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| Dim 3 Mar - 19:04 Cette rencontre se produisit il y a quelques années. Gametred était un homme encore plus jeune et fringuant que maintenant. Il avait déjà de l'experience en tant que soldat derrière lui, mais il n'était pas encore le capitaine aprécié qu'il est maintenant. Goutant le plaisir simple de marcher dans les rues d'Edoras à la fin de la journée, sa solde fraîchement empochée, il se dirigeait vers le quartier des tavernes et des auberges, celui où les gens nocaient toute la nuit même quand il n'y avait rien à fêter. Surtout quand il n'y avait rien à fêter! Gametred poussa la porte d'un estaminet, où il avait rendez-vous avec ses compagnons, qui l'accueillirent d'un mugissement de joie. Il étaient déjà tous pompette. La soirée allait être magnifique. La bière était bonne et mousseuse, la taverne était chaleureuse et les filles jolies. Le temps passa vite et un, deux, trois de ses compagnons roulèrent sous la table à force de boisson. Quatre, cinq, disparurent avec une minette dans les bras. Ils n'étaient plus que trois autour de la table, se mettant au défi de boire encore une choppe, de brailler leurs obscénités encore plus fort. Après une gorgée de bière de trop, ce fut au tour de Gametred de choir de sa chaise, secoué par un rire énorme, de ceux qui font vibrer les murs. Moins rond que ses amis, il se redressa en titubant, appuyé sur la table. Il apperçu alors la créature la plus apétissante qu'il ai vu depuis longtemps, svelte et gracieuse, une longue tresse dévalait son dos, mettant en valeur la belle cambrure de son dos. On lui devinait qui plus est une superbe poitrine, si bien que Gametred se sentait raidir rien qu'à la regarder. Sortant de son instant de béatitude, il se tourna vers ses compagnons restant. "Je vous laisse, j'ai trouvé ce qu'il me faut, mes amis!"L'homme quitta la table d'un pas décidé. Ou aussi décidé que puisse être le pas d'un ivrogne. Il s'approcha de la fille et se laissa tomber sur la chaise en face d'elle. Il avait le cheveux hirsute, les yeux vitreux et l'air hagard, mais, toujours à la manière d'un ivrogne, il se pensait irrésistible. "Bonjour ma jolie. Comment te porte-tu?" | |
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| Mar 5 Mar - 19:22 La journée avait été harassante. Aussitôt rentrée d'une longue chevauchée en direction d'Aldburg, Indira avait fait un crochet par la taverne du coin, récupérant les messages laissés à son attention. Ce faubourg d'Edoras grouillait de monde. Des groupes entiers d'hommes braillards et visiblement ivres, des essaims de femmes aux vêtements si décolletés que leur principale occupation ne faisait aucun doute. Une population venue s'amuser loin de la bienséance et de la soit-disant moral de la bonne société. Et tout ce petit monde s'ébattait dans un joyeux tapage, les femmes s'invectivaient d'un bout à l'autre de la rue, au son des chansons paillardes et des rires gras. D'un cou d'épaule brusque, Indira écarta un énième ivrogne de son chemin, marmonnant contre ces grossiers personnages tout juste bons à engloutir leur paie en bière et autre alcool. Au comptoir de la taverne, le pauvre propriétaire ne savait plus où donner de la tête, servant les uns et débarrassant les autres,récupérant son argent avec force réclamations. L'éclaireuse avait visiblement choisit son soir pour passer. Mais la brune avait tellement hâte de retourner à l'auberge qu'elle avait préféré éviter de repousser sa visite au lendemain, histoire de quitter la localité le plus rapidement possible. On l'attendait déjà ailleurs et elle ne pourrait pas se permettre de rester trop longtemps dans le coin. Visiblement dépassé, le pauvre