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please come back quickly → cyrielle

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Mer 6 Mai - 16:16

please come back quickly.
IL Y A DES FLEURS PARTOUT POUR QUI VEUT BIEN LES VOIR



il devait être midi car la lumière qu'émanait le soleil donnait aux feuillages des arbres un aspect joyeux. l'herbe moelleuse était nappé d'or et de noir. le vent dessinait une silencieuse musique sur la surface de l'eau de la rivière enchantée. j'étais en dehors de la forêt noire, dans un lieu qui n'appartenait qu'à moi. à moi et mes amis. près de la rivière enchanté se trouvait un joli morceau de forêt qui n'était pas malade. une cascade la traversant, le soleil pouvait passer entre les arbres. c'était un lieu que j'avais découvert en me promenant. mon renard était roulé en boule sur la croupe de mon cheval.

<< - Tu es toujours en train de dormir, Galad. >> Râlais-je alors que la jument marchait vers la cascade.

je descendis de tango qui se mit à brouter de l'herbe puis saisit galad sous les deux pattes avant.

<< - Tu devrais profiter de cet endroit au lieux de dormir tout le temps, en plus, tu deviens gras ! >> Souriais-je.

je posa le renard sur le sol, ses oreilles étaient en arrière, c'était dingue la complicité que j'avais avec ce petit animal. c'était comme si il me comprenait. plus tôt dans a journée, j'avais reçu un message de cyrielle qui était en chemin vers la forêt noire. enfin... elle partait souvent et longtemps. je la considérait comme ma grande soeur, elle était plus mature que moi et nous avions les beaucoup de points communs. plusieurs semaines étaient passées depuis qu'elle était partie. je l'enviais... elle voyait les autres races, tandis que moi j'étais ici... trop souvent ici d'ailleurs. cyrielle savait très bien où me trouver, je lui avait déjà montré cet endroit. c'était d'ailleurs un peu notre endroit. l'herbe sous mes pieds nus était douce, une brise chaude faisait virevolter mes long cheveux miel. pour tout le monde, ce n'était rien, pour moi, c'était beau. je me mit à tourner sur moi même, les bras vers le ciel en souriant puis me laissa tomber dans un nuage de mousse qui ralenti ma chute. galad pourchassait des papillons qui volaient sur l'eau en essayant de ne pas se mouiller. je ferma les yeux un instant. j'étais si bien ici, dans ce petit coin de paradis. j'étais bien loin des soucis d'arda en ce lieu. j'avais grande hâte de revoir cyrielle. quelle me comte ce qu'elle avait fait, qui elle avait rencontré, comment était le paysage.

moi aussi je pouvais partir à l'aventure, mais j'étais seule. et puis même si je savais bien manier l'épée, je n'étais pas une as du combat. je n'osais pas me lancer. beaucoup de peuples avaient du mal avec le mien. parce que nous étions différents, voir dangereux à leur dires. les elfes de la forêt noire n'étaient pas très bien vu et c'est ce qui me freinait dans mon envie de voyager. peut-être un jour franchirais-je le pas avec galad et tango comme compagnons ? qui sait...

