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| Mar 12 Mai - 18:39
Est-elle bonne celle là? [Isil x Olorin]
Enfin ! Me voilà partis d'Edoras, après avoir largement conversé avec Eodia du Rohan, son mari je lui ai notamment souhaité toute mes condoléances pour la mort de son père. Mais surtout avec Danel Cenak, le conseillé et maintenant presque régent du Rohan. Un garçon sage, calme, intelligent, je lui ai raconté tout ce qui s'était passé à Dol Guldur, j'étais envoyé ici pour répandre la nouvelle et maintenant je devrais me rendre à Minas Tirith afin de prévenir le sud de ce qui les attendait. J’avais demandé à Danel d'être sur le pied de guerre, dans le cas où la guerre serait déclaré, que les hommes soit prêt à prendre les armes.
Je m'étais donc mis en route vers la cité blanche, un jour de marche à cheval, le soir, je décidais de faire une escale sur l'herbe des immenses plaine du Rohan. Dangereux en ce moment car les attaques d'orc ont énormément augmenté... Je donnerai ma main à couper que Sauron cherche l'Unique... Le soleil se couchait et la lumière qu'il nous laisser pour voir était rouge orangée. J'entendis un crissement dans l'herbe, de suite je me suis levé, jetant la pipe que j’avais attrapé pour me préparer pour prendre mon bâton de magicien et en pointer le bout vers la personne. Personne qui s'avéra être une fille. Je repris mon bâton, méfiant mais je m'en servis comme un appuis et lui demanda :
« Bien le bonjour Mademoiselle, puis-je vous venir en aide ? »
Elle était blonde dans un habit simple, je ne savais pas si je devais lui faire confiance mais quitte à devoir s'ennuyer, autant s'ennuyer à deux.
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| Mar 12 Mai - 21:57
Le Rohan. Allez savoir comment la jeune femme avait réussit à s'y retrouver elle qui n'avait pourtant jamais voyagé de par le monde. Les indications que lui avaient fournis le chef orc étaient manifestement les bonnes puisqu'elle voyait de ses grands yeux bleu les plaines verdoyantes. Vêtus d'une simple robe de paysanne aux couleurs pâles, quoi de plus banal, la jeune femme tenait dans sa main droite un panier d'osier vide. Si le paysage n'eût été aussi époustouflant qu'il ne l'était en ce moment même, Isil serait très certainement entrain de jurer son supérieur. Ce n'était même pas le chef de guerre qui lui avait donné cette mission, cette simple quête à accomplir, mais un supérieur hiérarchique parmi les Partisans des Ombres. Bien que les yeux de la jeune femme ne soient perdue dans la contemplation de toutes ces plantes vivantes, intérieurement, elle haïssait, que dire, maudissait ce type qui l'avait obligé à porter une robe aux manches longues. Un déguisement... pfff... Mais alors qu'elle poussait un soupire à fendre l'âme, la jeune femme sursauta lorsqu'un vieillard sortie de nul part et appuyé sur un bâton lui parla. Depuis quant était-il là ? D’ordinaire ses sens aiguisés d'Alfe l'aurait remarqué.
« Ah ! Salutation vieil homme, vous m'avez surprise. »
Peut-être étais-ce un peut trop militaire comme bonjour, elle était bien trop habituée à afficher une certaine raideur mêlée de froideur dans la plupart de ses propos, elle se promit donc de faire un effort pour le reste de la conversation. Ses longs cheveux blonds étaient lâches, une mèche poussée par la brise vint chatouiller sa nuque. Heureusement, cette coiffure cachait ses petites oreilles légèrement pointues.
« A vraie dire oui vous pourriez peut-être m'aider. Je cherche une herbe particulière et il y en as tant ici que je ne sais pas laquelle prendre. Le soleil est entrain de se coucher, j'ai jusqu’à demain matin pour la trouver. Vous savez mon chef est un herboriste très sévère.»
Mentit-elle le regard emprunt d'une certaine détresse. A vraie dire elle n'avait pas que simplement mentit, si elle ne revenait pas au petit matin avec l'herbe, elle se ferait punir.
