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Demande d'asile |-Elrond

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Jeu 23 Jan - 17:19








Elrond ミ Dís



Des semaines de voyages, des semaines qu'on marchait à moitié à l'aveugle. Après la peur, la colère et le désespoir de la première journée à devoir être exilé de notre cité. Notre peuple devait retrouver un endroit où retourné, la Moria avait été le plus proche. Mais en fin de compte cela fût la pire des idées, tant de pertes, tant de peine et de douleur. Je n'avais pas dit un mots depuis, enfin sauf une petite discussion avec Thorin. Il avait fait le choix de continuer vers l'Ouest, trouvé un endroit non occupé où puisse s'installer et avoir un nouveau départ. J'étais pour le chemin le plus court, remonté passé par la route principale et traversé l'Eregion. Mais cela signifiait passé dans une contré elfique et il ne voulait rien faire de près ou de loin avec ce peuple. Avec se différent on à laisser notre peuple choisir, il guiderait un groupe par le sud et moi un autre. Bien sûre il eu le plus grand, bien qu'on avait confiance en mon jugement, la chute d'Erebor était encore trop récente et les pertes d'Azanulbizar avait laissé des blessures toujours à vif. Ma grande question, qui ma trotté en tête pendant plusieurs jours : est ce que les elfes nous laisserait tranquillement traversé leur terres ??
Je devais prendre mon courage à deux mains, aller de l'avant et parler au seigneur d'Imladris. Je me demandais si je pouvais en être capable avec mon état émotionnel et psychologique, je n'avais rien eu contre les elfes mais les deux événements associer pourraient bien faire céder ma patience et être plus désagréable que prévu. Je croissais les doigts pour que cela se passe au mieux, et que le temps que je soit absente, les miens reste au campement et ne fasse pas trop de zèle.

Du campement jusqu'à la citée j'avais fais le chemin à pied, dans une tenue peu avantageuse, vivant sur les routes, on avait pas dans l'esprit être coquet c'était un peu du vite fait. Mes cheveux attaché avait même des mèches détaché qui pendant le long de mon cou. J'avais pourtant prit la peine de ne pas apporté d'arme. La situation était déjà compliqué par la peine de créer de la tension inutilement.

Cela n'allait pas être simple, pour plusieurs raison, espérons que les Noldor n'ont pas oubliés leur passé amical avec les nains. Face à l'entré de la cité, je fixe devant moi, il y avait deux soldat a l'autre bout du pont, j'ai avancé jusqu'à sa moitié et n'osa aller plus loin. Je ne savais pas vraiment comment les aborder.

© Méphi.


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Ven 24 Jan - 11:05



DEMANDE D'ASILE



DÍS & ELROND


Durant ma vie, je n'ai que peu croiser de nains, si je compare aux hommes. Nos deux peuples ont un passif lourd et ce passif, je l'ai vécu. Cependant, je ne pense pas, comme certains eldar, bien qu'il s'agisse principalement d'une idée qui fut répandue au cours du Premier Âge, que les nains nous soient inférieurs parce qu'ils ne sont pas les enfants d'Ilúvatar mais ceux d'Aulë. Si Eru les a accepté dans sa création, il nous faut faire de même, sans remettre en cause la décision de notre Père. Peu après la prise d'Erebor par le dragon Smaug, je reçus la visite Dís, princesse de ce peuple en exil depuis peu. Contrairement à son frère et à son père, elle avait décidé de laisser de côté les anciennes querelles ravivées cette année même afin d'écourter un voyage qui promettait d'être déjà bien lourd.

- - - - - - - - -

À l'approche de Nellas, je me lève afin d'écouter ce qu'elle a à me dire. Il est rare qu'elle vienne d'elle-même me trouver, sans qu'une mission ne soit en cours ou que je ne l'eus convoquée. Dès qu'elle le peut et que l'activité vient à lui manquer, elle reste bien éloignée de la cité, au fin fond de la vallée, à profiter de ces moments de solitudes. Je sais, par conséquent, que ce qu'elle a à me dire peut avoir une quelconque importance. Qu'elle soit de moindre portée ne changeait rien, jamais elle n'irait dire, même une information minime, au passage, quoi que ce soit à un elfe au hasard afin qu'il serve de messager. Ce qu'elle me dit n'est en effet pas d'une importance capitale, mais revêt tout de même son lot d'intérêt. Un campement de nain, de petite envergure, s'est installé non loin de nos frontières. Sur le chemin du retour, elle croisa une naine, sans, bien sûr, ne se faire voir d'elle. Cette naine, de piteuse apparence, selon ses dires, vient en ce moment même en notre direction, marchant sans armes et sans armure. La remerciant, je la laisse à présent s'en retourner en sa demeure isolée.