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Mer 6 Mai - 18:30

   
Valeryan & Cyrïelle
   
   
Une fois qu'on a goûté au futur on ne peut pas revenir en arrière
   
La bataille qui avait eu lieu à Esgaroth l’avait surement poussé à demander à Jamon de lui faire traverser le lac, certes, son pauvre ami n’était que pêcheur, mais sa barque était suffisante pour aller d’un bout à l’autre du lac. Pourtant, Esgaroth pansait encore ses plies, et Cyrielle ne pouvait en panser étant donné qu’elle avait réussi à fuir à temps sur le lac avec Erika, son amie humaine. Une chance, sans quoi l’elfe aurait dû abandonner la future mère à son sort, et pourtant, le bateau de fortune qu’elle avait trouvé les avaient sauvées toutes les deux. Alors, la blonde avait décidé de revenir à ses racines et de marcher longuement en pensant à ce que cette vie parmi les hommes lui avait apporté depuis plus d’un an et demi. Malgré le mois de décembre et la neige qui tombait de plus en plus souvent, le soleil était présent en cette journée. Magnifique journée, si elle était encore dans la cité elfique qui l’avait vu naître, Cyrïelle aurait surement joué de la harpe ou bien danser avec ses amies comme elle avait l’habitude de le faire en regardant des soldats s’entrainer au combat. Si elle avait eu un père moins poule, elle aurait pu rejoindre Tauriel dans la Garde du Roi et dépenser son énergie, mais elle était devenue une dame, un diplomate et quelqu’un d’assez sérieux… Mais qui pourtant ne se prenait jamais au sérieux. Elle n’en avait jamais eu le courage finalement. C’était comme ça, elle aimait écouter et apprendre, sans pour autant en tirer les leçons utiles à sa vie future. C’est comme cela qu’elle était partie il y a un an et demi pour Esgaroth. Et qu’elle n’avait pas le droit d’en repartir sans que son père ne vienne la rechercher finalement… En fait, Cyrïelle n’avait pas tellement changé, elle était devenue plus sage, prenant peu à peu conscience des dégâts de la guerre et de la rapidité de la mort. Par le passé, elle pouvait égoïstement rire au nez d’un humain à moitié mort dans le désert, elle pouvait aussi défier les convenances en s’enfuyant vers Raven Hill avec le Prince des nains d’Erebor, elle avait été hors des conventions durant longtemps. Et maintenant n’en payait-elle pas le prix fort ? Être loin de ceux qu’elle avait aimés durant plus de deux mille huit cents ans… Si peut-être, mais cette vie à Esgaroth n’était pas si difficile finalement.

Ses longs cheveux d’or étaient attachés en une tresse épaisse et faite à la va vite, encadrant un visage aussi blanc que la neige, mais souriant de cette vie qu’elle avait pu garder. Sur la neige qui partait petit à petit, on pouvait distinguer des morceaux de forme de pas. Rien de bien extraordinaire finalement. Vêtue d’une robe bleu azur, peu conventionnelle pour cette époque de l’année. Elle laissait ses longues manches de voiles transparents aller et venir au rythme de ses pas, alors qu’elle ressaierait son châle de laine écru, aux fines broderies d’argent autour d’elle. Elle n’avait pas froid, mais maintenant l’illusion que cette saison l’enchantait était autrement plus difficile alors qu’elle remontrait le court d’eau qui chantait d’étincelles et de gourmandises. La forêt était sa maison, et vivre dans une ville sur l’eau n’était pas forcément des plus plaisants pour l’elfe, mais elle avait eu la chance de tomber sur des gens comme Erika ou Jamon… Kili le fils de Dis et Bard, le batelier. Sans vraiment savoir pourquoi, les joues de l’elfe chauffèrent légèrement à cette pensée. Cet homme était tellement différent des autres, elle avait surement eu plus peur pour lui durant cette invasion que pour Erika ou Jamon… Mais Bard était celui qui l’avait sauvé de cette embarcation médiocre. Il était ce qu’il était et penser à lui était des plus revigorant finalement, il était un petit rayon de soleil d’été dans l’hiver dur et froid.

Alors, les petites oreilles pointues de l’elfe se dressaient sur les bruits de la forêt, des rires, quelques glapissements et des hennissements. Il y avait quelqu’un d’autre dans la forêt en cette période de l’année et toujours dehors, il ne pouvait s’agir que d’une seule personne. Prenant délicatement l’avant de sa robe pour le remontrer, Cyrïelle commençât à accélérer le pas, sautant délicatement au-dessus des racines capricieuses et s’amusant à tendre le bras pour faire tomber les restes de neiges des branches des sapins à la fois malades et en bonne santé. Mais plus elle s’enfonçait, la verdure reprenait ses droits et l’endroit était de plus en plus paradisiaque pour l’elfe qu’elle était. Il n’y avait pas à dire, ce genre de promenade lui manquait. Alors, la blonde arriva à l’orée de l’endroit préféré de sa sœur, du moins celle qu’elle aimait appeler ma sœur. Valeryan était là en jouant les bras le vé au ciel, comme une enfant. Elle avait cette grâce qui en faisait jalouser plus d’une, mais Cyrïelle n’avait jamais été jalouse d’elle. Descendante d’une originale, la Valdottir n’était pas en reste au niveau de la grâce et de la beauté. Alors, elle s’accouda à un arbre en attendant que son amie finisse de danser sa vénération à la nature. Tranquillement. C’était cette insouciance qui avait souvent manqué à Cyrïelle qui avait toujours tout pris avec sérieux de par son don pour la diplomatie. Alors que Valeryan fermait les yeux, c’est à pas feutré qu’elle s’approcha de l’elfe aux cheveux de miel. En lui murmurant à l’oreille : « Ton renard a énormément grossi ma sœur, il faudrait qu’il chasse quelque peu. ». Elle aimait les surprises, les faire, car elle était énormément capricieuse à l’idée d’en recevoir. Mais d’un pas, elle se recula pour laisser à son amie l’occasion de se retourner vers elle. Un sourire joyeux s’affichait déjà sur son visage, alors qu’elle la prenait contre elle : « Comme tu m’as manqué durant tout ce temps ! »