homme lui fit signe d'attendre quelques instants et la jeune femme eut fugitivement pitié de son air hagard et des grosses gouttes de transpiration qui perlaient à son front. Encore quelques instants et il perdrait le fil de ses commandes. Les clients commenceraient à s'échauffer et il ne ferait décidément pas bon trainer dans les parages. C'était de toute façon une mauvaise idée en général, de traîner dans une taverne un jour de paie. La moitié de la population mâle des environs était venue dilapider son maigre salaire en alcool et en femme. Comme pour prouver ses dires, une présence se fit sentir par dessus son épaule, à une distance bien trop réduite pour la jeune femme. Une voix traînante aux relents avinés résonna à son oreille et Indira se retourna vivement, surprise. L'énergumène en question était la parfaite copie de la plupart de ceux qui avaient cru pouvoir s'approcher d'elle d'un peu trop près ce jour là. L'œil hagard, la démarche chancelante, le tableau du parfait ivrogne. S'éloignant instinctivement de la présence envahissante, la jeune femme darda sur lui un regard noir. Elle avait une sainte horreur de ce genre de personnage, et détestait d'autant plus lorsqu'ils se permettaient de l'accoster. - Ca allait parfaitement jusqu'à ce que vous m'abordiez, répondit-elle acide | |
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| Mer 6 Mar - 21:30 Au grand dépit de Gametred, la fille s'écarta avec un air de dégout mêlé d'énervement. Il leva les mains en l'air comme pour signaler qu'il était désarmé, avec le visage le plus doux qu'il pouvait prendre mais la frustration le tenaillait. Celle-là n'était pas aussi facile à avoir que les autres, mais il y croyait: tôt ou tard si il s'y prenait bien, elle glousserait comme toute les autres en se laissant renverser, que ce soit sur un lit comme sur la paille de l'écurie. Ah, la petite garce! elle devait en cacher des jolies choses sous son air mauvais! Si un quelconque pseudo-justicier ne venait pas s'interposer entre Gametred et la jouvencelle, il avait toute les chances de la culbuter quand même. "Et bien, ma pouliche, pourquoi dis-tu des choses pareilles? Ce n'est pas gentil, je vais être vexé! Et cesse de me vouvoyer, je me sens vieux." dit-t-il d'un ton calin. Même à travers les brumes de l'alcool, Gametred avait compris que s'approcher plus près qu'il ne l'était déjà consituait une erreur: il fallait prendre le temps de lui parler doucement pour la calmer, puis s'en approcher lentement sans gestes brusques avant de pouvoir caresser la pouliche et la chevaucher! Ce n'était pas la première fois qu'il se trouvait face à ce genre de petite lionne, mais celle-là était suffisamment agréable à voir pour se permettre de faire sa mijaurée. D'habitude il cédait et partait en chercher une plus accomodante, mais cette fois il était trop fin saoul pour seulement imaginer lâcher prise. Gametred interpella le tavernier de sa grosse voix. La même que celle dont il se servait pour commander ses hommes sur le champ de bataille, mais enrouée et rendue dissonante par l'alcool: "Ramène donc deux bières par ici pour la demoiselle et moi!" il se tourna et s'adressa à nouveau à la jeune femme d'un ton plus doux: "Tu vas voir, la bière de cette gargotte est aussi brune que tes cheveux, ma pouliche! C'est quoi ton nom d'ailleurs?"Le pauvre tavernier hirsute et suant aquiesa, courant porter des choppes immenses de la fameuse bière brune jusqu'au fond de la salle. Il était si débordé qu'il fit presque pitié à Gametred. On aurait dit une abeille toute seule dans un champs de fleur. Finalement, il éclata de rire tant l'image mentale qu'il avait eu lui semblait cocasse. "On dirait une petite abeille besogneuse, cet aubergiste!" expliqua-t-il à la jeune femme. | |