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| Mer 13 Mai - 19:33
Est-elle bonne celle là? [Isil x Olorin]
La jeune femme était blonde, ses cheveux étaient détaché et son visage était pur et un peu frigide, froid, laissant apparaître que la surprise lorsque je l'eus intercepté dans sa « mission », elle me dit donc :
« Ah ! Salutation vieil homme, vous m'avez surprise. »
Visiblement elle ne savait pas qui j'étais, cela m'arranger et puis ma tête ne revenait qu'aux grand seigneurs. Ce qui m'a un peu surpris c'était sa façon de répondre, froidement, comme l'apparence qu'elle donnait, comme un garde à vous militaire. Je me demandais alors quelle enfance cette pauvre paysanne avait put vivre. Elle continua sur sa lancée :
« A vraie dire oui vous pourriez peut-être m'aider. Je cherche une herbe particulière et il y en as tant ici que je ne sais pas laquelle prendre. Le soleil est entrain de se coucher, j'ai jusqu’à demain matin pour la trouver. Vous savez mon chef est un herboriste très sévère.»
Elle cherchait donc des herbes... Et bien, je lui dis sur le champs en m'approchant d'elle :
« Je pense que je peux vous aider, de plus, je possède quelques herbes que je rapporte d'Eriador, je me ferais un plaisir de les partager avec vous. De cette façon nous pourrions reconnaître la plante que vous cherchez plus rapidement. »
Je l’incita à me rejoindre alors que j'allais vers mon cheval. Je détacher de son dos les bagages qu'il portait, les posa à terre et caressa le museau de l'animal. J'attrapais une grosse sacoche et un petit draps. J'ouvris le draps au sol et déposa toute les herbes que contenait la sacoche par différente espece, la plupart fumable et nous rendant plus ou moins dans des états euphoriques. Je la regarda, j'hésitais à lui dire mon nom, mais bon, si elle en m'avait pas reconu au regard je n'avai rien à craindre, à moins que se soit une embuscade. Mais je laissa mes craintes de coté pour lui demander :
« Comment vous appelez vous ? Je suis Gandalf... »
Avant de voir sa réactions, je regarda les herbes en les montrant de la mains et lui dit :
« Laquelle d'entre elles est celle que vous chercher ? »
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| Lun 18 Mai - 15:25
Eriador ? La jeune femme le regarda avec des yeux ronds, elle avait voyagé un peut et ne connaissait malheureusement pas tout les recoins de la terre du milieux. Néanmoins, elle l'observa faire en silence et le suivit vers son cheval lorsqu'il lui y invita. Il déballa un drap sur lequel était posé quelques herbes.
Maudissant intérieurement une fois de plus son supérieur, Isil se rendit compte qu'elle n'avait reçut vraiment aucune indication sur l'aspect de la plante, c'était un peut comme si on lui disait de chercher une aiguille dans une botte de foin. Elle était totalement incapable de dire laquelle lui inspirait le plus. Puis cet instant de panique mis de côté, Isil s’aperçut que les yeux pâles du vieil homme l'observait.
« Enchantée vieil h... Gandalf. On m'appelle Isil. Vous allez sans doute rire mais... Je n'ai pas la moindre idée de ce à quoi peut bien ressembler cette plante. C'est juste vert et... avec des tiges et des feuilles.»
Comme la plupart des plantes pardi ! Au moins elle ne paraissait pas suspect, les petites gens, le bas peuple n'était pas sensé détenir des connaissances en herboristerie. Même si techniquement, elle s'y connaissait mieux en fleurs qu'en herbes à pipe, mais là n'était pas la question. Arquant un sourcille intrigué, la blonde pointa du doigt une tige particulièrement sèche et couverte de très petites feuilles. Le drap couvert de plantes dégageait un délicate odeur très agréable. Isil aimait la nature et ses odeurs subtiles, c'était sans doute son sang Alfe qui voulait ça, et puis c'était toujours beaucoup plus différent que les odeurs d'urines et de transpiration présentes tous les jours dans les campements mêlant hommes et orcs.
« Peut-être celle-ci ? Après tout, qui ne tente rien, n'a rien !»
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| Lun 18 Mai - 21:50
Est-elle bonne celle là? [Isil x Olorin]
« Peut-être celle-ci ? Après tout, qui ne tente rien, n'a rien !»