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Mer 6 Mai - 20:34

please come back quickly.
IL Y A DES FLEURS PARTOUT POUR QUI VEUT BIEN LES VOIR



il était vrai que j'étais quelqu'un inconsciente, je me fichais de ce que pouvait penser les autres mais en plus je pouvais me mettre en danger. la preuve, j'étais vêtue d'une fine robe bleue pastel avec un châle un peu plus clair alors que la neige ne faisait que de fondre. j'étais spontanée et je faisais ce qui me semblait le mieux sans me soucier des conséquences. mais je n'étais pas idiote pour autant. je savais que les temps étaient durs et que cela ne faisait que commencer, mais apporter la joie aux autres était ma façon de protéger arda. j'avais un dicton "prends les armes, et tu reviendras dans un monde sombre, donne le rire, et tu rendras le monde lumineux". personne ne pensait à cela. oui prendre les armes, c'est bien beau... mais en attendant, il y a des femmes, des enfants et des personnes âgées ou blessée qui étaient là et dont il fallait s'occuper.

alors que j'étais bien instalée dans mon lit de mousse humide et fraîche, je sursauta en entendant une voix que je ne connaissais que trop bien. "Ton renard a énormément grossi ma sœur, il faudrait qu’il chasse quelque peu."

<< - Cyrielle ! >> fis-je en la prenant dans mes bras.

une année à attendre, même plus d'un an à attendre ma soeur de coeur. pourquoi autant de temps chez les mortels ? je n'avais pas vraiment eut de détails sur son départ, juste que son père l'envoyait là-bas. "Comme tu m’as manqué durant tout ce temps !" je la relâcha puis la détaillait du regard.

<< - Comme tu es belle ! Dis-moi, c'est les hommes qui t'ont appris à te coiffer ainsi ? >> la taquinais-je.

je pouvais me moquer ! combien de fois j'étais sortie sans prendre le temps de me tresser les cheveux. j'aimais bien les coiffures un peu sauvage, cela me faisait voir du paysage.

<< - Tu m'as tant manqué ! Ton voyage a duré si longtemps, pourquoi cela ? >> demandais-je.

oui, j'étais curieuse. je voulais savoir tout sur tout, du comment du pourquoi et du pourquoi du comment. un sacré défaut pour ma part. j'enviais tant Cyrielle d'avoir passé autant de temps chez les hommes. qu'avait-elle apprit ? vu ? y-avait-il de beaux hommes ? Galad arriva en courant, faisant une petite fête à Cyrielle. un vrai chien ce renard par Eru !

(hj : j'ai rectifié du coup hihi)

