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Naevia-Au pays des licornes

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Dim 25 Jan - 12:21

         
Naevia

       
les partisans de l'ombre
       

       
ft. Phoebe Tonkin
Oye ! Oye ! Je me nomme Naevia, fils/fille de nom ♂ et nom ♀.  Je suis née le 12 Septembre 2919 T.A. . J'ai donc 22 ans ! Je suis né(e) dans la contrée que l'on nomme EDORAS AU ROHAN et actuellement je vis à EDORAS AU ROHAN  . Dans la vie, je suis Noble ! Si tu ne l'avais pas remarqué je suis une spécialiste en MANIEMENT DE L'ÉPÉE. Je suis actuellement CÉLIBATAIRE.

       Je suis un INVENTE.

       
A savoir

       × Une cicatrice sous le nombril. Une dague en est la cause.
       × Raconter une anecdote, un tic ou une habitude votre personnage.
       × Bavarde
       × Patiente
       × Charmeuse
       × trait de Caractère

       

       

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   Naevia-Au pays des licornes Partis11

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Mon histoire
 

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Insouciance

On t'appelle. On te somme de revenir, mais tu ne reviens pas. Tu n'obéis pas, tu n'écoutes pas. Tu n'as que cinq ans. Tu aimes, tu veux savoir jusqu'où tu peux aller. Tu testes les limites de ta gouvernante qui s'impatiente de ta désobéissance. On te hurle que tu ne dois pas courir. Non seulement tu pourrais te faire mal, mais une Dame ne doit pas courir. C'est impropre à sa personne. Ce sont les petites gens qui s'affolent, pas vous. Pas toi. Mais tu n'en as cure des paroles de ta nourrice. Tu n'en peux plus d'attendre, tu ne veux plus attendre. C'est pourquoi tu cours aussi vite que tu le peux, prenant tout de même garde à ne pas tomber dans les escaliers. On s'écarte de ton passage devant ton air essoufflé et excité. Tu as le sourire aux lèvres. Ton père est arrivé. Ton père est rentré.

Aisance

Tu ne cours plus, c'est terminé. Tu t'es assagie et ta gouvernante en est soulagée. Du haut de tes huit ans, il est grand temps que tu apprennes à te comporter comme une vraie femme. Tu te montres docile, souriante, obéissante, mais ce n'est qu'un reflet du miroir. La vérité ne se trouve pas sur ton visage, mais sur tes secrets que tes parents ignorent. Tard dans la nuit, tu es la seule dans la demeure à ne pas dormir. tu ne le peux pas, tu ne le veux pas. Tu as un rendez-vous secret. Bon nombre penseront à cette entente qu'il s'agit là d'un rendez-vous d'amoureux ; c'est on ne peut plus faux. L'amour t'indiffère. Tu y es étrangère. Non. Tu cours, te cachant dans l'ombre lorsqu'un garde se fait entendre. Il ne faut pas qu'on te voit. Tu finis par rejoindre ton ami qui semble mal à l'aise. L'extérieur semble si dangereux une fois qu'on quitte l'enceinte protectrice de la ville. Le garçon râle, doute. Tu assures, insistes.

- Les femmes n'ont pas à apprendre à se battre, Kiria.
- Avoue que tu as peur de perdre contre moi, provoques-tu.

Ses narines gonflent, répondant malgré lui à la provocation. Il n'aime qu'on lui dise qu'il peut potentiellement être faible face à une femme. La faiblesse est pour les femmes. Il te lance une épée en bois et vous vous battez plusieurs heures. La fatigue se fait sentir et vous décidez de rentrer chacun chez soi. Les lendemains sont difficiles et tu dois cacher ta fatigue en faisant croire que tes cernes sont dû aux cauchemars qui hantent ton esprit certaines nuits. On t'offre l'éducation d'une noble, d'une Dame et tu dissimules ton ennui, ta tête se tournant quelques fois vers l'extérieur, attendant avec une impatience dissimulée la prochaine nuit à venir.

Répugnance

- Tu es en âge, ma fille.
- Je refuse !