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| Sam 9 Mar - 17:33 Indira qui détestait plus que tout ce genre de personnage réprima une grimace irritée devant sa réaction. Pourquoi donc se pensaient-ils tous tellement irrésistibles après un ou deux verres de trop? S'ils avaient eut la possibilité de se voir véritablement en plein état d'ébriété, ils seraient loin de penser la même chose. Et voilà que celui ci se fendait d'un petit nom et s'adressait à elle comme si elle avait été un animal craintif qu'il fallait apprivoiser. C'était bien sa veine de se retrouver face à un ivrogne persuadé qu'un ou deux mots doux suffiraient à l'amadouer. La jeune femme tentait de garder un semblant de calme et d'envoyer promener ce malappris sans effusion de violence. Il ne ferait pas bon se faire renvoyer de l'une des rares tavernes du quartier qui acceptait encore de prendre ses messages. L'aubergiste voulait bien se montrer serviable mais n'aimerait pas particulièrement voir des bagarres se déclencher dans son établissement. Et voilà qu'il semblait décidé à lui offrir à boire. Quelque chose souffla à l'éclaireuse que celui ci n'avait aucune intention d'abandonner l'affaire, pas aussi facilement. Surtout lorsqu'il se mit en tête de lui demander son nom. - Personne, grommela la jeune femme à bout de patienceIl était probablement tellement saoul qu'il ne saisirait pas la subtilité de sa réponse mais la jeune n'allait certainement pas lui donner son nom ou quoi que se soit d'autre d'ailleurs. Elle n'avait déjà plus qu'une envie, déguerpir avant qu'il ne décide de se montrer plus insistant. On ne savait jamais à quoi s'attendre avec ce genre de personne et qui sait s'il ne déciderait pas de ranger ses bonnes résolutions au placard pour se montrer plus entreprenant avec elle. D'un signe discret de la main, elle déclina sa commande auprès de l'aubergiste, lui intimant de se dépêcher un peu plus et de lui apporter son courrier. Les précieuses missives en poche, il serait temps pour l'éclaireuse de déserter les lieux. Toujours aussi occupé, le petit homme pâlit néanmoins à la vision du regard noir qu'elle lui adressa. Sans doute craignait-il quelques représailles de la part de cette étrange jeune femme qui avait l'air tellement pressée de s'en aller d'ici. Détalant comme un lapin en direction de l'arrière salle, il se fraya un chemin jusqu'à sa réserve, à la recherche des précieux colis. - Je crains qu'il ne vous faille trinquer seul ce soir, coupa-t-elle sèchementTout en parlant, elle amorça un ultime mouvement de recul, prête à partir. Elle avait suffisamment traîné dans cet endroit. Le petit tavernier revint au pas de course vers elle, se frayant un passage à coup d'épaule à travers la foule des clients. Il lui tendit à la hâte un paquet d'enveloppes liées par un morceau de ficelle tout en se confondant en excuses pour l'attente. Il avait bien senti qu'il aurait quelque chose à se faire pardonner pour la gêne occasionnée. Le congédiant sans délais, Indira récupéra son bien et entreprit de le ranger dans sa sacoche, prête à quitter les lieux. | |
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| Ven 15 Mar - 17:56 La drôlesse ne se détendait toujours pas. Gametred entendait ses camarades rire derrière lui. Nul doute qu'ils se gaussaient de la manière dont leur frère d'arme se faisait rembaler dans les règles par l'objet de sa convoitise. Cela ne faisait que titiller encore plus l'irritation qui habitait l'homme depuis le premier refus de la brune.
"Tu es si froide ma beautée! Tu n'es décidément vraiment pas gentille! Qu'est ce que tu me reproche? Elles m'aiment bien les autres pourtant!"
