, tout lui semblait plus clair. Elle comprenait parfaitement ce qui galopait en boucle depuis de nombreuses années dans la tête de son oncle, elle voyait parfaitement où il voulait en venir avec toutes ses idées et ses conseils, mais s’il croyait qu’il allait pouvoir la faire plier il se trompait totalement. Distraitement, la jeune femme secoua pour une énième fois la petite fiole en cristal qu’elle tenait dans sa main depuis quelques heures maintenant. A l’intérieur, le liquide gris perle heurta violemment les parois avant de reprendre sa place initiale comme si rien ne s’était produit, un peu comme Carùn en somme. Bientôt, le silence qui régnait dans la pièce fut brisé par des bruits de pas, ceux du frère de son père qu’elle avait fait expressément demandé. Grand et mince, une coupe de cheveux impeccable tout comme les vêtements qu’il portait, il arborait un sourire radieux semblable à celui d’un enfant à qui on allait révéler de grands secrets. « Tu voulais me voir ? » Demanda-t-il en s’arrêtant un mètre devant l’estrade sur laquelle se trouvait le trône de la Princesse. « C’est vrai. Je me disais que ça faisait un moment que nous n’avions pas passé du temps ensemble, alors je t’ai fais appelé. » Répondit-elle simplement, ce qui il faut le dire dérouta quelque peu son interlocuteur. « Eh bien, si tu le souhaites, nous pourrions très bien partir en promenade demain… » Son sourire perdit de sa superbe sans pour autant disparaitre. La relation qu’il entretenait avec sa nièce depuis sa naissance était pour le moins distante, ils ne s’adressaient la paroles que très rarement et même quand il venait à lui prodiguer des conseils pour l’aider à régner sur Dol Amroth, elle ne l’écoutait qu’à moitié. L’espace d’une seconde, il crut voir un sourire narquois traverser son visage. « Non, je ne pensais pas à une promenade vois-tu, je pensais plus à une longue conversation entre adultes. » Rétorqua-t-elle d’une voix monocorde. « Hum… oui pourquoi pas… et de quoi souhaites-tu parler à cette heure-ci ? » Interrogea-t-il voyant de moins en moins où elle voulait en venir. « Raconte-moi l’histoire de cette partie de chasse que tu as fais avec mon père quand vous étiez adolescents. » Répliqua la brune non sans arrière-pensées. L’homme haussa le sourcil. Pourquoi diable cette vieille anecdote l’intéressait-elle subitement ? « Eh bien nous étions jeunes, ton père devait avoir dix sept ans et moi j’en avais quinze. Ce jour là, il faisait particulièrement beau pour un mois de mars alors nous sommes partis nous promener dans la forêt pour essayer nos nouveaux arcs. Nous avons marché pendant des heures avant de finalement nous mettre en chasse. Nous avons tué quelques perdrix, des lapins et puis ton père a vu un daim. Tu le connais, quand il avait une idée en tête… Il s’est alors mis à le suivre, ne se souciant guère du reste, pas même de savoir si moi-même je suivais ou non et c’est là que je l’ai vu, un horrible Warg. Je ne sais pas d’où il sortait, mais j’avais bien vu comment il observait Vaddýn dont il n’aurait certainement fait qu’une bouchée. Alors, quand il a enfin bondit de derrière les arbres pour essayer de l’attaquer, je me suis saisit de mon arc et je l’ai abattu, sauvant ainsi la vie de mon frère, tout comme il l’aurait très certainement fait pour moi si nos places avaient été inversées. » Carùn observa sa nièce avec attention afin d’essayer de comprendre ce qu’elle voulait faire, mais rien ne paraissait sur son visage, elle était plus dégourdi que son père cette petite.