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Lun 18 Mai - 2:32

   
Valeryan & Cyrïelle
   
   
Une fois qu'on a goûté au futur on ne peut pas revenir en arrière
   
Valeryan avait toujours eu cette façon d’être qui était la sienne et elle avait toujours assumé ce qu’elle était du plus profond de sn être. Si Cyrïelle quant à elle avait toujours caché le meilleur d’elle-même a son père ou à ceux de son peuple en général, elle ne pouvait pas être la garce imperturbable qu’elle avait était durant deux cents ans à Mirkwood. Sa sœur de cœur ne l’avait jamais su, mais Cyrïelle avait vu des choses, rencontré des gens, vécu avec eux, sans que personne ne sache vraiment le fond du pourquoi. Elle avait son jardin secret et Arda, elle-même ne pouvait savoir comment faire pour les arracher de la bouche de l’elfe blonde. Pourtant, Cyrïelle était parti un certain temps, bien que ce ne fût pas son plus grand voyage. Elle était disparue durant une année. Complète… Et seuls les dieux savent qu’elle avait changé en bien. Qu’elle fût devenue plus humaine et plus gentille qu’elle ne l’avait jamais été. Alors qu’elle était revenue, qu’elle avait remonté la rivière entendue des rires et des bruits de pas, elle ne se serait jamais doutée qu’elle ressemblait de plus en plus à sa mère, sa tendre mère. Pourtant, alors qu’elle l’avait pleuré il y a quelques mois au côté de Bard dans cette même forêt. Cyrïelle ne pouvait que sentir la joie montrer à ses joues, voir son sourire s’agrandir, elle allait retrouver quelqu’un qui tenait à elle et l’inverse étant tout aussi vrai. L’elfe aurait bien pu tomber sur Laurelin, mais c’était sur Valeryan et sa ménagerie qu’elle posa les yeux, avant de l’observer et d’entrer en scène. Et comme prévu, la prêtresse d’Arda ne s’attendait pas à la venue inattendue de son amie. Amie des elfes, des hommes et des nains, Cyrïelle était finalement aimée de toutes sortes de races sans qu’elle ne sache dire pourquoi. Pourtant, l’émerveillement dans la voix de sa cadette et son regard réjoui lui réchauffait en cœur en ce jour d’hiver. Décembre était bien présent malgré le soleil qui les entourait dans ce petit coin de paradis.

L’accolade que son amie lui donnait… Ceci la fit sourire quelque peu, sa senteur de ses cheveux, elle l’avait presque oublié au profit du poisson qu’elle sentait chaque jour à Esgaroth. Belle ironie que de sentir autre chose que l’eau douce et les êtres y vivant. Comme pour se moquer, son amie la complimenta sur sa coiffure en demandant si c’était les biens faits de l’apprentissage humain qui lui avait donné ce savoir-faire. « En vérité, c’est plutôt la rapidité de la vie des mortels qui force à prendre le coup de main, ils n’ont décidément pas le temps de s’occuper d’eux comme nous pouvons le faire. » C’est vrai que de par leurs plus grandes espérances de vie, le peuple des forêts était gâté par le temps et n’en manquait pas vraiment. Alors oui, les hommes avaient le temps pour peu de choses et Cyrïelle en avait pris conscience malgré tout. C’était ainsi et de telles sortes qu’elle-même ne pouvait en faire autrement. Pourtant, la question tomba, alors qu’elle s’y attendait. Valeryan la questionnait sur son voyage, qui n’en était certainement pas un au final. C’est la bouche entre ouverte qu’elle soupira légèrement. Et en haussant les épaules, tu la regardas : « Tout dépend de ce qu’on a dit de mon voyage finalement. Car je n’étais pas si loin. » Prenant place sur une pierre environnante, la dame posa ses mains sur ses genoux en caressant le crâne du renard qui venait et allait autour d’elle. « J’étais à Esgaroth durant un an. Ce n’est certes pas très loin, mais c’est dépaysant. » Dit-elle en souriant. En effet cela l’était et pas des moindres.

Portant, un regard bienveillant sur son amie, Cyrïelle regarda ensuite les nuages et le ciel. Elle ne savait pas vraiment ce qu’on avait pu dire d’elle à Mirkwood. Elle n’y était revenue qu’avant l’attaque suite au meurtre des parents de sa chère Laurelin, en secret pour que personne ne sache qu’elle fût revenue et finalement cela semblait avoir fonctionné. Alors, elle demanda doucement : « Mais qu’a dit mon père à ce sujet, a-t-il prétendu que j’étais parti au Harad ? Ou bien dans une autre contrée éloignée du Nord ? » Elle était amère, elle en voulait malgré tout à son père. L’avoir exilée durant plus d’un an dans une cité humaine pitoyable. Elle y avait connu la peur, la haine, la joie et la colère. Peut-être l’amour sans s’en rendre compte. Mais finalement, elle était là et elle devrait repartir le soir même pour y retourner, comme les bateaux retournent au port. « Et toi, que deviens-tu ma sœur ? » finit-elle en tenant les mains vers elle pour qu’elle approche. Parler d’elle n’avait jamais été sa qualité principale après tout.

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