Gametred saisit une grande femme rousse et vigoureuse aux formes opulentes par la taille. Elle était aussi vraisemblablement éméchée et ils échangèrent un profond baiser sans même se dire un mot. En fait il aurait probablement laissé la froide brune pour la sulfureuse rousse, si elle n'avait pas été interpellée par un compagnon jaloux qu'elle rejoignit en riant et en titubant. Gametred reporta son attention sur son but de départ. Il était sûr qu'elle finirait par céder, ne serait-ce que pour avoir la paix. La jeune femme rangeait un paquet de missives dans sa besace et donnait l'impression de vouloir quitter la taverne. L'homme resta un instant amorphe, jusqu'à ce qu'elle se rappproche de la porte d'entrée. Gametred réagit avec violence. Il se dirigea aussi vite que possible vers la pouliche. Ah ça non, elle ne lui échapperait pas, il la voulait pour lui ce soir, coûte que coûte. Saoul comme il était, il aurait pu la tuer juste pour ça. Elle allait se donner tout de suite si elle ne voulait pas d'ennuis. Gametred attira donc violemment la jeune femme contre lui. Il sentait la courbe de son dos et de ses fesses contre lui, comme le présage d'une extase à venir.
"Laisse toi faire maintenant, petite pute" grogna-t-il dans l'oreille de la brune - Spoiler:
Désolée pour l'attente :/
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| Dim 17 Mar - 20:19 Indira n'avait pas fait trois pas en direction de la porte qu'elle sentit la présence de l'opportun par dessus son épaule. A peine mettait-elle un pas en direction de l'entrée qu'elle sentait un bras entourer ses épaules et l'attirer vers un torse bien plus large. Une voix aux relents alcoolisés marmonnant des insanités à son oreille. La jeune femme se hérissa immédiatement, c'était exactement le genre de chose à ne pas faire. La jeune éclaireuse avait horreur des contacts de ce type et le voir prendre ce genre de familiarités avec elle la mettait dans une fureur sans nom. En quelques secondes, la Variag s'était défaite de l'étreinte chancelante de l'homme. Il était tellement ivre que ses réflexes étaient sérieusement mis à mal et qu'il peina à réaliser que la jeune femme venait de se libérer de son bras. Se retournant vivement, la main au côté, Indira extirpa son arme de son fourreau d'un geste entraîné et d'une pirouette agile, plaqua l'homme contre le chambranle de la porte. - Un geste de plus et je te les tranche, cracha-t-elle folle de rage
La lame appuyée contre sa gorge, la jeune femme ne fit pourtant pas de mystère de la destination de son arme s'il lui prenait la lubie de vouloir s'acharner dans une entreprise perdue d'avance. Elle avait eut beau tenter de garder son calme, impossible de se laisser faire quand une telle énergumène vous harcelait. Indira avait suffisamment donné en matière d'hommes peu recommandables et de rustres. Elle ne se laisserait pas tripoter de la sorte par un pauvre type trop saoul pour prendre un non pour un non. L'éclaireuse en avait par dessus la tête de se faire maltraiter pour sa simple appartenance au sexe féminin. - Et pour ta gouverne je suis une femme, ajouta-t-elle furieuse, j'entends encore ce mot sortir de ta bouche et tu me le paieras.La jeune femme se demandait encore comment on pouvait en arriver là. Aucune femme digne de se nom n'accepterait d'être traitée de la sorte. Et il semblait qu'il se trouva toujours une charmante idiote pour se laisser faire. Aux vues de la réaction de la rousse, elle était coutumière du fait. Mais ce n'était clairement pas le genre d'Indira qui préférait encore en venir aux mains plutôt que de laisser un homme tel que lui poser ses mains sur elle. Le brouhaha alentour, averti la jeune femme qu'une partie de la taverne s'était tournée vers eux, intriguée par la petite scène qui se déroulait sous leur yeux. Caché derrière son comptoir, le tavernier tordait son chiffon en tout sens, un éclat suppliant dans le regard. Il craignait visiblement plus pour l'état de son bar que celui de son client. Tant mieux, car parti comme il l'était, s'il refusait de s'avouer vaincu Indira n'était pas contre l'idée de mettre ses menaces à exécution. | |
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| Mar 26 Mar - 13:48 Gametred ne comprit pas ce qui était en train de lui arriver avant de se retrouver collé à la porte, à loucher sur la lame braquée vers lui. La fureur et la frustration venaient d'être remplacé par la peur de perdre une partie de son anatomie à laquelle il tenait beaucoup. Lentement, très lentement il leva les mains sur les cotés pour indiquer qu'il se rendait, toujours en louchant sur l'arme.