Tu refuses. Jamais tu n'accepteras ce choix, cette décision. Tu n'as que douze ans, tu es trop jeune, bien trop jeune. Comment peut-on oser t'annoncer sans une once de remord que l'on escompte te trouver un époux qui te conviendra. Qui te conviendra ? Un homme plus vieux, pompeux, imbu de sa personne et qui te forcera à te taire, à être faible ? Tu refuses. Jamais ils ne te forceront. La cage n'est pas pour toi. Tu fuis, tu cours alors qu'on te somme de revenir. La pluie trempe assurément tes vêtement, mais tu n'en as cure. Ta course te mène à l'écurie, tu ouvres le box et monte sur ta jument ébène. Sans rennes ni selles.  Noble dame d'apparence, cavalière de sang. Nul besoin de guider ton destrier, elle sait où elle doit se rendre. Son hennissement fait tourner les têtes surprises et c'est d'un pas empli de rage que tu t'approches de ton ami enfance, ton seul ami.

- Qu'est-c...
- Père veut me fiancer.


Ce sont de terribles mots dans la bouche d'un enfant et le garçon en est sous le choc. Sa bouche s'ouvre en un "o" quasi parfait, l’ahurissement s'empare de son corps tandis que la pluie et la boue finissent de transpercer vos habits pour atteindre votre peau. Il aide son père à son travail, tu fuis le tiens. Tu devines la colère dans ses yeux, la rébellion, mais il ne dit mot. Vous êtes amis et c'est déjà trop. Le paternel est à côté, il entend tout, mais garde bouche close. Il ne se fait pas d'illusion. Toi et son fils serez séparés quoi qu'il arrive, quoi que vous tentiez de faire.

Persévérance

Quatorze ans. Ton physique de jeune femme commence tout juste à s'affirmer et bien que l'on susurre déjà que tu seras une magnifique créature, tu bouillonnes intérieurement. Outre le fait que tu as du mal à garder patience pendant ton apprentissage à l'arc, ta relation avec ton géniteur ne fait que se dégrader. Il se demande comment tu peux avoir pareille personnalité. "C'est exécrable" dit-il. Peut t'importe. Il n'est plus le héros, l'idole que tu te faisais de lui lorsque tu étais jeune. Ton père persiste à te faire rencontrer des prétendants. Ils sont nombreux, tu les refuses tous. Cela l'enrage, tu en es satisfaite.

- Mon enfant, il ne veut que ton propre bien, tente de tempérer ta mère.
- Alors pourquoi ne prend-il pas compte de ce que je désire vraiment ?!
- Ne veux-tu pas des enfants ?


Tu ne caches pas ta grimace de dégoût. Un enfant ? Cette chose molle et fragile, criarde et capricieuse, dépendante et insupportable ? Non. Tu le sais au fond de toi, tu n'es pas faite pour être mère. Pas alors que tu rêves de grands espaces, de vent fouettant ton visage et de liberté, de danger et de nouvelles rencontres. De nouvelles créatures. Qu'en est-il des elfes et des nains ? Des Seigneurs du Gondor et de la lande désolée du Mordor ? Ton regard bleu se perd dans le vide.

- Je veux être libre, souffles-tu enfin.

Souffrance

Tu es devenu une belle et dangereuse guerrière du haut de tes seize. C'est aujourd'hui ton anniversaire et tu sais exactement ce que tu désires comme présent. Ton père espère toujours te trouver un mari, mais tu n'en préoccupes plus depuis longtemps. Tu restes cependant cordiale avec ton géniteur. Tu le fais pour ta pauvre mère actuellement souffrante. La maladie la ronge et tu as peur qu'elle ne passe pas l'automne. Néanmoins tout le monde s'évertue à faire bonne figure en ce jour de fête, le jour de ton anniversaire. L'aube se lève à peine, mais tu cours déjà dans les ruelles de la ville. Plus personne ne s'en outre, plus personne ne s'en occupe. Tes pas te mènent vers la forge où tu rejoins ton meilleur ami qui y est apprenti. Il doit normalement y être déjà et tu ne te trompes guère. A peine te voit-il qu'il te prend dans ses bras. C'est devenu un jeune homme au charme certain. Tu n'y es pas indifférente.

- Tu devrais être auprès de ta mère.
- Ma nourrice la veille et je voulais te voir.


