« quand le présent devient pénible, la meilleure échappatoire est l'imagination. »
Life isn't easy...
J'ai décidé de mettre sur papier quelques écris pour ne pas oublier qui je suis et surtout la raison pour laquelle je fais tout celà. Une vie de Hobbit. Certains pensent qu'à partir de là, cette vie sera sans embûches, une vie tranquille dans un lieu ou rien ne peut arriver. C'est en effet le cas pour la majorité d'entre nous. Ce que ma famille voulut préserver, mais à vouloir trop s'acharner, ils ont fini par me dégoûter complètement de celà. Le problème vint de ma mère principalement. Une mère qui ne supportait pas de voir sa fille se comporter en garçon manqué et pire que cela: de la voir à longueur de journée traîner à l'extérieur et revenir dans des états pas possibles.
Elle tenta de me faire changer celà étant gosse, mais à vrai dire: plus elle s'acharnait, moins j'avais envie de suivre ses envies qui n'étaient pas les miennes.
Alors je sortais... Encore et toujours... Je me faisais gronder. Ma mère m'enfermait des heures entières dans ma chambre et refusait que je prenne le dîner. Mais les murs de mon trou ne pouvaient pas me retenir du monde extérieur. J'ai toujours eut un caractère bien trempé et déterminé. De plus, je m'étais fait ma propre petite bande et je les avais enrôlé dans mon aventure. Celà dura pendant des années, jusqu'à ce que leur imaginaire vienne à devenir réalité. J'eus l'impression de me retrouver toute seule. Toute seule ? Non. Il restait Bilbo. Le seul avec qui je pouvais encore parler d'aventure et qui ne faisait pas semblant de ne pas me voir. A vrai dire, je me sentais bien qu'avec lui.
Quid? qui se etiam nunc subsidiis patrimonii aut amicorum liberalitate sustentant, hos perire patiemur? An, si qui frui publico non potuit per hostem, hic tegitur ipsa lege censoria; quem is frui non sinit, qui est, etiamsi non appellatur, hostis, huic ferri auxilium non oportet? Retinete igitur in provincia diutius eum, qui de sociis cum hostibus, de civibus cum sociis faciat pactiones, qui hoc etiam se pluris esse quam collegam putet, quod ille vos tristia voltuque deceperit, ipse numquam se minus quam erat, nequam esse simularit. Piso autem alio quodam modo gloriatur se brevi tempore perfecisse, ne Gabinius unus
J'ai décidé de mettre sur papier quelques écris pour ne pas oublier qui je suis et surtout la raison pour laquelle je fais tout celà. Une vie de Hobbit. Certains pensent qu'à partir de là, cette vie sera sans embûches, une vie tranquille dans un lieu ou rien ne peut arriver. C'est en effet le cas pour la majorité d'entre nous. Ce que ma famille voulut préserver, mais à vouloir trop s'acharner, ils ont fini par me dégoûter complètement de celà. Le problème vint de ma mère principalement. Une mère qui ne supportait pas de voir sa fille se comporter en garçon manqué et pire que cela: de la voir à longueur de journée traîner à l'extérieur et revenir dans des états pas possibles. 
Alors je sortais... Encore et toujours... Je me faisais gronder. Ma mère m'enfermait des heures entières dans ma chambre et refusait que je prenne le dîner. Mais les murs de mon trou ne pouvaient pas me retenir du monde extérieur. J'ai toujours eut un caractère bien trempé et déterminé. De plus, je m'étais fait ma propre petite bande et je les avais enrôlé dans mon aventure. Celà dura pendant des années, jusqu'à ce que leur imaginaire vienne à devenir réalité. J'eus l'impression de me retrouver toute seule. Toute seule ? Non. Il restait Bilbo. Le seul avec qui je pouvais encore parler d'aventure et qui ne faisait pas semblant de ne pas me voir. A vrai dire, je me sentais bien qu'avec lui. 
Quid? qui se etiam nunc subsidiis patrimonii aut amicorum liberalitate sustentant, hos perire patiemur? An, si qui frui publico non potuit per hostem, hic tegitur ipsa lege censoria; quem is frui non sinit, qui est, etiamsi non appellatur, hostis, huic ferri auxilium non oportet? Retinete igitur in provincia diutius eum, qui de sociis cum hostibus, de civibus cum sociis faciat pactiones, qui hoc etiam se pluris esse quam collegam putet, quod ille vos tristia voltuque deceperit, ipse numquam se minus quam erat, nequam esse simularit. Piso autem alio quodam modo gloriatur se brevi tempore perfecisse, ne Gabinius unus