« Et c’est quand mon père est monté sur le trône, trois ans plus tard que tout à commencé, je me trompe ? Après tout, il n’y avait qu’un trône et qu’une seule couronne et bien sûr, même si vous deviez régner ensemble, il n’y avait que lui qui pouvait s’asseoir dessus. Toi, tu devais te tenir debout à ses côtés, comme un vulgaire conseiller. Ah si seulement il n’avait pas été le plus vieux, n’est-ce pas ? Et si seulement tu ne l’avais pas sauvé ce jour là… C’est toi qui aurait pu siéger ici comme l’ont fait avant nous nos ancêtres… Puis quelques années plus tard, ma mère est arrivée, il l’a épousée et la place à ses côtés lui est devenue réservée, te poussant un peu plus dans l’ombre… Evidemment, tu as du ardemment désirer qu’elle décide de repartir dans son propre royaume, avec un peu de chance mon père l’aurait suivie et tu aurais enfin pu prendre la couronne mais rien de cela n’a eu lieu, hein ? Ma mère est restée parce qu’elle aimait son mari plus que n’importe qui sur cette Terre et elle ne supportait pas l’idée même de lui faire du mal y compris si ça devait la tenir éloignée des siens et entamer son moral jusqu’à ce qu’elle ne soit plus que l’ombre de celle qu’elle avait été autrefois. C’est là que j’ai fais mon entrée et je parie que pendant que mon père pleurait la mort de celle qu’il avait aimé, tu devais de ton côté te réjouir, en songeant qu’accablé par le chagrin, il ne mettrait pas longtemps à la rejoindre… Erreur ! Il a tenu, il a surmonté le chagrin parce que c’est comme ça qu’on l’a élevé, ne jamais reculer, ne jamais se rendre. Du coup, tu t’es mis à imaginer tous les stratagèmes possibles pour le faire disparaitre et le poison t’a semblé la meilleure idée… Ensuite, une fois que j’aurais été sur le trône, moi-même touchée par le chagrin, tu aurais reprit ta place de conseiller et tu m’aurais fait faire n’importe quoi jusqu’à ce que le peuple décide de me destituer, simplement tu as oublié qui étaient mes parents… Je ne suis pas la première idiote venue et en te débarrassant de mon père tu m’as fait gagner en maturité et en sagesse… » Le regard chocolat de la jeune femme se porta sur celui qui lui faisait face et qui à présent n’affichait plus du tout le moindre sourire, chose qui la satisfit grandement. « C’est absurde, je n’aurais jamais fait de mal à mon propre frère… qu’est-ce que tu as inventé là ? Laisse-moi deviner, tu as encore passé la soirée à boire avec la bande de débiles qui te servent d’armée personnelle ? » Protesta-t-il vivement en essayant tant bien que mal de ne pas perdre la face. « Je suis parfaitement saine d’esprit si ça peut te rassurer. Au début, je t’avouerais que j’ai eu un peu de mal c’est vrai, et puis après, tout est devenu aussi clair que de l’acide que l’on jette sur un rat, il ne me restait alors plus qu’à trouver une preuve et ton compte était bon, je pourrais me débarrasser définitivement de toi tout comme tu l’as fait avec mon père il y a huit ans de cela. » Un fou rire s’échappa de la gorge de l’oncle de Nydoeclya qui descendit de son trône et effaça rapidement la distance qui les séparaient. « Tu devrais pourtant savoir que les murs ont des yeux et des oreilles… » Elle plaça la fiole qu’elle tenait fermement depuis tout ce temps sous le nez de l’homme et le foudroya du regard. « Sarín t’as vu le soir où tu as versé ceci dans son verre de vin le soir de sa mort. Je suppose que tu voulais qu’on croit qu’il était juste mort durant son sommeil, mais tu n’avais certainement pas prévu que quelqu’un te aperçoive dans tes grandes œuvres. D’ailleurs, tu n’as même pas prit le soin de cacher correctement ton arme, je n’ai même pas eu besoin de retourner complètement tes appartements pour le trouver… » Carùn serra les dents et regarda sa nièce de travers. « Ce n’est qu’une idiote, une naine qui n’est même pas de Dol Amroth, elle déteste les hommes autant qu’elle déteste les elfes… » Un grognement presque animal s’échappa d’entre les lèvres de la brune qui faisait une demi tête de plus que lui alors que son ombre sembla occuper l’intégralité de la pièce. « Ne l’insultes plus jamais devant moi… » Souffla-t-elle en frappant son torse du bout de l’index à chaque mot qu’elle prononçait. « Tu ne seras jamais Prince, Carùn. Tu mourras comme tu as vécu, dans l’ombre de mon père. »