"Belle facture..." constata-t-il à voix haute.
En effet, c'était une belle lame qui semblait bien entretenue. Gametred aurait probablement eu envie de demander qui l'avait forgée, mais vu que la dame derrière le manche semblait bien décidé à lui couper les couilles, il avait autre chose à penser. Il entendait toujours ses compagnons se gausser à sa droite et encore plus fort que tout à l'heure. La plus part des clients de l'auberge c'étaient retourné pour voir la scène et l'aubergise semblait paniquer avec son torchon à la main. Le visage de Gametred s'empourpra. Il avait honte, non de son comportement, mais bien de se retrouver plaqué au mur aussi facilement pas une femme qui faisait la moitié de son poids. Il était certainement plus ivre que ce qu'il pensait. Bon, se libérer et filer oublier sa honte dans une autre taverne. C'était tout ce qui était possible de faire à présent. Il serait la risée des gardes royaux à présent, quelle honte. Gametred soupira et d'un geste vif saisit le poignet de la jeune femme pour le tordre et la forcer à lacher son arme. Il la bouscula un peu en arrière pour lui faire comprendre qu'elle s'en sortait bien après avoir menacé un garde royal de son arme, puis tourna les talons et quitta l'auberge, disparaissant dans l'obscurité.
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Désolée pour l'attente, je te laisse conclure?
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| Jeu 28 Mar - 11:21 La mésaventure prit fin aussi rapidement qu'elle avait démarré. Ne s'attendant visiblement pas à se faire maîtriser par une femme qu'il dépassait d'une tête ou deux. Son expression estomaquée avait tout du comique et Indira aurait probablement éclaté de rire si elle ne s'était pas senti aussi énervée. Il louchait sur sa lame, l'air de celui qui n'arrivait pas à y croire. Et pourtant, il n'y avait rien de plus véridique que les menaces de la jeune femme. Elle était vexée, furieuse et prête à passer à l'acte si cet énergumène revenait à la charge avec ses allusions graveleuses. Mais au vu de son air ahuri, il y avait peu de chance qu'il prenne le risque de perdre cette partie importante de son anatomie. A moins qu'il ait eut pour projet de parler comme une fillette jusqu'à la fin de ses jours. Ce dont Indira doutait. Ahurissement qui ne l'empêcha pas de faire une remarque sur la qualité de sa lame auquel la jeune femme répondit par un haussement de sourcil sceptique. Il n'imaginait même pas la provenance de ce cimeterre. Partout autour d'eux, ses hommes riaient à gorge déployée, se moquant de voir leur chef se faire tenir en respect par une faible femme. Bien fait, pensa-t-elle avec un sourire moqueur, il mettrait des semaines à faire oublier cet épisode, ça lui apprendrait. - Et vous n'imaginez même pas tout ce qu'on peut faire avec, gronda-t-elle
Mais l'homme n'était visiblement plus disposé à jouer avec elle, brusquement, sa main la saisie au poignet violemment, probablement dans l'intention de lui faire lâcher son arme. Indira ne se laissa pas faire et tint bon mais du s'éloigner pour se mettre hors de portée et éviter de se faire vraiment mal. Puis, sans aucun regard pour elle, il fit signe à son groupe d'homme et quitta la taverne sans demander son reste. Rengainant sa lame, Indira l'observa disparaître, la rage au ventre. Toujours derrière son comptoir, l'aubergiste l'observait, bouché bée. - Quoi encore? Lança-t-elle brusquementLentement, l'activité repris dans la salle. Il était temps de partir avant que le propriétaire décide que la jeune femme apportait bien trop de catastrophe pour son commerce. Remballant ses affaires, sur un dernier regard noir à l'assemblée, elle fila dans la nuit, prête à reprendre la route. | |
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