Après quelques réflexions de courte durée, je comprends que ces nains, s'ils viennent de Rhovanion comme l'indique l'emplacement de leur campement, ne peuvent être que ceux d'Erebor. Le désastre de leur royaume ne m'est pas inconnu bien que je n'ai pu le prévoir. Le prévoir ne leur aurait pas été d'une grande aide, cela dit, un dragon ne pouvant qu'être difficilement maîtrisé, ou même tué … Et la distance séparant nos terres des leurs rendant toutes communications trop lentes. Bien que je n'éprouve pas d'hostilité démesurée envers les nains, je ne suis tout de même pas ravi d'en savoir plusieurs si proches de chez moi. Mon sentiment était bon à leur égard, au début de ma vie, mais les années passant, plusieurs de leurs actions me déçurent bien trop pour que je ne leur en tienne pas rigueur encore aujourd'hui.

La naine dont il avait été question dans ma conversation avec Nellas finit par arriver. Je vais alors à sa rencontre, après que Lindir, mon intendant, l'ait accueillit, sans grande conviction. Visiblement fatiguée par les épreuves qu'elle a traversé, je ne l'ai jamais vu. L'on ne voit pas souvent les naines, ne sortant que peu de chez elles et, au final, les périodes d'exil et d'exode sont, je crois, les seuls moment où j'ai pu les rencontrer, et où il a été donné l'occasion à quiconque de les apercevoir. Je m'avance encore un peu. Un pas, puis deux. Je m'arrête. La distance qui nous sépare est assez importante et je ne compte pas m'approcher plus en avant. D'une voix calme, posée, ne trahissant ni ma surprise ni mon déplaisir de l'avoir face à moi, je m'exprime en sindarin avant de reprendre en langue commune, afin qu'elle me comprenne, doutant que nul nain n'ait eut le désir d'apprendre notre langue.

« Suilaid, naug. Estannen Elrond. Salutations, naine. Je me nomme Elrond, Seigneur de ces lieux. Quel est le dessein qui vous a fait vous aventurer jusqu'à ma demeure et pour quelles raisons les vôtres s'y sont établis si près ? »

Il ne sert à rien de s'étendre en de trop longues présentations ni même de lui demander son nom, qu'elle décrive leur but, à elle et son groupe, et elle se dévoilera d'elle-même. Nul besoin de se montrer trop inquisiteur, Imladris était dans cette rencontre, mon seul intérêt.

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Ven 24 Jan - 15:21








Elrond ミ Dís



Face à la citée des plus grandiose et magnifique -il est claire que si les nains était doué pour creusé et donner forme à tout ce qui venait de la terre, les elfes avait aussi un sacré sens esthétique des plus beau – je me sentais comme toute petite, au sens métaphorique. Perdu dans la contemplation de la beauté architectural, je ne fis pas attention à cet elfe qui venait à ma rencontre. Il était temps de testé si le sindarin que j'avais passé tant de temps à apprendre allait être bien utilisé. Je n'avais pas eu vraiment occasion de la pratiquer. Il se présente comme le représentant d'Elrond le seigneur de cette citée, parfait je visais les grandes instances. Je suis invité a entré, oui resté au milieu de ce pont de pierre n'était pas vraiment le mieux. Je reste pourtant à l'entré sans m'engager réellement dans la citée elfique. L'elfe s'éloignant, j'en profite pour épousseté ma tenue et retiré toute saleté, je passe mes mains dans mes cheveux pour les replacer. Je n'était pas habillé a mon avantage mais au moins être convenable.
Puis enfin un second elfe vient en ma direction, Elrond de Fondcombe j'imagine. C'est la première fois que je le rencontre mais comme toute personne qui s’intéresse à l'histoire, je sais très bien qui c'est. Le moment fatidique était arrivé, je prend une inspiration et me décide à répondre à mon interlocuteur.