Elle lui confia la fameuse fiole et s’en retourna vers son trône tandis que deux gardes firent leur entrée pour emmener leur nouveau prisonnier. « Tu vas me le payer ! » S’exclama-t-il en se saisissant soudainement de l’épée de l’un des deux hommes dont il trancha la gorge sans le moindre remord. L’autre tenta alors de s’interposer à son tour, mais ce fut un échec, il était évident que même si l’oncle de Nydoeclya avait atteint un certain âge, il savait encore se servir d’une lame. D’un mouvement souple, la brune esquiva les deux attaques qu’il mena contre sa personne avant de finalement tirer à son tour l’épée, une lame elfique offerte à son père le jour de son mariage avec sa mère. Il voulait régler le problème de cette manière, pas de problème. Le silence s’installa. Au début, ils ne firent rien d’autre que se regarder dans le blanc des yeux pour sans doute évaluer le potentiel de l’adversaire puis quand le plus rapide des deux eut terminé, ils croisèrent le fer avec violence. A aucun moment, l’homme ne parvint à atteindre franchement la Princesse ce qui le contraria quelque peu, lui qui avait pourtant été Capitaine de la garde de Dol Amroth à son époque… De son côté, elle n’était pas du genre à vouloir lui laisser le temps de quoi que ce soit, elle se battait férocement, enchainait les mouvements les uns à la suite des autres et dans le seul moment critique du combat, la jeune femme usa sans regrets de ce qu’elle appelait parfois sa botte secrète, un puissant coup de boule qui déséquilibra alors dangereusement son oncle. Ils échangèrent encore quelques passes et quand l’ouverture se présenta, Nydoeclya fit siffler sa lame dans les airs pour porter le dernier coup, puissant, net et précis, laissant Carùn sans voix. Sa tête se détacha alors du reste de son corps et roula sur le carrelage de la salle du trône pour finir aux pieds des gardes qui arrivaient en nombre, alertés par le vacarme qu’ils avaient visiblement produit. « Tu vois, je suis comme ça moi, pas de deuxième chance. »

Chapitre 5.



