Quête part I : La bataille de Dol Guldur [TERMINE]

Au mois de juillet, une rumeur s'était emparée de la terre du milieu. L'ombre de l'Orient, le Noir Oriental, aurait établi ses quartiers à Dol Guldur. Le chef second des Nazgûl aurait pour tâche de retrouver l'unique. Il semblerait que cette rumeur soit vraie et une légion d'orque aurait envahit l'ancienne forteresse.

On sait de source sûre, que certains orques ont pénétrés les frontières du Roi des Elfes et ont attaqués son peuple. L'ennemi a été repoussé vers l'ancienne forteresse mais cette attaque ne présagent rien de bon...

Votre quête débute à l'entrée de Dol Guldur...



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☀ Les résultats de la quête seront annoncé à la prochaine intrigue.
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☀ Pour plus de crédibilité, vous êtes venus accompagnés de vos soldats que vous pourrez faire interagir en PNJ.

Les nouvelles de la forêt noire sont inquiétantes, et c’est bien pour ça que j’ai décidé de joindre les forces de mes elfes à celles de Silye, mettant ainsi de côté notre différent millénaire. N’est-il pas temps d’oublier ces guerres affreuses tirées du passé pour tenter, petit à petit, d’avancer vers un futur plus serein. C’est en tout cas dans cette optique que j’ai pris les rênes du commandement, laissant Celeborn derrière moi pour s’occuper de ma Lorien, et qu’une centaine de soldats armés jusqu’aux dents me suivent. Si je n’ai pas opté, cette fois non plus, pour une tenue de guerrière, je sais que je n’ai pas besoin de plus qu’une tenue pratique pour voyager. Il en sera certainement autrement alors que Dol Duldur s’approchera. Mais, pour l’heure, le voyage sera long, et je me dois de garder mes forces et ma mobilité.

Après quelques jours de voyage paisible, le temps vient rapidement pour moi d’enfiler une cotte de maille légère, qui vient épouser mon corps filiforme. Par-dessus, une simple tunique du blanc que je porte habituellement, encore et toujours, et une paire de pantalons de même couleur. Mes longs cheveux d’or volent au vent, alors que je remonte sur ma jument grise, et que je tire de son fourreau la lame elfique que je porte. Dans mon dos, Feanturie, mon fidèle arc, et accroché au pommeau de ma selle, un carquois plein de flèches que je pourrais passer sur mon dos facilement si besoin s’en fait. Mon épée se tend vers le ciel et reflète les maigres rayons du soleil avant de s’abaisser et de retourner d’un geste simple dans mon fourreau. Mon équipée contourne Dol Guldur par l’est pour aller rejoindre, plus au nord, les forces de la reine des elfes de la forêt noire. Mes troupes se placent le long des siennes, alors que ma jument me porte jusqu’à la hauteur de la reine, que je salue d’un signe de la tête.

Nous pouvons désormais marcher de concert jusqu’aux portes de la cité, où je ne sais ce que nous allons trouver. Ma main droite se crispe sur les rênes de ma monture, alors que mon regard se porte sur l’anneau de pouvoir qui s’y trouve. Oui, nous sommes là en nombre et en force, mais nous ne pouvons non plus espérer que seul le silence et la solitude nous attendra. Non, ici le danger rôde, et je n’ai nul besoin de mon miroir pour le savoir. Ma main gauche monte à l’assaut de mon arc, qui termine baissé, alors que je suis prête à attraper une flèche pour la pointer vers quelque chose qui pourrait nous menacer. Dans mon dos, aucun de mes soldats ne parle, alors que l’ambiance sombre envahit petit à petit tous les cœurs. Mais, où sont les orcs ? Ils doivent être là, quelque part, à nous observer dans les recoins de cette ancienne cité de malheur.

Quelques jours ont passés pour le prince, depuis sa rencontre avec Valaina dans la forêt sombre, et si sa blessure à la jambe n’est pas encore tout à fait guérie. Cependant, comme elle est en bonne voie, il a pu la cacher à sa mère afin de pouvoir l’accompagner et la seconder dans cette mission de purge. Dol Guldur… Il n’était pas né, pas encore, alors que le monde était au bord du gouffre et que cet endroit a été l’un des hauts lieux du mal. Si le prince a toujours été persuadé que le monde continuerait à tourner rond, la puanteur de sa forêt lui a désormais prouvé qu’il ne peut espérer que les choses s’arranges. Au fond de lui, tout au fond de son cœur, il n’a de cesse de se dire qu’il est heureux que cette équipée, dans le haut lieu du mal, car il a toujours été curieux de se retrouver dans cet endroit interdit. Il a toujours voulu aller là bas et terminer le travail qu’il accomplit dans les bois depuis tant d’années. Tuer les araignées. Les exterminer jusqu’à la dernière, écraser jusqu’au dernier œuf.