-Suilaid Elrond Peredhil hér è Imladris*, je m'incline alors comme salutation. Je suis ici en toute humilité et sans hostilité. En effet un groupe des miens souhaite traversé l'Eregion, étant vos terres je viens simplement demander l'autorisation de les traversées. Croyez moi que nous ne sommes pas d'humeur hostile et ne vous dérangeront que quelques jours. J'en appel au sang Noldor que vous posséder et à la mémoire du lien fort que nos deux peuples avait jadis.

Autant mettre le paquet, on avait besoin qu'il accepte. Je n'étais pas du genre à être lèches bottes et je ne le ferais jamais, mais je me montrais honnête. Ma voix elle était un peu lointaine et caverneuse, effets de ces heures à pleurer et ses jours sans parler.

*Salutation Elrond Peredhil, Seigneur d'Imladris

© Méphi.


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Ven 24 Jan - 17:23



DEMANDE D'ASILE



DÍS & ELROND


Lorsque je compare ma tenue à celle de la nouvelle arrivante, la différence est flagrante. Vêtue d'une tenue de voyage qui commence à s'user, bien qu'elle ne soit pas tout à fait recouverte de poussière, le trajet effectuée en la portant se remarque sans mal. Quant à moi, je porte une tunique de lourde laine recouverte de soie bleu nuit, martelée, une culotte de la même teinte, juste légèrement plus foncée, ainsi qu'un manteau de velours bleu, fendu au niveau des bras, en partant des épaules. D'un signe de tête, je remercie Lindir qui s'éclipse me laissant prendre la parole. Il n'est pourtant jamais loin et gère à merveille les questions d'intendance de la cité, tout comme les arrivées impromptues d'invités qui n'en sont pas. Lorsque j'arrive près de la naine, celle-ci semble observer l'architecture et le paysage si caractéristique d'Imladris. Je suis heureux de constater qu'elle ne semble pas trop mal alaise en milieu forestier, végétal, car j'ai par le passé rencontré des nains qui ne se sentaient bien que dans leurs montagnes. Après m'être présenté, je lui demande la raison de sa présence. Avant de me répondre, je vois sa poitrine se soulever, signe qu'elle préfère parler de manière poser, sans s'emporter d'aucune façon et pour aucune raison.

Lorsqu'elle prend la parole, elle s'exprime en sindarin, me saluant avec respect, ses salutations étant accompagnées d'une légère révérence. Je lui réponds d'un signe de tête pour montrer que cet intention, surprenante de la part d'un membre du peuple des nains, me touche et me sied, présageant que le reste de la conversation se déroule sans encombre. Elle m'explique alors ce qui la fait venir ici et pourquoi se trouvent avec elle plusieurs de ces congénères. Elle parle avec calme, s'en référant aux anciennes alliances, aux liens trop souvent et trop longtemps ignorés entre nos deux peuples, et à la tempérance potentiel dont pourraient faire preuves les nains qui l'accompagnent. Bien que son discours soit courtois, je me surprends à réaliser que je ne sais toujours pas qui elle est. Bien que je ne lui ai pas posé la question directement, il est de coutume de se présenter avant même de prononcer les réelles phrases qui constitueront la conversation. L'on ne converse que peu sans avoir daigner décliner son identité. Je me dis qu'il s'agit peut-être de la fatigue du voyage, car sa manière de parler indique qu'elle n'est pas étrangère aux us et coutumes de nos sociétés. Ou alors, malgré son beau langage, ne s'estime pas assez importante pour que son nom soit mentionné, auquel cas ce groupe de nain se serait égaré, ou aurait été contre la volonté de leur Roi. Mais le terme qu'elle a utilisé pour parler des nains qui l'accompagnent suggère qu'elle les considère comme sous sa protection … Peu de personnes veulent naturellement s'infliger une telle charge, charge qui incombe naturellement par le droit du sang, qui arrive toujours avec les devoirs du rang. Surtout qu'elle ne connaissait pas que le nom qui m'était propre, elle avait également utilisé l'un des noms sous lesquels l'on me connaissait, notamment lorsque les écrits d'histoire se voulaient précis. Elle avait donc de l'éducation.