S
oixante ans, cela faisait maintenant soixante ans que Smaug le dragon s’était emparé d’Erebor et aujourd’hui plus que jamais les rumeurs allaient bon train. Depuis que la ville de Dale n’était plus qu’un champ de ruines incapable de fournir quelques amuses gueule à l’immense prédateur, personne ne l’avait vu montrer ne serait-ce que le bout de son museau. Était-il encore là-bas ou bien était-il tout simplement mort ? Quoi qu’il en soit, il y avait sous cette immense montagne un tas d’or que peu de gens étaient disposé à abandonner, aussi il fallait s’attendre prochainement à une forte migration des populations vers cet endroit qui autrefois avait appartenu aux nains. Fixant une nouvelle fois la poignée de conseillers qui entouraient la table, Nydoeclya répéta clairement ce qu’elle venait de dire et qui semblait les avoir tous rendus muets. « Nous n’irons pas là-bas et je ne reviendrais certainement pas là-dessus. Tout ce qui se trouve sous cette montagne ne nous appartient pas et soyons honnêtes, nous n’en avons pas besoin… » L’un des hommes cligna plusieurs fois des yeux sous le coup de la surprise avant de finalement donner son avis. « Mais est-ce que vous vous rendez compte des richesses qui se trouvent là-bas ? Avec ne serait-ce que la moitié, nous ne serions plus obligés de travailler comme des fous… Dois-je vous rappeler que les récoltes de cette années ont été médiocre ? Il va falloir que nous revoyons nos prix à la baisse pour arriver à le vendre… » La brune soupira fortement et se redressa sur son imposant fauteuil. « Vous ne m’apprenez rien de nouveau, il est vrai que la saison a été mauvaise et nos cultures en ont pâti, mais laissez-moi vous exposer la situation d’une autre manière afin que vous comprenez bien mon point vue. C’est vrai, il y a une montagne sous laquelle se trouve un tas d’or et de bijoux plus précieux les uns que les autres, mais il y a aussi un dragon qui le garde jalousement et j’ose supposer que vous savez parfaitement ce qu’est ce genre de créature. Il n’est pas question d’une vulgaire bestiole d’un mètre de haut et de deux mètres de long qu’on peut abattre avec une bonne lance. Il est question d’un véritable four sur pattes qui veut vous faire bruler en moins de temps qu’il ne faut pour le dire ou même vous éventrer, vous déchiqueter, vous réduire en chair à pâté tout aussi rapidement. Et vous voudriez que j’emmène des hommes là-bas pour un trésor ? Et si aucun d’eux n’en revient, saurez vous expliquer à leur famille que tout ça n’a été fait que pour quelques babioles ? » Son interlocuteur ne répondit rien, en revanche son voisin ne se priva pas de prendre son tour de parole. « Cela fait soixante ans que personne n’a vu ce dragon, si ça se trouve il est mort. » La brune arqua le sourcil. « Ces créatures sont avides des richesses qu’elles appartiennent aux nains, aux humains ou même aux elfes. Si je vous enfermais avec tout notre or dans une pièce, est-ce que vous en sortiriez tout en sachant pertinemment que pendant votre absence, n’importe qui pourrait tout vous prendre ? Je n’en suis pas certaine voyez-vous… Et ô combien même il serait mort, croyez-vous sincèrement que nous serions les seuls à y aller ? Des nains seront là pour reprendre leurs biens, d’autres seront là pour essayer de se l’approprier, il y aura aussi des hommes et des peut-être même des elfes. Tous auront des armées et une fois sur place il y aura la guerre pour savoir qui aura le privilège de se rouler dans les montagnes de pièces le premier. Me demanderiez-vous de vider Dol Amroth pour aller là bas, avec un mince espoir de réussite malgré la qualité de nos guerriers et de laisser la cité sans protection alors que les orcs sont de plus en plus présent en Terre du Milieu ? Nous avons peut-être gagné des batailles alors que nous étions en sous effectifs, mais cette fois ça ne sera certainement pas la même chose. » Le second mouché par la réflexion, un troisième tenta une protestation inédite. « Et si nous nous allions avec le Gondor ? » Il était incroyable de voir ce que des gens pouvait faire pour de l’or. Elle ne serait pas là, ils se seraient sans doute précipités eux-mêmes à Erebor pour tenter leur chance. « Et si on gagnait, vous auriez vraiment envie de partager avec eux ? Loin de moi de vouloir manquer de respect à l’Intendant, mais ne nous voilons pas la face, depuis une heure, vous essayez de me pousser à changer d’avis sur la question parce que vous désirez ardemment être en possession de cet or, alors j’ai du mal à croire que vous vous résoudriez à laisser quelque chose aux autres… » Plus personne n’ajouta quoi que ce soit sur le sujet, ce qui eut pour conséquence la fin de la réunion.

« Tu t’es vraiment autant assagi que ça ? » Questionna un homme lorsqu’elle sortit de la Salle du Conseil en direction de ses appartements. « Je me souviens que plus jeune, les aventures te faisait rêver, surtout celle d’Erebor… » Nydoeclya esquissa un sourire mais ne prononça pas le moindre mot jusqu’à ce qu’ils soient tous les deux dans ses quartiers. « Tu te rappelles que lorsque tu es entré à mon service, tu as juré de faire tout ce que je voulais, quand je le voulais et parfois sans même poser de question ? » Le militaire observa la jeune femme avec une certaine attention. Il ouvrit la bouche dans le but de lui répondre qu’effectivement il s’en souvenait, cependant elle ne lui en laissa pas le temps. « Combien de temps il te faut pour réunir quinze de tes meilleurs hommes avec leurs armes et de quoi tenir une longue distance ? » Un sourire se dessina sur les lèvres de son interlocuteur. « Alors tu vas y aller… petite cachotière… » Lança-t-il en secouant doucement la tête. « Disons que j’ai une promesse à tenir. » Répondit-elle simplement. « Soyez près dans deux heures. Si on vous pose des questions, vous m’escortez jusqu’à Mirkwood pour que je puisse rendre visite à la famille de ma mère… »



QUI SUIS-JE VRAIMENT ?

