«La douleur de l'âme pèse plus que la souffrance du corps.»
"Tu n'es qu'une peste Isil... obliger mes gars à me savonner et... ça ! " Lâcha le chef de guerre orc, assit bras croisés sur un warg au pelage très dense. Un gloussement effronté lui répondit. Isil venait tout juste de terminer la couronne de fleur sur laquelle elle travaillait d’arrache-pied depuis quelques minutes. Posant l’œuvre sur le haut du crâne de l'orc elle descendit du warg histoire de prendre un peut de recule et de mieux observer son ancien soigneur et compagnon de bataille. "Arrête de rager comme une femme, tu voulais pas non plus que je te forge une vraie couronne, j'ai beau être une Alfe, je n'ai pas cette gêne dans les veines" Répondit la guerrière écarlate en lui tapotant le pied. "Je ne parle pas de ça petite Isil ! Où sont mes vêtements ?..." articula calmement l'orc qui plissait les yeux pour mieux dévisager la blonde tandis qu'un chapelet de ricanement retentit alentours. "Chef, vous dormiez ou quoi quant Rouge les as lancés dans la montagne du destin ?" répondit l'un des orcs de la bande en pointant du doigt Isil qui souriait fièrement. Pourquoi cela ne surprenait même pas le chef de guerre ? Il leva les yeux au ciel, ne voulant même pas savoir si les faits étaient vraies ou non.
"Thrak thrak thrakat nazg gimbatul. Mat ishi ussta xukuth burzum-ishi... mal vel'klar ph' ithildin ?..." chantais tristement l'alfe aux dos couvert de plaies dégoulinantes de sang. Sa voix portait loin dans les cachots et même jusqu'à l'extérieur. A cette heure-ci de la nuit, plus personne ne faisait de bruit. La complainte était tout ce qu'il lui restait, personne ne l'interdirait, ils n'avaient plus le droit de lui parler. Même les plus terrifiants orcs ne restaient pas indifférents lorsqu'ils entendaient cette voix. Sonnais-ce seulement comme une triste mélodie ? Si vous tendez un peut mieux l'oreille, n'enttendez-vous pas les secrets de cette voix ? Menaçante, puissante, douloureuse, dure comme la pierre. Et pourtant, ce ne sont que des sanglots aux oreilles du seigneur des ténèbres.
*briser briser, je te briserais. La chaleur de mon cœur est morte dans les ténèbres...où es tu éclat ?...
124 ans • Attirée• Alfe Lieutenant des Partisan de l'ombre• ft Jessica Marais
•/• Description rapide du lien recherché ... Dein Syria per speciosam interpatet diffusa planitiem. hanc nobilitat Antiochia, mundo cognita civitas, cui non certaverit alia advecticiis ita adfluere copiis et internis, et Laodicia et Apamia itidemque Seleucia iam inde a primis auspiciis florentissimae.
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•/• Description rapide du lien recherché ... Dein Syria per speciosam interpatet diffusa planitiem. hanc nobilitat Antiochia, mundo cognita civitas, cui non certaverit alia advecticiis ita adfluere copiis et internis, et Laodicia et Apamia itidemque Seleucia iam inde a primis auspiciis florentissimae.
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•/• Description rapide du lien recherché ... Dein Syria per speciosam interpatet diffusa planitiem. hanc nobilitat Antiochia, mundo cognita civitas, cui non certaverit alia advecticiis ita adfluere copiis et internis, et Laodicia et Apamia itidemque Seleucia iam inde a primis auspiciis florentissimae.
Minas Tirith 2917. Alors qu'il était condamné à mort, j'ai enquêté sur sa personne et me suis débrouillée pour me retrouver dans les geôles où il croupissait. Cette incarnation de la force brute avait réussit à se détacher et allez savoir pourquoi, plutôt que de me frapper, il me vola la seule et unique chose que j'avais réussit à conserver durant près de 100 ans: un premier baiser. Personne n'a le droit de faire ça ! Je n'était pas que furieuse ce jour là. Userait-il d'une magie sur moi ? Je n'arrive pas bien à le cerner, il est très mystérieux et c'est bien le seul être sur toute la Terre du Milieux dont je ne peux soutenir le regard. A chaque fois qu'il me dévisage, j'ai l'impression qu'il sonde la profondeur de mon âme. 24 ans se sont écoulés depuis sa libération, que vas-t-il en advenir...
Ilmarë
Connaissance
Nous nous sommes rencontrées par hasard, alors que je venais de perdre ma monture. Tu était avec ton garde du corps qui ne sembla pas apprécier ma venue. Tu as laissé mon corbeau se poser sur ton bras et déchirer ta chair sans que cela ne te fasse véritablement souffrir, ainsi j'ai pu comprendre que nous avions un point commun. J'ai une dette envers toi, dès que tu saura quoi me donner à faire, envoie moi un messager, je serais ton arme, ton ombre silencieuse dans la nuit. Ta monture m'a permise d'arriver à temps pour livrer mon message.
Nalfein Vo'Haren
Connaissance / ami
Tu cherchais refuge pour quelques jours, je t'ai donc accueillis avec ton compagnon orc à l'avant post du Mordor. Le contacte est tout de suite très bien passé même si nous ne connaissions rien de l'autre. Peut-être deviendrons-nous amis sur le long terme.
Vrarr
Ma distraction
T'embêter, te mettre mal à l'aise et jouer sur les mots... j'adore ça ! Mais pour un orc tu es plutôt calme, peut-être as tu un peut plus d'intelligence que certains de tes confrères. Combien de temps arrivera-tu à me supporter ? Il faut dire que tu semble avoir déjà un bon entraînement avec Nalf ! J'aimerais en découvrir un peut plus sur votre lien.
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Thalassius vero ea tempestate praefectus praetorio praesens ipse quoque adrogantis ingenii, considerans incitationem eius ad multorum augeri discrimina, non maturitate vel consiliis mitigabat, ut aliquotiens celsae potestates iras principum molliverunt, sed adversando iurgandoque cum parum congrueret, eum ad rabiem potius evibrabat, Augustum actus eius exaggerando creberrime docens, idque, incertum qua mente, ne lateret adfectans. quibus mox Caesar acrius efferatus, velut contumaciae quoddam vexillum altius erigens, sine respectu salutis alienae vel suae ad vertenda opposita instar rapidi fluminis irrevocabili impetu ferebatur.
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Thalassius vero ea tempestate praefectus praetorio praesens ipse quoque adrogantis ingenii, considerans incitationem eius ad multorum augeri discrimina, non maturitate vel consiliis mitigabat, ut aliquotiens celsae potestates iras principum molliverunt, sed adversando iurgandoque cum parum congrueret, eum ad rabiem potius evibrabat, Augustum actus eius exaggerando creberrime docens, idque, incertum qua mente, ne lateret adfectans. quibus mox Caesar acrius efferatus, velut contumaciae quoddam vexillum altius erigens, sine respectu salutis alienae vel suae ad vertenda opposita instar rapidi fluminis irrevocabili impetu ferebatur.
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