« Il n'est pas nécessaire d'en venir à évoquer nos alliances passées. Vous pouvez traverser nos terres tant que vos attentions sont salutaires. Si vous et les vôtres le désirez, vous pouvez également rester vous reposer pour quelques jours en ces lieux. »

Bien que je reproche certaines chose au peuple nain, j'ai fondé Imladris dans le but d'être un lieu accueillant, un territoire de paix et il me faut respecter cette volonté en toute occasion. Je suis quand même désireux d'en apprendre plus sur la naine qui se trouve en face de moi, ne serait-ce que pour savoir comment m'adresser à elle.

« Man eneth lín ? Quel est votre nom, dame naine ? »

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Sam 25 Jan - 15:38








Elrond ミ Dís




J'étais soulagé. Le seigneur d'Imladris, prenait bien notre présence sur ses terres et donnait un total accord pour qu'on puisse les traversées. Bien sûre je savais très bien que les miens n'allait pas chercher des ennuis, ni l'envie ni l'humeur. Si certains voyaient mal les elfes depuis leur manque d'aide lorsque Smaug est arrivé, les gens d'Elrond n'y étaient pour rien. J'étais touché qu'il propose naturellement de nous invité dans la citée, il était vrai que la maison des elfes serait plus confortable que la forêt. De plus on avait bien besoin de se poser deux trois jours histoire de reprendre du poil de la bête, de reposé corps et esprit. C'était généreux de sa part. Enfin de compte cela allait payé d'être venu ici, je sais bien que je n'étais pas forcément d'humeur, mais c'était mon devoir et responsabilités en tant que princesse. Il ne restait plus que moi et Thorin pour guider notre peuple, bien que je n'étais pas aussi importante que lui. J’essayais toujours de le conseillé ou de l'aidé pour que cela soit moins lourd sur ses épaules. Je me rendis compte qu'en effet je ne m'étais pas présenté. Quel imbécile !! Il y avait rien de plus mal poli, cela montrait bien à quel point mon esprit est ailleurs. Je me racle la gorge, essayant de retrouvé ma voix douce et suave plus agréable à entendre que cette voix digne d'un mort-vivant.

-Goheno nin* . Je crois que je suis plus fatigué que je le croyais. Je me nomme Dís, Princesse Exilé d'Erebor.

Je n'avais ni eu le courage ni l'envie de nommé mon père ou même mon grand père. C'était encore trop récent. Il me fallait un peu de temps avant de pouvoir repensé a eux sans forcément avoir envie de pleuré ou de me sentir désemparé.

-Je vous remercie pour votre générosité et votre compréhension. Il est vrai qu'un lit et un repas elfique serait plus confortable que le sol de la forêt. Pourtant je ne voudrais pas qu'on vous dérange.

Pardonnez-moi*

© Méphi.


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Dim 26 Jan - 7:38



DEMANDE D'ASILE



DÍS & ELROND


Lorsque je réponds à la nouvelle venue qu'elle et les siens peuvent circuler dans mes terres et qu'ils peuvent même y séjourner temporairement s'ils le désirent, elle semble soulagée. Si mes déduction quant au lieu duquel elle arrive, peut-être même sur ses origines nobles, je ne peux que comprendre cet apaisement. Je serai moi-même réconforté de savoir qu'en des temps difficiles, les conflits dérisoires et saugrenues qui se dressent entre les peuples puissent s'abaisser, au moins le temps d'une trêve. En ce qui me concerne, la trêve que j'ai voulu à Imladris dure depuis sa fondation et je compte bien qu'il en reste ainsi jusqu'à ce que nous la délaissions pour retourner en Valinor. Ce temps arrivera bien un jour, je le sais, mais je sais également que des choses ont encore à se jouer, pour les hommes, mais aussi pour les elfes, en Terre du Milieu. L'heure du départ n'est pas encore arrivée et, bien qu'elle se rapproche, elle est encore bien loin. Je lui fais alors remarquer qu'elle n'a toujours pas décliné son identité, ne pouvant m'empêcher de le lui demander tout d'abord en sindarin, la surprise me faisant souvent m'exprimer dans ma langue, plutôt quand langage commun. Sur son visage, des traits confus. Elle est donc bien au courant des usages habituels mais les a momentanément oubliés. Elle utilise à nouveau ma langue pour s'excuser, ce que j'apprécie toujours autant. Pour me plaire ou me montrer que l'on respecte et s'intéresse à mon peuple, nul besoin de tout savoir sur nous, notre histoire et de parler notre langue avec brio, en connaître les expressions les plus courantes, les utiliser à bon escient et, pourquoi pas, arriver à saisir le sens d'une phrase sans en connaître forcément tous les mots, me suffisent amplement.