Il est nerveux, pas très à l'aise et tu devines pourquoi. Tu n'as jamais caché ton intérêt pour lui. Pourquoi faire, de toute façon. Vous vous êtes promis de toujours rester ensemble. Peut-être pas dans une vie de couple, mais dans une amitié inébranlable où absolument rien ne saurait vous séparer. Tu ne le permettrais pas. Jamais. Il te prend la main et tu en frissonne de plaisir. Tu souris.

- J-je dois te parler, Naevia.

Tes orbes bleus s'illuminent alors que tu penses savoir ce qu'il va dire. Il va enfin se déclarer à toi, le matin de ton anniversaire. Enfin. Ce moment que tu attends depuis tant d'années va finalement se produire. Tu n'as que trop attendu.

- J-j'aime quelqu'un.

Oui, tu le sais.

- Je ne m'y attendais pas du tout, c'est venu d'un seul coup. C-comme un coup de foudre.

Tu l'as également ressenti comme cela.

- Son père m'a donné sa bénédiction. Nous allons bientôt nous marier.

Qu-quoi ?

- Elle s'appelle Eohild. C'est la fille du forgeron. T-tu... tu es heureuse pour moi, n'est-ce pas ?

Sa voix s'est affaiblie à la fin de sa phrase. Il doute, hésite. Il a raison. Ton visage s'est pâli, toute trace de joie a disparu, laissant à l'hébétement. A-t-il bien dit ce que tu as cru comprendre. Tout s'effondre autour de toi, l'avenir dont tu rêvais ; soufflé par un vent destructeur contre lequel tu n'y peux rien. Tu y avais tellement cru, trop peut-être. Et il espérait que tu le félicites comme une amie que tu es. Que tu devrais être.

- Naevia ? Est-ce que ça va ?
- Ou-oui. Excuse-moi.


Tu fuis, c'est la seule chose que tu peux faire.

═══════════════╬═══════════════

- Où diable étais-tu passé ?!

Ta tête est baissée, tout le monde en est étonné. Tu as toujours tenu tête, toujours provoqué. Jamais courber l'échine. Ton géniteur continu à crier avec véhémence, il en a plus qu'assez de ton outrecuidance, du fait que tu t'obstines à rejeter tous ses prétendants qui pourraient faire la fierté de sa demeure. Tu lui réponds qu'ils ne sont pas ce que tu veux. Son visage tourne au cramoisi alors que ses veines sur son visage gonfle dangereusement. Il hurle, tempête. Tu n'as pas à répondre à ton seigneur, que tu n'es qu'une femme et qu'une femme se doit être soumise, docile, obéissante. Ce que tu n'es pas, ce que tu ne veux pas être. Jamais. Il te somme d'aller te préparer pour la fête donnée en ton honneur. Tu ne fais aucune révérence, tu ne donnes aucune réponse. Tu t'en vas juste dans une colère contenue et silencieuse. Inquiétante.

Seule dans ta chambre, tu laisses enfin lire cours à ta colère. Tu hurles, saccages, mais ne pleure pas. Tes yeux restent résolument sec. La haine commence à s'emparer de toi et s'installe, ne semblant plus vouloir s'en aller. Que cela ne tienne, tu n'escomptes pas la chasser. Elle semble si bien te sied. Essoufflée, tu finis par t'asseoir sur ton lit complètement défait. Tu regardes fixement ton armoire ouverte ainsi que les tes habits étalés sur le sol à la pierre froide. Tu dois te préparer, te faire belle pour des gens dont tu n'as cure. Pourquoi devrais-tu être joli. Ton ami t'a trahi, ta mère souffrante et ton père n'a que faire de ta personne. Il n'a qu'une hâte : se débarrasser de toi. Il ne le cache pas. Il n'a pas à le faire. Ton regard glacé se pose sur un vêtement sombre que tu finis par reconnaître après un temps d'absence. C'est celui que tu escomptais porter le jour de ta fugue. Tu l'avais acheté spécialement pour cet événement Que cela ne tienne, ce moment viendra bientôt plus tôt. On ne tentera plus de t'enchaîner contre ton gré.

- Naevia...