❝ ...le grand méchant loup. ❞

Moi c'est Pandora Blue et j'ai 24 ans. Je serais présente de manière régulière, sauf contretemps important comme des heures supplémentaires. Je suis tombée ici grâce à forumactif. Je suis fan de séries télés, de films d'action, j'aime écrire des fics et faire des rp. Je précise que j'ai vu le film il y a deux jours, je suis en train de lire le livre et bien entendu j'ai vu une bonne dizaine de fois le Seigneur des Anneaux, je ne suis cependant pas une championne dans le domaine (je gère mieux avec Harry Potter XD)
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Dim 20 Jan - 8:20
Bienvenue chez nous Princesse! Je suis bien curieuse de voir la suite de ta fiche! Une ancêtre de Lothiriel peut être?
Ne t'inquiètes pas, il est très facile de s'introduire en Terre du Milieu mais plus difficile de s'en échapper...J'en sais quelque chose :01:
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Dim 20 Jan - 9:11
Bienvenue à toi :12:
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Dim 20 Jan - 9:54
Bienv'nue à toi ^^
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Dim 20 Jan - 11:00
Bienvenue sur le forum mademoiselle. :12:
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Dim 20 Jan - 11:30
Bienvenue ici. J'aime le principe de ton personnage et je suis vraiment curieuse de voir ton histoire =)
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Dim 20 Jan - 11:42
Bienvenue parmi nous! :06:

Je te souhaite bonne chance pour ta fiche, :13: si tu as la moindre question n'hésitez pas à nous MP! :12: :electrodance:

Hate de te retrouver sur le fo', passe de bon moment en notre compagnie. :03:
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Dim 20 Jan - 12:09
Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche ♥
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Ven 25 Jan - 16:36
Bienvenue !:)
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Ven 25 Jan - 18:40
Merci à tous pour l'accueil !
Je me permets de demander un délais aux admins, j'ai un souci de connexion à cause de l'installation de la 4G dans ma ville ce qui fait que parfois internet ne fonctionne pas donc je ne sais pas si j'aurais tout posté d'ici dimanche, alors mieux vaut prévenir que guérir.

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Ven 25 Jan - 20:02


Y'a pas de soucis, délai accordé ♥
J'espère que le problème se rétablira vite ^^
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Dim 3 Fév - 1:42
Waaah bravo pour ta fiche, je n'en ai pas vue des comme ça depuis que je suis ici, en tout cas ton histoire est très attrayante ! J'ai hate de voir ce que cela donnera en RP.
Tu es validée, il ne reste plus que ta couleur qui devrait arriver demain ^^ En attendant tout le forum t'es ouvert désormais ;)

:06: :13:

félicitation, tu es validé(e)

Maintenant que tu es validé(e), tu peux d'ores et déjà créer ta FICHE DE PERSONNAGE et créer ton sujet pour tes RPs ! N'oublie pas aussi d’aller RECENSER ton avatar, on ne sait jamais si un membre du staff n'a pas fait son boulot :bigrin:
Tu peux dés maintenant participer au rp et si tu ne sais pas par où commencer, un TOPIC de demande a été créer par nos soins.

Les ANNEXES sont assez longues mais n'hésites pas à aller la lire si tu as la moindre question avant de demander à un membre du staff. On sait qu'il y a tout plein de sujet explicatifs mais c'est pour mieux organiser le forum et tu verras tout est assez simple ici \o/

Le sujet METIER est une sorte de répertoire des membres, Merci de bien vouloir vérifier si votre nom se trouve sur cette liste, ça aide le staff, si, si, je te l'assure :smug:

Tu savais que ton personnage pouvait intégrer une organisation s'il le souhaite ? Va faire un tour ICI, les détails se trouve dans ce sujet !

N'oublie pas de compléter ton profil, ça nous donne un aperçu de ton personnage :hearrt:

J'ai failli oublier, pour faire plus ample connaissance, je t'invite à t'amuser avec nous FLOOD.

Et pour finir : BON RPG ♥️

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Dim 3 Fév - 1:49
Merci à toi Elith :hearrt:
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