Et bien, c'est un peu vague comme réponse... Au moins, elle ne savait pas qui j'étais, sans quoi la jeune Isil ne m'aurait pas parlé de cette façon. Mais j'aimais beaucoup cette relation qu'il y avait à ce moment là, cela faisait longtemps que je n'avais pas cotoyer de gens simple, d'habitude, quand je me lassais des gens de haut rang, j'allai me détendre chez mes amis les hobbit et plus particulièrement chez Bilbon. Outre cela, j'attrapais la plante qu'elle m'avait indiqué et lui dit :
« Cette plante est utilisé en tant que médicament, les gens en font des baumes et la presse sur un plaie qui se désinfecte et cicatrise plus vite. Mais, je suis vieux et j'ai de l'expérience et j'ai un secret que je suis le seul à détenir. »
Je ne cherchais pas à l'impressionner mais juste à nous préparer une soirée mémorable. Le soleil se coucha et je lui demanda d'aller chercher dans les poches de mon cheval deux pipes. Pendant ce temps, j'attrapais de l'herbe et des brindilles sèches, je frotta alors rapidement mon pouce gauche à l'index de mon autre main et alluma au bout de celui-ci une flamme qui me servis à lancer le feu car le ciel prit rapidement une teinte foncé et sans feu nous n'y verrions pas grand chose.
Elle revint avec ce que je lui avait demandé et je me chargea en une minute de lui préparer sa pipe, puis la mienne et en la lui donnant je finis de lui expliquer ma découverte :
« Cette chose si petite va nous faire passer une très bonne soirée ! Et demain, vous irez voir votre supérieur en lui disant que vous avez récolter nombreuse herbe car vous ne saviez laquelle était la bonne. Ne vous inquiété pas, je vous donnerai quelque échantillon de certaine de mes plantes et je vous direz où chercher... »
Grâce à une brindille tirée du feu, j'allumai nos deux pipes et commença a tirer puis à souffler. Dans même pas trois minutes, nous ne serions plus dans notre état normal et alors nous allons commencer à rire
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| Lun 1 Juin - 7:44
Soulager ? Appliqué en baume, non ce n'était pas ce qu'elle cherchait. Mais alors qu'elle allait en faire la remarque au vieil homme, celui-ci lui indiqua qu'il avait un secret. Peut-être que cette plante lui serait utile au final. Le soleil se coucha assez rapidement. Docilement, l'alfe alla chercher ce que lui demandait Gandalf. Elle s'attarda même à la contemplation de cette superbe bête qui lui servait de monture. Il était grand et ses membres avaient l'air puissants. Ce cheval devait sans doute être la plus robuste monture qu'il lui eut été donné de voir jusqu'à aujourd'hui, après le warg de son chef de guerre, bien sure. Puis lorsque la blonde retourna vers le vieil homme, elle sursauta et poussant un petit crie de surprise. Le feu venait de s'allumer si soudainement que l'on aurait cru à de la magie. Une grande magie ! Un frisson lui parcourut l'échine. Certes le feu permettait de voir alors que la nuit tombait, bien qu'elle n'en ai pas l'utilité étant nyctalope, mais elle ne se sentait pas très à l'aise. On lui avait pourtant appris de ne pas allumer de feu de camp n'importe où, on ne sait jamais ce que ça pourrait attirer.
Inquiète, elle vint s'asseoir à côté de Gandalf et lui tendit les deux pipes. Elle l'observa préparer les deux pipes distraitement, jetant sans arrête des regards dans l'ombre qui les entouraient. Puis lorsqu'il lui parla, elle l'écouta attentivement. Décidément cet homme était d'une gentillesse sans pareil. Elle n'avait pas l'habitude qu'on l'aide aussi aisément, s'en était presque déroutant. Et puis elle n'avait jamais fumé dans une pipe. La soirée s'annonçait palpitante !
«Vous êtes adorable vieil homme ! Je ne sais pas comment j'aurais fait sans vous. »
Puis elle le regarda allumer les deux pipes et porta la sienne à sa bouche. Comment cela fonctionnait-il ? Mieux valait ne pas souffler car la plante sèche ressortirait en une petite volute de cendres. Alors peut-être fallait-il aspirer. Elle regarda le vieil homme barbue faire avec des yeux d'enfant puis elle fit de même, tirant sur sa pipe en aspirant profondément. Tellement profondément qu'elle s'étouffa avec la fumée. Elle toussa avant d'ajouter.
« Ce n'est pas désagréable, il y a un petit goût de pomme qui reste sur la langue. Et puis c'est plus appréciable que les inhalation !»
Et bien plus efficace. Au bout de trois ou quatre bouffé plus tard, Isil se sentait déjà moins tendue. Elle ne jetait plus des regards inquiets alentours, mais continuait à tousser par moment, elle n'avait aps encore la bonne technique pour fumer.
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