C'est ta mère qui chuchote, qui souffre et se meurt. Son époux n'est pas venue lui rendre visite une seule fois et alors que tu traversais les couloirs dans le but d'aller la voir, tu as compris pourquoi. Ton cœur s'est glacé d'effroi et ta haine ne s'est faite que plus grandissante plus puissante, s'enracinant dans ton être, faisant finalement partie de toi. Tu l'as vu, il ne peux te mentir, le nier, dans les bras d'une autre femme, joliment vêtu, mais laide à tes yeux. Ils se caressent, s'embrassent. Tu refuses de lire l'amour sur leur visage, tu ne vois que de la trahison et une malsaine concupiscence. Tu les hais.

- Je reconnais ce regard...
- Plaît-il, mère ?
- Tu n'as pu aller voir ton ami. Il doit sûrement te manquer.



Douce et aimante génitrice, réceptacle de tous tes secrets, au teint blafard. Et qu'elle ne croit pas que tu n'as pas remarqué le mouchoir tâché de sang. Qu'elle ne se leurre pas, tu le sais qu'elle n'en a plus pour longtemps. Elle te souffle de sourire, te sortant de tes sombres pensées. Tu le fais, mais le cœur n'y est pas, n'y est plus. Tu as compris qu'elle le savait aussi, qu'elle l'avait toujours su ; l'infidélité de ton père. Ta mâchoire se crispe, se serre. Ta haine cri vengeance et se tourne légèrement vers elle. Pourquoi est-elle aussi docile, soumise. Faible ? Pourquoi accepter de vivre sous le même toit de son époux adultérin ? Et durant toutes ces années, elle n'a rien dit, encaissant tout. Qu'il serait si bon de parler, d'agir pour elle. Qu'il serait si doux de l'écouter. Tu restes là, assise pendant des heures, veillant sur ta mère endormie. Mais les heures passent et trépassent et, à la fin, elle ne respire plus. Immobile, une goutte de sang que tu effaces de ton pouce à la commissure de ses lèvres. Les servantes pleurent, pas toi. Ton cœur s'est asséché. Désert intérieur qui ne fait que s'étendre.

═══════════════╬═══════════════
- Pourquoi cette si longue attente, nous commencions à nous impatienter.
- Je viens vous annoncer le décès de votre épouse, fais-tu sur un ton égal.


Le choc se lit sur le visage de toute l'assemblée sans exception. La fête ne sera pas aussi  joyeuse que ton père l'avait tant escompté. La fête se transforme alors en funérailles précipités. On ne perd pas de temps, on craint que la maladie soit contagieuse et mortelle. Tu ne dis rien, mais caresse le pommeau de la dague que tu dissimules sous ton vêtement. Patience, patience. Tout le monde pleure pendant le chant funéraire que tu entonnes selon la tradition. Tu te trouves entre ton père et un noble se dit être ton nouveau prétendant. Il ne doute pas une seule seconde que tu vas le rejeter comme tu l'as fait avec tous les autres. Avec rudesse et froideur. Il ne se doute de rien, assuré de sa victoire prochaine. Persuadé que tu es une femme faible. Ton regard froid croise celui de ton ami d'enfance. Il est triste. Sans doute pour la père de ta génitrice, mais aussi pour ta réaction face à sa nouvelle. Tu détournes le regard alors qu'il continu à chercher de le capter. Tu t'es senti trahi face à ce secret si longuement gardé alors que, toi, tu ne lui cachais rien. Qu'il soit heureux, tu le lui souhaites. Sincèrement. Mais ce bonheur sera sans toi. Qu'il le veuille ou non, ta décision est prise.

La nuit a posé son voile étoilé et le silence est totale alors que tout le monde est plongé dans un sommeil réparateur face à cette journée riche en émotion. Pas toi. Tu t'actives dans ta chambre. Tu n'as plus de temps à perdre alors que tu as pris ta décision. Ton sac est fin prêt et tu l'es également. Mais avant, il y a quelque chose que tu dois faire. Ce n'étais pas prévu, mais tu ne peux pas t'en détourner. Ce serait l'accepter. Tu te fonds alors dans la nuit, ne faisant le moindre bruit. Tu glisses dans la chambre de tes parents et ta haine se gonfle à nouveau quand, à la lueur de la lune pleine, tu distingues ton père avec une femme. La ribaude de cet après-midi. Tu pinces tes lèvres avant de sortir ton poignard pour asséner un coup fatal dans sa gorge. Tant pis pour elle. Son cri est un hoquet douloureux et effrayé qui réveille ton géniteur en sursaut. Il n'a pas le temps de réagir, tu es bien plus rapide que lui. Ta rage s'exprime alors que tu enfonces ta lame ensanglantée à plusieurs reprises dans son corps et dans celui de la femme.