Mais aujourd’hui, alors qu’il se tient aux côtés de sa mère et de Galadriel, il ne sait réellement s’il s’agit là d’une bonne idée. Son regard bleu tourne sur chaque brindille qui bouge, alors que la tension qui habite son dos et ses membres s’accentue à chaque pas vers les portes de l’ancienne cité. Oui, il a peur. Il ne sait s’il pourra arriver jusqu’au bout. Il ne sait combien de vies seront perdues aujourd’hui, mais il n’a qu’une seule certitude : jamais le mal ne se laissera déraciner totalement. Car, cet endroit respire la purulence d’une ombre que l’on a que trop négligée, d’une ombre qui ne saura que se défendre, quelle qu’elle soit…

Votre groupe pénètre dans la cité en ruines, et vous avancez avec vos hommes au milieu des maisons délabrées. La tension est à son comble, et il ne faut que quelques minutes pour qu'un premier groupe d'orc semble venir de partout pour vous sauter dessus et attaquer chacun de vos hommes. Vous n'avez d'autre choix que de vous défendre, en espérant que les pertes ne seront pas trop nombreuses... Car, dans les coins et recoins de Dol Guldur, nombreuses sont les cachettes parfaites pour des embuscades...



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Les ruelles sont nombreuses, dans cette ancienne cité, devenu un tombeau, et c’est le cœur emplit d’appréhension que je fais avancer mon cheval, mon arc à la main, une flèche encochée dedans. Je laisse mon regard filer sur chaque recoin, cherchant chaque détail qui pourrait appeler une attaque, une embuscade ou quelque chose d’autre. Mais, comme tous ceux qui sont avec moi, je suis surprise de voir soudainement des orcs arriver de tous les côtés, devant, derrière, à droite et à gauche. Ma première flèche quitte la corde de mon arc alors que je le redresse pour viser, avec la force de millénaires d’entrainement. Déjà, ma main a saisit une nouvelle flèche dans mon carquois et l’a encochée, alors que je prends à peine le temps de viser. Il n’en a pas fallu plus pour que mes hommes sortent leurs épées ou dressent leurs arcs, à l’instar de ceux de Silyë et de son fils, qui sont là à mes côtés. Voyant les orcs s’approcher bien trop près de mon cheval, je passe ma jambe par-dessus l’encolure de mon cheval pour sauter sur le sol, et tirer mon épée elfique afin de parer l’attaque de l’orc le plus proche. Ma main droite se lève et j’appelle le pouvoir de mon anneau pour envoyer une onde de choc sur les orcs qui s’approchent de trop près du trio que je forme avec Silyë et Legolas, avant de parer à nouveau une attaque de mon épée, n’hésitant pas à mettre un coup de pied dans la poitrine de l’orc au passage. Bien avant d’être la Dame de la Lorien, j’ai moi aussi vécu un nombre certain de batailles, et je me suis battue, comme un homme, avec ce même nom que ma mère m’a donné. Jeune Fille-Homme : Nerwen, que j’ai porté avec plaisir, avant de choisir l’epessëdonné par Celeborn comme nom d’usage, en sindarin. Parfois, je me dis que j’aurais aimé prendre celui qu’il utilisait en Telerin, mais c’est une autre histoire qu’il n’est pas l’heure de raconter. Car, les orcs sont nombreux, et ils sont là, tout autour de nous, bien trop nombreux pour notre groupe.

Mon épée tranche l’air, elle fend la chair tendre des orcs, et je ne fais plus attention à personne autour de moi, jusqu’à ce que mon regard se porte sur le côté, histoire de vérifier comment s’en sortent les autres. Histoire d’être certaine que tout le monde va pour le mieux.