« Mae govannen, Dís Thráiniell. J'ai connu votre grand-père lorsqu'il régnait sous la montagne. »

Je suis maintenant satisfait … De cette étrange satisfaction que m'apportent les présentations en bonne et due forme. Il est toujours plus agréable de savoir à qui l'on s'adresse, de connaître non seulement son nom, mais son origine. De pouvoir honorer sa visiter d'une phrase de bienvenue. J'ai remarqué, lorsqu'elle s'est enfin présentée, qu'elle utilisait le terme d'exil. Sans doute la route lui a-t-elle bien fait comprendre ce nouvel état de fait, car peu réussissent à se présenter ainsi, même quand plusieurs générations d'exil se sont écoulés. Cette naine doit avoir un caractère intéressant, fort. Mais les légendes disent que les naines ont fort caractère, peut-être que pour une fois, elles n'exagéraient pas. Elle me remercie, y mettant les formes, comme à chaque fois qu'elle a prit la parole depuis le début de notre entrevue.

« C'est par vos actions que vous nous dérangerez ou non … Pour l'heure, si vous venez pour manger et vous reposer, nous ne serons pas contrariés. »

Je me retourne vers Lindir, resté en retrait depuis l'arrivée de la princesse naine. Stoïquement, il attend de savoir quelle va être la situation et quels seront les engagements que je prendrais auprès de nos nouveaux hôtes, afin de pouvoir prendre les dispositions nécessaires à leur accueil. Je lui dis donc, en sindarin, d'allumer les feus de la cité, d'ammener le vin aux tables car nous avons maintenant des invités à nourrir.

« Nartho i noer, toltho i viruvor. Boe i annam vann a nethail vin. »

Ceci fait, je me retourne vers mon invitée, car il faut bien que nous voyons ensembles les détails de l'arrivée des nains dans la cité. Et je ne sais pas leur nombre, ce qui peut se révéler être une information intéressante pour la suite des événements, il me semble.

« L'une des miens a vu où se trouvait votre campement, trois elfes s'y rendront pour escorter les vôtres jusqu'à ma demeure. Vous pouvez les accompagner ou attendre ici, cette décision est à votre bon vouloir. »

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Mar 28 Jan - 17:00








Elrond ミ Dís




Droite devant le seigneur de la citée, les mains dans mon dos, je suis satisfaite de la distance entre nous. Il ne c'était pas trop approché, il ne l'avait pas fait volontairement mais j'appréciais cette petites distance. Au moins je pouvais lui parlé sans lever la tête lui et sans la baissé. S'il y avait quelque chose que je détestais, c'était être prise de haut, par n'importe qui et n'importe quel race. J'étais reconnaissante à sa bienveillance et son ouverture. Il restait fidèle à sa réputations mais avant tout à ses principes je pense. Si seulement tous les elfes de la terre du milieu pouvait être ainsi. Il avait connu Thror ?? Hum dans un sens cela me surprenait pas, notre grand-père avait été ouvert et avait eu des contacts avec beaucoup de monde. Sa proposition était des plus rassurante. Hum je serais bien tenter d'accompagné les éclaireur, histoire d'amortir la situation et rassuré les miens. Mais j'avais avec moi majoritairement des femmes et des enfants, qui avait certes un caractère de nain mais posait moins de problèmes que les hommes. D'un autre côté, mon estomac me criais qu'il aurait aimé avoir un vrai et bon repas, et mon dos un siège plus confortable que des racines.

-Je pense que cela devrait bien se passer. Simplement que les vôtres évite de les abordé en elfique, je suis une des rares à le parlé, et pas trop brutalement il y a de jeunes enfants.

Puisque l'Eregion nous ouvrait ses portes, une question traversa mon esprit. Il n'y avait pas des trolles dans le coin ?? Les montagnes n'étant pas si loin, il me semblait que j'avais entendu dire que les trolls squattait dans la région. Si on devait tombé dessus, on ferait pas le poids, pas assez de combattants et pas assez armé. On se ferais tué et mangé. Cela n'était pas rassurant.

-Étant majoritairement composé de femme et d'enfants, nous sommes bien plus fragile face au danger. Est-ce qu'il y a toujours des trolls qui descendent de la montagne ??


© Méphi.


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