Tu es essoufflée, tes yeux de glace regardant fixement le fruit de ta vengeance. Un véritable massacre. Il n'y a, à présent, plus aucune raison pour que tu restes vivre ici. Tu dérobes alors les richesse de ton patriarche que tu savais caché sur un faux fond d'un tiroir. Rapidement, tu t'empares d'une torche que tu allumes grâce aux restant de braises encore brûlant dans la large cheminée. Tu n'as plus de temps à perdre. Tu flambes tout ce qui peut l'être, à commencer par les rideaux et les draps de lit, le tapis. Tout prend feux alors que tu refermes la porte de la chambre derrière toi, sans bruit. Tu ne croises personne alors que t'enfuis au galop sur le dos de ta jument. Tu ne te retournes que lorsque tu estimes t'être assez éloigné et tu peux entendre les cris affolés de la ville en émoi. Ils tenteront d'éteindre l'incendie qui se propage dangereusement. Ce n'est que tard, le lendemain matin qu'on découvrira leurs cadavres ainsi que ta disparition. Jamais ils ne sauront que c'est de ton fait. Jamais ils ne te retrouveront.

Quittance

- Voici votre dû.

Tu prends ta bourse sans dire un mot alors que ton client ne perds pas de temps à s'en aller de cette auberge à l'odeur presque insupportable de sueur et de bière. Toi, tu ne pars pas tout de suite, tu souhaites te désaltérer avant ça. Neuf ans ont passé depuis ton meurtre. Tu es devenue une vraie femme et tu t'en sers quelques fois, pour arriver à tes fins. Le sexe ne te rebute pas, ce n'est qu'un moyen d'accéder au plaisir et d'offrir la mort à tes victimes. Tu as rejeté ton statut de noblesse, ne te privant pas de te moquer de ces Dames si soumises, bien que tu te plais toujours à t'acheter des habits au tissu luxueux, t'assurant leur solidité et leur souplesse. Tu es une mercenaire depuis de nombreuses années et t'es aguerris dans l'art du combat avec le temps. Toi qui avait tant de mal à manier l'arc dans tes jeunes années, ce n'est plus le cas à présent. Ta fidélité va là où l'argent te réclame, là où le sang t'appelle.

Tu murmures doucement, satisfaite de ta journée et de ton assassinat :

- Que sombre le jour.

 
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Dim 25 Jan - 13:57
Bienv'nue à toi et bon courage pour ta fichette ^^
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Silyë Lorendil
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Silyë Lorendil
Silyë Lorendil
fondatrice
× Messages : 1295
× Inscrit le : 28/02/2013
× Dime : 23776
× Localisation : Forêt Noire
Dim 25 Jan - 14:27
Bienvenue à toi ♥

Si tu as le moindre soucis, sache que le staff est là ^^ Bonne chance pour ta fiche !
Silyë Lorendil
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Mar 27 Jan - 1:41
Bienvenue parmi nous !

comme l'a dit Silyë, n'hésite pas si tu as des questions !
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Mar 27 Jan - 10:26
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche ! :13:
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Mar 27 Jan - 22:57
Bienvenue parmi nous ! et bon courage pour ta fichette !
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Mer 28 Jan - 0:10
Bienvenue et courage pour ta fiche :13:
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Mer 28 Jan - 22:25
Bienvenue et bon courage pour ce qui te reste à faire chaton ♥
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Dim 8 Fév - 0:28
Le délais pour terminer ta biographie est expiré depuis une semaine. Si tu as terminé ainsi, n'hésitez pas à aller le signaler sur le sujet approprié qu'on puisse la valider. Dans tous les cas, sans nouvelles de ta part d'ici mercredi, je serais obligée d'archiver tout ça :(
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Mer 11 Fév - 23:45
pas de réponse, j'archive.
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