Ha, qu’il la regrette, cette blessure, notre prince elfe, alors que les orcs se mettent soudainement à sortir de partout. Ha, qu’il a l’impression d’être handicapé, obligé de rester sur son cheval pour ne pas rouvrir les points de suture qu’il porte sur sa cuisse… Mais, même s’il est ainsi bloqué, même s’il est ainsi incapable de faire quoi que ce soit, il ne peut que continuer à se battre, il ne peut que continuer à avancer et à laisser les flèches quitter son carquois pour protéger sa mère, qui elle a mit pied à terre pour combattre à l’épée. Legolas fait donc ce qu’il peut pour faire en sortr que sa mère s’en sorte sans le moindre mal, décochant flèche après flèche. Chacune trouve son but et met un orc au sol, et un instant, le prince laisse un sourire monter à ses lèvres. Oh, ce n’est pas qu’il apprécie de se battre, non. C’est plus qu’il trouve tout à fait intéressant que l’entrainement de ses maitres ait porté leur fruit, tout comme les années passées à observer les jumeaux d’Elrond se battre de cette manière si complémentaire : Elladan à distance, à protéger Elrohir, qui tourne et virevolte au corps à corps. Oui, en cet instant, il a une pensée pour ses deux meilleurs amis : une pensée pleine de remerciement et d’une tendresse qu’éloignent bientôt l’odeur du sang et le bruit des hurlements.

Non. Legolas ne peut prendre ici le temps de penser à quoi que ce soit d’autre qu’au moment présent. Ses cuisses s’appuient sur les muscles de son étalon qui, parfaitement dressé, se décale vers la gauche, approchant l’elfe du cadavre d’un des siens. Là encore, pas le temps pour lui de s’apitoyer sur le sort de celui qu’il a pourtant connu de nombreuses années. Non : il se contente de se pencher, et tout en s’excusant, il récupère les flèches de l’elfe pour les placer dans son carquois. Nul carquois n’est illimité, après tout, pas même celui du prince de Mirkwood.

Petit à petit, les orcs semblent être moins nombreux, comme si le combat approchait de sa fin, et c’est avec un soulagement que l’elfe tire une nouvelle flèche pour empêcher un orc d’attaquer Galadriel par derrière, avant de se concentrer à nouveau sur sa mère.

La silhouette blanche et élancée de Saruman déambulait en direction de l'entrée de Dol Guldur qui trônait devant lui, sinistre forteresse en ruine et pourtant on pouvait y entendre les tintements de lames et les cris caractéristiques d'un combat, au loin. A la perception de ces bruits Curunir ce hâta pour rejoindre le reste de l'expédition monter pour investir la sombre cité afin de vérifier si les dire à son sujet son fondé, Curumo avait jugé qu'il avait été prévenu trop tard, c'est donc dans la plus grande rapidité qu'il dut quitter Isengard, le groupe ne l'avait point attendu. Le magicien blanc avait aussi pris la décision de venir afin de constater par soi-même, cela ce révélera bien plus simple pour la suite des événements s'il pouvait lui-même confirmer les rumeurs ou bien d'y mettre fin, car pour Saruman il fallait bien plus que des racontât, il faut des preuves et rien de tel que ses propres yeux. C'est donc avec sa tenue habituelle et son bâton caractéristique qu'il pénétra a Dol Guldur.

Lorsqu'il fut sur place il put vite discerner les membres apparents, Galadriel évidemment, mais aussi la femme de Thranduil et son fils, dans la cohue du combat il ne put voir si d'autres membres étaient présents. Même si le combat semblait toucher à sa fin, Saruman n'eut pas le temps de signaler sa présence par la parole, deux orcs courraient dans sa direction...

Le magicien Blanc était peut-être un vieillard en apparence, mais sa condition de Maia lui octroyait une force et une rapidité bien supérieure a le moyen, fort de son expérience il eut vite fait de mettre au tapis c'est deux adversaire par des mouvements gracieux et vif avant de s'en prendre à une autre créature malfaisante...

Enfin ! Le conseil blanc avait accepté la réalité, du moins la dame de Lorien me soutenais mais Sarouman et Elrond eux non ! Mais finalement, après entretien avec Thranduil le grand roi des elfes de Vert-Bois le conseil décida de s'allier avec celui-ci pour aller combattre à Dol Guldur et terrasser l'ennemi : le nécromancien.


Afin de vérifier l'origine de la lame de Morgul que Radagast m'avait confié, le conseil m'a demandé d'aller vérifier dans quel état se trouver la tombe du Roi sorcier Angmar dans les mont du Rhudaur, là sa sépulture et tout ce qui l'entourait était scellé par de puissant sortilège. Le roi était enterré et enfermé avec ses huit semblable. Après avoir parcouru ciel et terre j'ai atteint les monts sombres, l'escalier de pierres sur les bordures de la montagne, puis j'ai put voir les grilles détruire. Après avoir descendu dans les sombre souterrain j'ai atteint une tombe, ouverte. Je n'en croyait pas mes yeux. Radagast apparu à ma demande et nous avons put constater que le roi des hommes n'était pas le seul à s'être réveillé : les Neufs était de nouveau au service du mal.

Nous deux avons quitté les lieux à toutes vitesse et avons parcouru la Terre du milieu jusqu'à l'entrée de la forêt noire. Je demandais alors à Radagast d'aller voir Thranduil afin de le mettre au courant...

« Trois anneaux pour les rois Elfes sous le ciel,
Sept pour les Seigneurs Nains dans leurs demeures de pierre,
Neuf pour les Hommes Mortels destinés au trépas,
Un pour le Seigneur Ténébreux sur son sombre trône,
Dans le Pays de Mordor où s'étendent les Ombres.
Un anneau pour les gouverner tous. Un anneau pour les trouver,
Un anneau pour les amener tous et dans les ténèbres les lier
Au Pays de Mordor où s'étendent les Ombres. »

Dis-je à Radagast qui me regarda, pendant le voyage nous avions peut parlé, utilisant des chemins différents, échangeant quelques paroles simple. Nous avions plutôt peur de ce qui allait se passer ensuite. C'était le moment des séparations, nous avions compris, nous n'avions pas eu besoin de se le dire et pourtant maintenant, avant de nous quitter, nous nous concertions l'un envers l'autre, cherchant probablement du réconfort ou un espoir que tout cela soit faux.


« Neufs d'entre eux sont tombés au service du Mal. Un Mal, le plus puissant de tous : Sauron. Il a peut être perdu sont apparence et sa force physique mais Sauron est au service de Morgoth. Nous ne pouvons le sous-estimer et ses pouvoirs ne disparaîtrons pas tant que l'anneau qu'il a forgé en secret ne sera pas détruit. Il va continuer à propager son mal... »

Radagast me dit ceci avec un sérieux qui m'impressionna beaucoup, je posa ma main sur l'épaule et il fit de même, un simple bonne chance de sa part me donna de la vigueur et par deux chemins différents nous partirent, sillonnant la forêt,chacun son but.


J’arrivai quelques temps plus tard sur le pont de Dol Guldur. La forteresse en ruine donnait froid dans le dos mais il était trop tard pour rebrousser chemin, bien qu'il ne l'aurait pas fait avant, il fallait affronter le mal ! Il entendit alors ce qui ressemblait à un combat au loin, il dégaina alors son épée, traversa le pont et utilisa nombre d'escalier et de lieu plus délabré les uns que les autres pour rejoindre ses compagnons. Il y avait là Dame Galadriel belle même en combattant, la reine de Vert-Bois qui tuer ses adversaire avec une grâce unique, son fils le souverain qui apparemment ne bougeait pas trop contrairement aux dame qu'il protégeait de son arc. Et enfin, il y avait Sarouman, je fus extrêmement étonné de le voir, il avait enfin décidé de se déplacé, son savoir et sa force serait d'un très grande utilité ici. Galariel tua le dernier orc qui n'avait même pas put se défendre. Moi j'étais en hauteur par rapport à eux et j'allai rejoindre un escalier pour descendre les informer de ma découverte dans le Rhudaur quand en haut de l'escalier vers lequel je me dirigeais un orc embusqué visait la Reine des elfes. Il visait et lançait de petit couinement de joie en sachant qu'il serait le tueur de Silyë Lorendil. Il commençait à lâcher ses doigt répugnant de son arc bandait quand Glamdring traversa son torse. Doucement il débanda l'arc en regardant la lame puis il lâcha son dernier souffle et je poussa son corps dans l'escalier.


Je les descendis ensuite à grande vitesse puis arrivé en bas ne perdit pas une minute et commença mon récit.

Spoiler:

Le groupe d'orc n'étant pas très nombreux, vous avez vite fait de vous en débarrasser. Avec grand étonnement, Olorin arrive à la fin du combat pour vous faire part d'une nouvelle inquiétante. Les tombeaux des Neufs ont été ouvert, ils sont donc de retour.

Vous n'avez pas le temps de discuter que 4 ombres viennent à vous, il n'y a plus de doutes sur leur nature de Nazgul...

Lancé de dé obligatoire : Vous devez lancer le dé "combat" à la suite de ce sujet, deux lancés maximums (au cas si le premier dé ne vous plait pas   ).

Ne postez pas vos rps de suite, chacun de vous doit lancer le dé avant. En fonction du résultat, le PNJ vous donnera plusieurs propositions.




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